«Alireza Akbari a été condamné à mort pour corruption sur terre et pour atteinte à la sécurité intérieure et extérieure du pays pour avoir transmis des renseignements», a indiqué Mizan Online
Le chef de la diplomatie britannique James Cleverly a vivement réagi sur Twitter: «L'Iran doit cesser l'exécution du ressortissant britannique et iranien Alireza Akbari et le libérer immédiatement»
«J'espère que les institutions européennes vont adopter maintenant une position claire, elles ont désormais la légitimité, par leur propre parlement, d'adopter une position forte», a estimé Stella Assange
«Lui accorder le statut de finaliste (du prix Sakharov) a montré, d'un point de vue politique, que son cas compte pour l'Union européenne et pour les citoyens européens», a insisté Mme Assange
Il s'agit d'un record par rapport aux années précédent la crise économique
Des dizaines de personnes ont été arrêtées par le passé pour «collaboration» avec Israël, et des décisions de justice ont été rendues allant jusqu'à 25 ans de prison
Les informations obtenues, transmises et vendues par les deux frères, Payam Kia, 35 ans, et Peyman Kia, 42 ans, sont «extrêmement sensibles» et «nuisibles à la sécurité de la Suède», a fait valoir le parquet
Selon l'accusation, c'est le renseignement militaire russe, le GRU, qui a bénéficié des informations, entre 2011 et l'arrestation des deux Suédois fin 2021
«L'une des personnes arrêtées est soupçonnée d'activité illégale de renseignement aggravée contre la Suède et d'activité de renseignement aggravée contre une puissance étrangère. L'autre personne est soupçonnée de complicité»
Les autorités suédoises ont souligné que ces arrestations n'avaient «aucun lien avec d'autres cas actuellement traités par les services de renseignements»
Yuesheng Wang, 35 ans, «est accusé d'espionnage pour avoir obtenu des secrets industriels dans le cadre de ses fonctions au sein d'Hydro-Québec», a indiqué David Beaudoin, inspecteur de la Gendarmerie Royale du Canada (GRC)
Il a annoncé qu'il s'agissait d'une première au Canada, qui a récemment durci le ton contre Pékin après un rapport faisant état d'interférence lors d'élections et de la présence de postes de police chinois illégaux dans le pays
Ce «spyware» est lié à des groupes de pirates soutenus par l'Etat chinois, affirme le rapport, entièrement réfuté par l'ambassade de Chine aux Etats-Unis
Les applications concernées proposent par exemple des cartes routières, des dictionnaires ou des contenus liés à l'islam