Selon un communiqué du palais royal à Amman, Abdallah II a réaffirmé que «la région ne connaîtrait pas la stabilité sans une solution juste à la question palestinienne et sans la réalisation d'une paix juste et globale basée sur la solution à deux États»
Il a également répété «le rejet total par la Jordanie du déplacement forcé des Palestiniens» et «des tentatives de séparer Gaza de la Cisjordanie», deux territoires qui font partie intégrante d'un futur Etat palestinien, selon lui
«L'une des véritables préoccupations est la frontière entre Israël et le Liban et nous voulons faire tout notre possible pour nous assurer qu'il n'y ait pas d'escalade», a déclaré le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken
Blinken achèvera la journée à Abou Dhabi, avant de se rendre lundi en Arabie saoudite, puis en Israël où il s'attend, de son propre aveu, à avoir des conversations qui ne seront «pas faciles»
«L'émission de timbres commémoratifs vient préserver et immortaliser les réalisations de la Jordanie», indique la poste sur Instagram dimanche
Les timbres permettront aux «collectionneurs de timbres commémoratifs du monde entier de découvrir le patrimoine jordanien», ajoute le communiqué de la poste
Le monarque jordanien et le président égyptien ont mis en garde contre la poursuite de la guerre contre Gaza, qui «pourrait plonger toute la région dans une catastrophe dont tout le monde paiera le prix»
Ils ont également mis l’accent sur la nécessité de contrer toute tentative visant à réoccuper des parties de Gaza, à construire des zones tampons dans l’enclave palestinienne assiégée ou à la séparer de la Cisjordanie
Emmanuel Macron, tournant le dos à trois jours de crise politique en France autour d'une loi controversée sur l'immigration, a choisi cette année de se rendre au Proche-Orient pour son traditionnel dîner de Noël avec les troupes
Emmanuel Macron lui avait déjà rendu visite le 25 octobre lors d'une tournée dans la région destinée à marquer la solidarité avec Israël après l'attaque du 7 octobre