De hauts reponsables des services de sécurité sont visés par ces sanctions qui gèlent leurs avoirs aux Etats-Unis et compliquent leur accès au système financier international
Washington avait déjà annoncé le 22 septembre une salve de sanctions visant la police des mœurs iranienne et plusieurs responsables de la sécurité
«Notre objectif est le même depuis le début: rendre le coût de la guerre insupportable pour la Russie, frapper durement son économie, pour l'empêcher de financer son offensive», a affirmé la cheffe du gouvernement
Elle a annoncé lundi à l'Assemblée nationale l'organisation «dans les prochains mois» à Paris d'une conférence économique sur l'Ukraine
«Les Etats-Unis condamnent aujourd'hui la tentative frauduleuse par la Russie d'annexer des parties de territoires en Ukraine», a affirmé le président américain Joe Biden
Le président américain assure encore que les Etats-Unis «continueront à appuyer les efforts de l'Ukraine pour regagner le contrôle de son territoire»
«Nous n'acceptons pas les référendums fictifs et toute forme d'annexion en Ukraine. Et nous sommes déterminés à faire payer le Kremlin pour cette nouvelle escalade», a expliqué Ursula von der Leyen
La Commission a également proposé de nouvelles interdictions d'importations de produits russes pour 7 milliards d'euros et d'étendre la liste des produits qui ne peuvent plus être exportés vers ce pays
«Nous allons appliquer des sanctions à l'encontre de dizaines de personnes et d'entités, dont la soi-disant police des moeurs iranienne», a expliqué le Premier ministre canadien Justin Trudeau
Le chef du gouvernement s'est dit «aux côtés» des femmes iraniennes
La Hongrie doit démarrer sous peu le chantier de deux nouveaux réacteurs nucléaires, en collaboration avec le conglomérat russe Rosatom
Ils vont compléter les quatre tranches actuelles, alimentées avec du combustible provenant de Russie et qui assurent près de la moitié de la production d'électricité