«Ghafari est chargé d'approuver toutes les opérations de l'EI-K (...) et de trouver les financements pour perpétrer ces opérations», a estimé le département d'Etat
Ghafari est crédité notamment de l'attentat de l'aéroport de Kaboul le 26 août (185 morts dont 13 soldats américains), mais aussi d'opérations sophistiquées comme le siège de la prison de Jalalabad pendant 20 heures en 2020
«Les personnes qui n'ont tué personne, on ne peut pas les condamner comme si on avait les têtes de l'Etat islamique, ce n'est pas possible», a-t-il déclaré
Parlant de manière générale de candidats aux opérations suicides, Salah Abdeslam a ajouté: «Il va forcément y avoir un moment où on se dit, ‘est-ce que je le fais ou pas’»
La mosquée et le minaret --surnommé par les habitants «la bossue» (Al-Hadba)-- avaient été détruits en juin 2017, l'armée irakienne accusant l'EI d'y avoir placé des explosifs
En mars «Audrey Azoulay, directrice générale de l'Unesco, se rendra spécialement à Mossoul pour donner le coup d'envoi de ces travaux»
Le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahman, a affirmé qu'ils s'agit de la plus importante opération de la coalition depuis la mort, en octobre 2019, d'Abou Bakr al-Baghdadi
Les affrontements de jeudi ont duré deux heures, selon l'OSDH, et les identités des djihadistes visés par cette opération n'ont pas été communiquées
Quand certains de ses coaccusés, interrogés pour la première fois sur les faits après quatre mois de débats, ont préféré faire usage de leur droit au silence, lui l'assure: il s'expliquera «sur tout ce qu'on (lui) reproche, point par point»
«Le 14 novembre, je m'ennuyais. Je pense pas que c'était le cas des vrais protagonistes du dossier» , tacle l'accusé
Interpellés le matin dans la région de Marrakech (ouest), les suspects, âgés de 23 ans, «avaient déclaré allégeance à l'Emir de ‘l'Etat Islamique’ et entamé la distribution de publications extrémistes à des fins d'embrigadement»
Suspecté du meurtre, un Marocain âgé de 31 ans a été arrêté le jour-même à Agadir, à une centaine de kilomètres du lieu du crime
L'assaut a été lancé par une centaine de combattants de l'EI pour libérer leurs camarades détenus dans cette prison de la région de Hassaké, sous contrôle kurde
Les djihadistes «entrent dans les maisons et tuent des gens», raconté un habitant fuyant à pied