Selon la société de sécurité maritime britannique Ambrey, il s'agit d'un bateau battant pavillon panaméen, ciblé "en raison de l'affiliation de la société avec un navire desservant les ports israéliens".
Selon Ambrey, ce navire "ne correspondait pas au profil des cibles déclarées des Houthis".
"Nous devons faire cesser cet abandon des otages (...) Demain à 06H00 (3H00 GMT), toute l'économie israélienne sera en grève générale", a annoncé dimanche le chef de la Histadrout, Arnon Bar-David.
Le chef de l'opposition, Yaïr Lapid, a également appelé la Histadrout, "les municipalités et les employeurs à la "grève générale" sur sa page Facebook.
« Nous avons déjoué son plan d'attaque », a martelé Netanyahou au début du Conseil des ministres
Le Hezbollah a mené une attaque en riposte à l'assassinat d'un de ses hauts chefs militaires, Fouad Chokr, tué dans une frappe israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth le 30 juillet
Deux personnes ont été tuées dans "un raid de l'ennemi israélien" sur le village d'At-Tiri et une troisième dans une "attaque de drone israélien sur une voiture dans le village de Khiam", a indiqué le ministère libanais de la Santé
De son côté, l'armée israélienne a dit avoir mené des frappes préventives au Liban après avoir détecté des préparatifs du groupe chiite pour déclencher "des attaques de grande envergure" contre Israël, où l'état d'urgence a été instauré.
Le Fatah du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et rival du Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza a estimé qu'Israël cherchait à "embraser la région".
L'armée israélienne mène de son côté des raids en profondeur au Liban et en ciblant des responsables du Hezbollah et de ses alliés libanais et palestiniens.
A Chicago, Joe Biden a affirmé mardi à la presse que le Hamas était "en train de faire machine arrière" dans les négociations en vue d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Cette proposition est "un renversement par rapport à ce qui a été approuvé par les parties le 2 juillet" a dénoncé le Hamas