Le chef de l'Etat a averti les Français sur un ton grave que la deuxième vague "sera sans doute plus dure et meurtrière que la première" qui avait fait plus de 30.000 morts au printemps
La population avait déjà été confinée pendant 55 jours, du 17 mars au 11 mai, avec de sévères restrictions des déplacements et la fermeture des établissements scolaires, des commerces non essentiels et des frontières
Mercredi, le chef de l'Etat a ouvert le conseil des ministres en insistant sur la dégradation massive, générale et largement inattendue que connaît l'Europe depuis plusieurs jours, a rapporté le porte-parole Gabriel Attal
Emmanuel Macron devrait aussi préciser les conditions pour l'organisation du travail, des transports et des déplacements interrégionaux, avec un possible retour de la limitation des déplacements à 100 km
Des manifestations bouleversantes devant le palais de l’Elysée en soutien au Prophète?
En fait, ces scènes qui montrent des foules dans la rue, alors qu'en fond sonore, s'élève le takbir, se déroulent en Allemagne et remontent à janvier 2020
L'Arabie Saoudite rejette toute tentative de lier le terrorisme à l'islam
Le Royaume appelle à ce que la liberté de pensée se caractérise par le respect, la tolérance et la paix, et rejette tous les extrémismes et les pratiques haineuses
La Turquie et le Qatar ont lancé un appel au boycott des produits français en réaction aux déclarations d’Emmanuel Macron sur les caricatures de Charlie Hebdo
Des élus demandent la remise en cause d’une convention fiscale avantageuse signée en 2008 entre la France et le Qatar
Parmi les suspects figurent Brahim Chnina, le parent d'élève qui avait appelé sur internet à la mobilisation après les cours de M. Paty, et le sulfureux militant islamiste Abdelhakim Sefrioui
Deux élèves du collège de 14 et 15 ans ont été mis en examen pour «complicité d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste» et laissés en liberté
« Nous ne renoncerons pas aux caricatures, aux dessins, même si d'autres reculent », a insisté le chef de l'Etat, en saluant « l'un de ces professeurs que l'on n'oublie pas », lors d'un discours dans la cour de la Sorbonne
Très ému, le président de République, après avoir remis la Légion d'honneur à titre posthume à Samuel Paty, dans un cercle intime, a dénoncé la « conspiration funeste » et « la haine de l'autre », dont a été victime le professeur d'histoire-géographie