Quelque 25.000 personnes ont participé à cette manifestation, selon les services du gouvernement central dans la région, tandis que les organisateurs ont avancé le chiffre de 400.000 manifestants.
Les manifestants ont brandi des pancartes avec des inscriptions comme "Sanchez détruit l'Espagne" et des slogans contre l'immigration.
Plus d'un millier de manifestants en colère étaient rassemblés devant la Maison Blanche, beaucoup exigeant la fin de l'aide militaire américaine à son allié stratégique Israël.
En France, ils étaient également des milliers à défiler à Paris et dans plusieurs autres villes pour marquer leur "solidarité avec les peuples palestinien et libanais" et demander au gouvernement français d'agir davantage.
Emmanuel Macron s'est prononcé dans l'après-midi pour l'arrêt des livraisons à Israël d'armes utilisées à Gaza.
Mais pour Mohammed Ghili, 52 ans, un homme membre de l'association Solidarité Palestine, si "c'est une bonne nouvelle, ça arrive bien trop tard" face à ce qu'il nomme "génocide"
A Paris, plusieurs centaines de manifestants se sont élancés en début d'après-midi du jardin du Luxembourg en direction du ministère de l’Éducation, dans une mobilisation regroupant les deux appels à la grève.
Selon le rectorat de Créteil, 2,65% des enseignants étaient grévistes dans le premier degré en Seine-Saint-Denis mardi et 7,45% dans le second degré (collèges et lycées).
Vendredi, Kamala Harris avait dévoilé un programme économique focalisé sur la classe moyenne, avec par exemple une prime à la naissance ou un chèque pour l'achat d'un logement.
Sur les bords du lac Michigan, les poids lourds du parti viendront soutenir Kamala Harris, à commencer par l'ancien président Barack Obama et sa femme Michelle.
Des voitures ont également été incendiées dans la capitale Belfast, lors d'incidents décrits par la police comme des crimes de haine à motivation raciale.
Cette violence et cette intimidation insensées n'ont pas leur place dans notre société et nous appelons au calme.
Brandissant des drapeaux palestiniens, des portraits de M. Haniyeh et un cercueil en carton à son effigie, des milliers de personnes ont marché jusqu'au Parlement, keffiehs noir et blanc sur les épaules
"Ismaïl Haniyeh était un leader de la Palestine, c'est un symbole qui nous pousse à manifester", a déclaré à l'AFP Halima Hilali, 64 ans. La guerre à Gaza "est une honte pour l'humanité qui ne fait rien", a-t-elle dit
Plusieurs centaines de personnes étaient rassemblées jeudi en fin de journée à Paris, à l'appel de 72 organisations, pour dénoncer les "conséquences sociales" sur "les plus précaires" des Jeux olympiques qui s'ouvrent vendredi soir.
"On demande à ce que la fête soit belle, mais qu'on n'oublie pas les plus pauvres", implore Yann Manzi, fondateur de l'association "Utopia 56".