A l'issue de leur visite, le président français a loué «l'héroïsme» des Ukrainiens, évoquant «les stigmates de la barbarie, les premières traces de ce que sont les crimes de guerre»
Le chancelier allemand Olaf Scholz a dénoncé «la brutalité de la guerre d'agression russe, qui vise simplement à détruire et à conquérir»
Dimanche soir après le premier tour, le leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon a fustigé les « projets funestes» d'Emmanuel Macron, et notamment « la partie cachée de son programme» avec 80 milliards (d'euros) qu'il compte retirer du budget de l'Etat
Le chiffre de 80 milliards d'euros correspondrait à une division par deux du déficit public de 2021, chiffré à 160,9 milliards soit 6,5% du PIB
«Ce qui m'a choquée, c'est cette déclaration faite sur le tarmac, dans ses habits de président de la République», a déclaré la cheffe de file de l'extrême droite
Jean-Luc Mélenchon a de son côté dénoncé «un sketch à la Trump», Julien Bayou (EELV) y voyant «un président qui perd ses nerfs»
«Nous sommes à l'heure des choix et les grands choix ne se font jamais par l'abstention. J'en appelle donc à votre bon sens et au sursaut républicain», a-t-il déclaré
«Face aux crises qui ne manqueront pas de survenir, rien ne serait pire que de nous perdre dans l'immobilisme, dans le blocage, dans les postures», a affirmé M. Macron
Selon les derniers sondages d'intentions de vote publiés vendredi, la coalition présidentielle centriste libérale est au coude-à-coude avec l'alliance de partis de gauche
Ces législatives devraient ainsi confirmer la large recomposition du paysage politique français engagée avec l'élection de M. Macron en 2017
Selon les derniers sondages d'intentions de vote publiés vendredi, la coalition présidentielle est au coude à coude avec l'alliance de partis de gauche regroupée derrière Jean-Luc Mélenchon
Ces législatives devraient ainsi confirmer la large recomposition du paysage politique français engagée avec l'élection de M. Macron en 2017