Abdallah Al-Mouallimi affirme que des termes tels que « orientation sexuelle » et « identité de genre » contredisent l'histoire de l'Arabie saoudite
Selon lui, la démocratie ne peut être généralisée au niveau international que si elle se fonde sur des principes moraux conformes aux valeurs et aux cultures des autres peuples
Le secrétaire général de l'ONU a appelé les leaders libanais à redoubler d'efforts afin d’éradiquer la corruption et demander des comptes aux responsables de l'explosion du port de Beyrouth
Il a également souligné l'importance des élections de l'année prochaine et a appelé à ce qu'elles soient pleinement inclusives des femmes et des jeunes
«Les divisions entre les dirigeants politiques au Liban ont paralysé les institutions, ce qui a conduit à l'impossibilité de parvenir à un accord avec le FMI»
«Il n'y a aucune possibilité pour le Liban de trouver la bonne voie si les dirigeants politiques libanais ne parviennent pas à comprendre que c'est le moment, probablement le dernier moment possible, de se rassembler»
La violence entre Arabes et non-Arabes dans la région ravagée par la guerre est survenue alors que le Soudan s'enfonçait dans les bouleversements après le coup d'État militaire d'octobre
HRW a qualifié la dernière violence de «sonnette d'alarme» pour que la communauté internationale agisse
Selon la Haute-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Michelle Bachelet, le conflit au Tigré est marqué par une «brutalité extrême»
Le Conseil organise trois sessions ordinaires par an, mais si un tiers des 47 Etats membres en fait la demande, il peut décider à tout moment de tenir une session extraordinaire
Abdullah Al-Mouallimi déclare à Frankly Speaking que l'ONU doit déployer davantage d’efforts pour arrêter les armes iraniennes qui alimentent l’«insoluble» conflit au Yémen
Les cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité – la Chine, la France, la Russie, le Royaume-Uni et les États-Unis – doivent fournir à l'ONU les moyens d'interdire le flux d'armes iraniennes, a-t-il insisté
La conférence réunira des États membres, des députés, des organisations internationales, régionales et non gouvernementales, la société civile et le secteur privé pour discuter des questions liées à la lutte contre la corruption
L'ONU s'attend à la présence de plus de 1 000 personnes