AbiNader a fait valoir que le Hezbollah, qui est une force politique et une milice puissante, doit décider s'il est libanais ou s'il est une force pour l'Iran
Le Liban est reconnaissant envers le président américain, Joe Biden, pour avoir rétabli le soutien financier qui avait été supprimé par son prédécesseur Donald Trump
Les analystes ont additionné les députés pour déterminer la taille des blocs parlementaires, qui sont divisés entre les blocs souverainiste et les groupes pro-Hezbollah
Plusieurs députés réformistes se sont empressés de se réunir avec leurs groupes pour déterminer les prochaines étapes au Parlement
«Sans coopération, il y aura le vide, le chaos et l'échec», a affirmé le chef du parti chiite, lors de sa première allocution télévisée, retransmise par la chaine du Hezbollah Al-Manar
Alors que le pays est plongé dans une très grave crise économique, aucune mesure de redressement n'a été entreprise par la classe dirigeante accusée de laisser couler le pays
Le mouvement chiite pro-iranien et ses alliés politiques qui avaient le soutien d'environ 70 des 128 députés du Parlement sortant ont reculé face à l'opposition et aux indépendants, n'ayant pas obtenu les 65 sièges nécessaires pour conserver une majorité
Fait inédit, deux candidats indépendants ont réussi à décrocher au Liban-Sud un siège qui était détenu par les alliés du Hezbollah depuis trois décennies
Attendus plus tard ce lundi, les résultats officiels du scrutin indiqueront si le Hezbollah, qui devrait conserver tous ses sièges chiites, pourra toujours contrôler le Parlement
La participation a été particulièrement faible dans les régions à dominante sunnite, après le retrait de Saad Hariri, principal leader politique de cette communauté