Plus de 25 000 jacarandas pour sublimer la beauté d'Abha

Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
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Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
Les fleurs du jacaranda durent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu. (Photo d’Arab News prise par Huda Bachatah)
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Publié le Mardi 15 juin 2021

Plus de 25 000 jacarandas pour sublimer la beauté d'Abha

  • La municipalité a également planté un million de roses saisonnières dans plusieurs sites d’Abha
  • La culture des jacarandas se limite, en Arabie saoudite, aux zones qui bénéficient d'un climat modéré, comme la région sud

ABHA: Plus de 25 000 jacarandas ont été plantés à Abha, apportant une splendide touche de couleur à la capitale de la province d’Asir. Ces arbres parfument très agréablement les jardins et les rues et ils illuminent les environs de leurs tonalités particulières. Pour qui cherche à passer un moment délicieux au milieu des forêts violettes, Abha est désormais une destination de choix.

Le climat doux qui règne dans cette ville au printemps comme en été a incité la municipalité d'Asir à planter ces arbres et à les entretenir avec un soin remarquable. Les autorités ont élargi le cadre de leur culture aux artères principales de la ville, aux établissements publics, aux parcs et aux places.

Ces mesures sont conformes au programme Vision 2030 de l'Arabie saoudite. Elles s’appuient sur un plan annuel de plantation d'arbres et de fleurs dans la région. L’objectif est d'améliorer et de diversifier sa végétation, d'embellir les rues, de fournir une source d'oxygène et d’offrir au Royaume une attractivité touristique supplémentaire.

La municipalité déclare que ces arbres donnent à Abha une identité typique et une admirable palette de lumières. Les fleurs du jacaranda survivent jusqu'à huit semaines et dégagent un parfum caractéristique, qui se répand après qu’il a plu.

La municipalité, qui a également planté un million de roses saisonnières dans plusieurs sites d’Abha, explique que les jacarandas ont été choisis en fonction des besoins de l'environnement local, d'autant plus qu'ils n’ont besoin que de petites quantités d'eau et ne représentent pas de menace pour l'infrastructure.

 

En Bref

  • Le jacaranda appartient à la famille des Bignoniaceae, dans laquelle figurent des arbres capables d’atteindre une hauteur de plus de dix-huit mètres.

 

  • Ils peuvent mesurer trois mètres dès la première année.

 

  • Ces arbres se reproduisent naturellement à travers leurs graines (pollinisation) aux mois de mars et d’avril, mais ils peuvent être plantés toute l'année au sein de zones protégées.

Le jacaranda appartient à la famille des Bignoniaceae, dans laquelle figurent des arbres capables d’atteindre une hauteur de plus de dix-huit mètres. Ils peuvent mesurer trois mètres dès la première année.

Ces arbres se reproduisent naturellement à travers leurs graines (pollinisation) aux mois de mars et d’avril, mais ils peuvent être plantés toute l'année au sein de zones protégées. Ils peuvent en outre être cultivés grâce à certaines méthodes récemment développées, dans des pots de germination ou dans des espaces couverts, jusqu'à ce qu'ils soient suffisamment développés, indique l'Agence de presse saoudienne.

Notons que la culture des jacarandas se limite, en Arabie saoudite, aux zones qui bénéficient d'un climat modéré, comme la région sud.

La rue Al-Fan, au centre d'Abha, est un endroit que prisent les visiteurs de tous âges qui viennent admirer la beauté de cet arbre.

La municipalité indique qu'un projet, effectif à compter du 1er mai prochain, a été élaboré afin de gérer le site, en association avec la police d'Asir, qui supervisera les rues et les places, conformément aux mesures de prévention en vigueur en raison de la pandémie de Covid-19.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La Saudi League en passe de rejoindre le top 3 mondial, selon le patron de la FIFA

La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté.  (Fourni)
La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté. (Fourni)
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  • Gianni Infantino souligne qu’un championnat national au rayonnement mondial attire plusieurs des meilleurs joueurs de la planète
  • Le football féminin dans le Royaume est également promis à une croissance accrue

DOHA : Gianni Infantino, président de la Fédération internationale de football association (FIFA), a déclaré que l’Arabie saoudite est devenue un pôle majeur sur la scène mondiale du football.

Il a salué les évolutions dynamiques observées ces dernières années, qui ont permis au Royaume d’acquérir une présence internationale significative et de développer un championnat national à la dimension mondiale, réunissant certaines des plus grandes stars du football, au premier rang desquelles Cristiano Ronaldo.

La ligue est en passe de devenir l'une des trois meilleures au monde, a-t-il ajouté. 

Dans un entretien exclusif accordé à Asharq Al-Awsat, publication sœur d’Arab News, le président de la FIFA a affirmé que l’équipe nationale saoudienne, après son exploit retentissant face à l’Argentine lors de la Coupe du monde 2022, demeure capable de rééditer de telles performances, potentiellement face à l’Espagne lors du Mondial 2026.

Il a souligné que le football saoudien a réalisé des progrès remarquables, non seulement au niveau de l’équipe nationale senior, mais également dans les catégories de jeunes. Il a également indiqué que le football féminin dans le Royaume est appelé à se développer davantage, grâce à l’attention croissante que lui portent les instances dirigeantes du football ces dernières années.

Gianni Infantino a par ailleurs exprimé sa satisfaction personnelle quant à l’organisation de la Coupe du monde 2034 en Arabie saoudite, décrivant le Royaume comme un pays accueillant, doté d’une culture riche, d’une cuisine savoureuse et d’un peuple remarquable — autant d’éléments qui, selon lui, contribueront au succès de ce grand événement footballistique.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le festival Winter at Tantora revient à AlUla et célèbre un riche patrimoine culturel

Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
Le festival tire son nom du Tantora, un cadran solaire antique situé au centre de la vieille ville. (SPA)
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AlUla : Le festival Winter at Tantora a été lancé jeudi à AlUla. Il se déroulera jusqu’au 10 janvier et propose une saison culturelle célébrant le riche héritage civilisationnel, culturel et historique de la région.

Le programme du festival comprend une large palette d’activités culturelles, artistiques et traditionnelles, a rapporté l’Agence de presse saoudienne (SPA).

Parmi les attractions figurent Old Town Nights, Shorfat Tantora, When Shadow Tracks Us et le Carnaval d’Al-Manshiyah.


Le Forum d’Asilah distingué par le Prix du Sultan Qaboos pour la culture

Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, reçoit le Prix et la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres. (Photo: fournie)
Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, reçoit le Prix et la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres. (Photo: fournie)
Les lauréats du Prix du Sultan Qaboos avec le Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, et Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences. (Photo: fournie)
Les lauréats du Prix du Sultan Qaboos avec le Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, et Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences. (Photo: fournie)
Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. (Photo: fournie)
Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. (Photo: fournie)
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  • Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, a été récompensé à Mascate par le Prix du Sultan Qaboos 2025 dans la catégorie des institutions culturelles privées
  • Cette distinction prestigieuse célèbre l’excellence culturelle arabe et souligne le rôle d’Oman dans la promotion de la pensée, des arts et des lettres

MASCATE: Lors d’une cérémonie organisée dans la capitale omanaise, Mascate, Hatim Betioui, secrétaire général du Forum d’Asilah, a reçu le Prix du Sultan Qaboos pour les institutions culturelles privées.

Hatim Betioui, secrétaire général de la Fondation du Forum d’Asilah, a été distingué mercredi soir à Mascate par le Prix des institutions culturelles privées (catégorie Culture), à l’occasion de la cérémonie de remise du Prix du Sultan Qaboos pour la culture, les arts et les lettres, dans sa douzième édition (2025). La cérémonie s’est tenue sous le patronage du Dr Mohammed bin Saïd Al-Maamari, ministre omanais des Awqaf et des Affaires religieuses, agissant par délégation de Sa Majesté le Sultan Haitham bin Tariq.

Lors de cette édition, le prix a également été attribué, aux côtés de la Fondation du Forum d’Asilah, à l’artiste égyptien Essam Mohammed Sayed Darwish dans le domaine de la sculpture (catégorie Arts), ainsi qu’à Hikmat Al-Sabbagh, connue sous le nom de Yumna Al-Eid, dans le domaine de l’autobiographie (catégorie Lettres).

Au cours de la cérémonie, Habib bin Mohammed Al-Riyami, président du Centre supérieur du Sultan Qaboos pour la culture et les sciences, a prononcé un discours dans lequel il a souligné le rôle et l’importance de ce prix, affirmant que cette célébration constitue une reconnaissance du mérite des lauréats, appelés à devenir des modèles d’engagement et de générosité intellectuelle.

Al-Riyami a également indiqué que l’extension géographique atteinte par le prix, ainsi que l’élargissement constant de la participation des créateurs arabes à chaque édition, résultent de la réputation dont il jouit et de la vision ambitieuse qui sous-tend son avenir. Il a mis en avant le soin apporté à la sélection des commissions de présélection et des jurys finaux, composés de personnalités académiques, artistiques et littéraires de haut niveau, spécialisées dans les domaines concernés, selon des critères rigoureux garantissant le choix de lauréats et d’œuvres prestigieux.

La cérémonie a également été marquée par la projection d’un film retraçant le parcours du prix lors de sa douzième édition, ainsi que par une prestation artistique du Centre omanais de musique.

En clôture de la cérémonie, le ministre des Awqaf et des Affaires religieuses a annoncé les domaines retenus pour la treizième édition du prix, qui sera exclusivement réservée aux candidats omanais. Elle portera sur : la culture (études sur la famille et l’enfance au Sultanat d’Oman), les arts (calligraphie arabe) et les lettres (nouvelle).

Il convient de rappeler que ce prix vise à rendre hommage aux intellectuels, artistes et écrivains pour leurs contributions au renouvellement de la pensée et à l’élévation de la sensibilité humaine, tout en mettant en valeur la contribution omanaise — passée, présente et future — à l’enrichissement de la civilisation humaine.

Le prix est décerné en alternance : une année réservée aux Omanais, et l’année suivante ouverte à l’ensemble du monde arabe. Chaque lauréat de l’édition arabe reçoit la Médaille du Sultan Qaboos pour la culture, les sciences, les arts et les lettres, assortie d’une dotation de 100 000 rials omanais. Pour l’édition omanaise, chaque lauréat reçoit la Médaille du mérite, accompagnée d’une dotation de 50 000 rials omanais.

Le prix a été institué par le décret royal n° 18/2011 du 27 février 2011, afin de reconnaître la production intellectuelle et cognitive et d’affirmer le rôle historique du Sultanat d’Oman dans l’ancrage de la conscience culturelle, considérée comme un pilier fondamental du progrès civilisationnel.