"L'année a été compliquée avec le départ du directeur Mathias Vicherat et les conséquences du conflit israélo-palestinien", a expliqué Jean Bassères, administrateur provisoire de l'école depuis fin mars.
"C'est notre rôle d'université de mieux former et informer nos étudiants sur un conflit pour lequel ils manifestent beaucoup d'intérêt, mais pour lequel ils n'ont pas forcément aujourd'hui tous les éléments", a-t-il insisté.
Greta Thunberg a publié de son côté sur Instagram des photos de la police antiémeute entrant dans un bâtiment où le groupe "Les étudiants contre l'Occupation" manifestait.
"Ils sont soupçonnés d'avoir forcé l'entrée du bâtiment et de l'avoir bloquée.
Il est temps de finaliser cet accord", a déclaré à la presse le porte-parole du département d'Etat, Matthew Miller.
"La conclusion d'un accord exigera des deux parties qu'elles fassent preuve de souplesse. Il faudra que les deux parties cherchent des raisons de dire oui plutôt que des raisons de dire non", a-t-il dit.
Un civil qui travaille comme coiffeur sous contrat avec le bataillon espagnol de la FINUL a été blessé par des tirs de snipers israéliens sur la route d'Abil Al-Qamh.
Député du Hezbollah : si les drones du parti ont atteint la périphérie de Tel Aviv une fois, ils peuvent l'atteindre à tout moment.
La Turquie, qui a dénoncé Israël pour sa guerre contre les militants du Hamas dans la bande de Gaza, a arrêté cette année plus de 20 personnes soupçonnées d'avoir des liens avec le Mossad.
Une trentaine de personnes soupçonnées d'espionnage au profit d'Israël avaient été arrêtées en janvier en Turquie, accusées notamment de préparer des enlèvements.
« La réalisation des objectifs de la guerre passe par le couloir de Philadelphie », une bande de terre le long de la frontière entre le petit territoire palestinien et l'Égypte
« Le contrôle du couloir de Philadelphie garantit que les otages ne seraient pas sortis clandestinement de Gaza », a plaidé M. Netanyahou
Les licences suspendues incluent des équipements "qui pourraient être utilisés dans le conflit actuel" à Gaza, a précisé le chef de la diplomatie.
"Nous n'avons pas et ne pourrons pas nous prononcer sur le fait de savoir si Israël a violé le droit humanitaire international", a-t-il déclaré, ajoutant que le Royaume-Uni "n'est pas un tribunal international".
A une question de la presse qui lui demandait à son arrivée à la Maison Blanche si M. Netanyahu en "faisait assez" pour obtenir un accord, M. Biden a répondu "non".
De nombreux otages avaient été libérés pendant une trêve d'une semaine en novembre.