SRMG nommé éditeur officiel du Festival international du film de la mer Rouge 2021

Saudi Research and Media Group a été choisi comme éditeur officiel du Festival international du film de la mer Rouge. (Photo fournie)
Saudi Research and Media Group a été choisi comme éditeur officiel du Festival international du film de la mer Rouge. (Photo fournie)
Short Url
Publié le Jeudi 09 décembre 2021

SRMG nommé éditeur officiel du Festival international du film de la mer Rouge 2021

Saudi Research and Media Group a été choisi comme éditeur officiel du Festival international du film de la mer Rouge. (Photo fournie)
  • Le premier groupe de médias de la région a été choisi comme éditeur officiel de l’un des plus grands festivals de film du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord
  • SRMG et le RSIFF se sont engagés à soutenir les secteurs du multimédia et des arts créatifs, ce qui en fait des partenaires naturels pour l’édition 2021 du Festival

RIYAD: La maison d’édition du Moyen-Orient Saudi Research and Media Group (SRMG) a été choisie comme éditeur officiel de l’un des événements artistiques les plus passionnants de la région, le Festival international du film de la mer Rouge (Red Sea International Film Festival, RSIFF). 

Ce partenariat permettra de tirer parti des 165 millions de lecteurs de SRMG au Moyen-Orient et dans le monde. Couvrant la programmation du RSIFF avant et pendant le festival, le contenu éditorial et publicitaire sera présenté sur les plates-formes numériques, sociales, de diffusion et d’impression de SRMG dans plus de 30 des médias les plus influents de la région. Parmi ceux-ci figurent Asharq al-Awsat, Arab News, Asharq News, Hia et Sayidaty. 

SRMG et le RSIFF se sont engagés à soutenir les secteurs du multimédia et des arts créatifs, ce qui en fait des partenaires naturels pour l’édition 2021 du Festival. SRMG a acquis, pendant cinq décennies, une réputation de géant des médias et du contenu, tandis que le RSIFF a ouvert la voie à une nouvelle génération de créatifs et de conteurs saoudiens depuis sa création. 

Saleh Aldowais, directeur d’exploitation du Saudi Research and Media Group, a déclaré: «Nous sommes ravis d’avoir été nommés partenaire d’édition officiel de l’un des principaux événements culturels créatifs d’Arabie saoudite, le Festival international du film de la mer Rouge. Ce partenariat à la fois stratégique et créatif pour SRMG et le RSIFF reflète nos objectifs communs et notre engagement à créer un contenu médiatique et artistique de la plus haute qualité pour et dans la région.» 

«Nous sommes fiers de nous associer à SRMG, une des maisons d’édition les plus dynamiques, pour l’édition 2021 du Festival international du film de la mer Rouge. Le Festival vise à promouvoir les échanges interculturels et à favoriser la croissance de l’industrie cinématographique arabe, en positionnant l’Arabie saoudite comme un contributeur à l’industrie cinématographique internationale tout en offrant un événement de classe mondiale aux communautés locales. En collaborant avec SRMG, nous sommes fidèles à notre objectif de créer une plate-forme pour les voix arabes émergentes et établies dans les arts créatifs, en 2021 et au-delà», a ajouté Shivani Pandiya Malhotra, directrice générale du Festival international du film de la mer Rouge. 

L’édition 2021 devrait être la plus prolifique à ce jour pour le RSIFF, avec la projection de 135 films réalisés par plus de 67 pays. Le RSIFF présentera les meilleurs films de la région ainsi que des titres de renommée internationale soigneusement sélectionnés, encourageant ainsi le dialogue et présentant différentes cultures et traditions du monde entier. Le Festival offre aux talents saoudiens une plate-forme pour raconter des histoires et, grâce à des fonds dédiés, il développe et encourage les réalisateurs locaux tout en promouvant la production cinématographique dans la région. 

Fondé en 1972, Saudi Research and Media Group (SRMG) est une maison d’édition du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. Il possède un portefeuille de plus de 30 grands médias, dont Asharq al-Awsat, Asharq News et Arab News, qui diffusent des informations, des actualités et des contenus liés au mode de vie à une audience mensuelle de plus de 165 millions de personnes. 

Cotée à la bourse Tadawul de Riyad, SRMG cherche à fournir un contenu original, exclusif et de qualité dans plusieurs langues afin de donner aux consommateurs les moyens d’accéder à l’actualité et à l’information par le biais de plates-formes numériques et sociales. Le groupe dispose également d’une couverture câble et satellite de premier plan. 

Grâce à ses nombreuses plates-formes, son contenu et ses voix, SRMG est idéalement positionné pour tirer parti des opportunités de distribution de contenu numérique, de publicité en ligne et de partenariats commerciaux qui se développent rapidement sur le marché mondial des médias et du divertissement. 

Basé à Riyad, en Arabie saoudite, SRMG possède des bureaux dans 18 villes du monde, dont Londres et Dubaï. Pour en savoir plus sur SRMG, cliquez sur le lien suivant: www.srmg.com

L’édition inaugurale du Festival international du film de la mer Rouge, en partenariat avec MBC Group, la compagnie aérienne Saudia et VOX Cinemas, s’apprête à présenter le meilleur du cinéma arabe et mondial dans la vieille ville de Djeddah, site classé au patrimoine mondial de l’Unesco, du 6 au 15 décembre 2021. 

Le Festival diffusera une sélection fascinante de films nouveaux et variés ainsi qu’un programme rétrospectif célébrant les maîtres du cinéma et présentant au public de nouvelles voix passionnantes de la région et d’ailleurs. Le Festival offrira une plate-forme de rencontre aux cinéastes arabes et aux professionnels de l’industrie des quatre coins du monde, accueillera des compétitions de longs et courts métrages et organisera une série d’événements, de classes de maître et d’ateliers pour soutenir les talents émergents. Pour en savoir plus sur le Festival du film de la mer Rouge, consultez le site Web www.redseafilmfest.com

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Astérix face à Tintin dans la même vente aux enchères à Paris

Une planche des «Lauriers de César» et une esquisse d'une page de «Coke en stock» sont mis aux enchères le même jour (Photo, AFP).
Une planche des «Lauriers de César» et une esquisse d'une page de «Coke en stock» sont mis aux enchères le même jour (Photo, AFP).
Short Url
  • La vente est prévue à Paris le 16 novembre
  • Ces deux pièces côtoient celles d'autres légendes de la BD

PARIS: Astérix ou Tintin, qui vaudra le plus cher ? Une planche des "Lauriers de César" et une esquisse d'une page de "Coke en stock" sont mis aux enchères le même jour, a annoncé mardi la maison Daniel Maghen.

La vente est prévue à Paris le 16 novembre.

L'original à l'encre de Chine, dédicacé par Albert Uderzo, de la planche 25 des "Lauriers de César" (1972) est estimé entre 110 000 et 130 000 euros.

Le crayonné original de la planche 48 de "Coke en Stock", à la mine de plomb, par Hergé vaut a priori un peu moins cher: 90 000 à 110 000 euros.

Ces deux pièces côtoient celles d'autres légendes de la BD.

Une planche noir et blanc de Gaston Lagaffe ("Un gaffeur sachant gaffer", 1969), par Franquin, est estimée de 60 000 à 70 000 euros. Des planches de Moebius ("Major fatal"), Jean Giraud ("Blueberry, Chihuahua Pearl") ou Will ("Tif et Tondu, Plein gaz") sont également proposées.

Le record pour Uderzo est l'illustration de couverture de l'album "Le Tour de Gaule", à la gouache et aux encres de couleur, vendue 1,449 million d'euros en 2017.

Celui pour Hergé est de 3,175 millions d'euros, en 2021, avec un projet de couverture non retenu pour "Le Lotus bleu", à l'encre de Chine, gouache et aquarelle.


Des créateurs saoudiens collaborent avec Adidas pour une nouvelle campagne promotionnelle

Le créateur de mode Mohammed Bajbaa, l'artiste Noura ben Saidan, et le cinéaste Ali Kalthami, se sont associés à Adidas pour une nouvelle campagne promotionnelle. (Photo fournie)
Le créateur de mode Mohammed Bajbaa, l'artiste Noura ben Saidan, et le cinéaste Ali Kalthami, se sont associés à Adidas pour une nouvelle campagne promotionnelle. (Photo fournie)
Short Url
  • Au nombre des collaborateurs de la campagne figurent le cinéaste Ali Kalthami et l'artiste Noura ben Saidan
  • La campagne, menée sous la marque Adidas Originals, se concentre sur des chaussures de sport traditionnelles de la marque, notamment la Samba, la Gazelle et la Superstar

DUBAÏ: Les talents saoudiens sont une fois de plus à l'avant-garde de la culture mondiale. Le géant du sport Adidas vient de lancer sa nouvelle plate-forme de la marque mondiale réunissant 17 créateurs issus des domaines de l'alimentation, de la mode, de l'art, de la musique et du cinéma.

Ayant pour titre «Nous avons donné au monde un original, vous nous en avez rendu mille», la campagne fait appel à plusieurs vedettes parmi les plus brillantes du Royaume, dont le réalisateur Ali Kalthami, l’artiste en peinture murale Noura ben Saidan, et le créateur de mode Mohammed Bajbaa.

Le premier long métrage de Ali Kalthami, Mandoob, avait reçu des critiques élogieuses au Festival international du film de Toronto, et devrait être projeté dans les cinémas de la région en décembre.

Son travail avec Adidas est son premier contact avec une marque mondiale de mode. «J’ai été approché à plusieurs reprises et j’ai toujours eu l’impression que ce n’était pas le bon moment; et je me suis abstenu», confie-t-il à Arab News.

«J’étais très réservé et je ne voulais pas montrer mon visage. Maintenant, j’approche de la quarantaine. Le jour de mon dernier anniversaire, je me suis dit que je devais m'amuser davantage, et Adidas est une marque avec laquelle il est vraiment amusant de travailler», explique-t-il.

«J’ai grandi à Riyad, et Adidas a toujours fait partie de notre quotidien, même quand j’étais à l'école primaire. Pour moi, cela signifie être original et innovant. La marque est aussi synonyme de santé, et tout cela fait partie intégrante de ma vie et de celle de tant de personnes ici en Arabie saoudite. Je ne m’attendais pas à ce que cela se produise, mais je suis fier d’en faire partie», précise-t-il.

La campagne, menée sous la marque Adidas Originals, se concentre sur un certain nombre de chaussures de sport traditionnelles de la marque, notamment la Samba, la Gazelle et la Superstar. Adidas avait auparavant collaboré avec Ravi, le restaurant préféré de Dubaï, fondé par Chaudary Abdel Hamid, pour produire une chaussure basée sur sa marque Superstar, qui a connu un succès mondial.é que les baskets étaient devenues par inadvertance une extension de son art, car la paire qu'elle portait lors de la réalisation de ses créations était devenue toute éclaboussée de peinture.

«Les chaussures font partie de mon œuvre», affirme-t-elle. «Surtout parce qu'à chaque fois que je termine une peinture, mes chaussures se transforment et se remplissent de tâches comme si je portais des chaussures différentes.»

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Un chapeau de Michael Jackson, celui du premier moonwalk, adjugé 77 640 euros

Un chapeau Fedora ayant appartenu au chanteur américain Michael Jackson, confectionné en laine et doublé de soie, est exposé avant d'être mis en vente aux enchères, à Paris, le 12 septembre 2023 (Photo de Geoffroy VAN DER HASSELT / AFP).
Un chapeau Fedora ayant appartenu au chanteur américain Michael Jackson, confectionné en laine et doublé de soie, est exposé avant d'être mis en vente aux enchères, à Paris, le 12 septembre 2023 (Photo de Geoffroy VAN DER HASSELT / AFP).
Short Url
  • Ce chapeau en laine doublé de soie, un modèle Fedora, estimé entre 60 000 et 100 000 euros, était le clou de cette vente réunissant 200 objets rock
  • Ce chapeau est ensuite réapparu dans une collection européenne

PARIS: Le chapeau que Michael Jackson portait juste avant d'effectuer son premier moonwalk –- son pas de danse-signature -– a été adjugé mardi 77 640 euros (avec frais), lors d'une vente aux enchères à Paris en présence de nombreux fans et curieux, a annoncé l'hôtel Drouot.

Ce chapeau en laine doublé de soie, un modèle Fedora, estimé entre 60 000 et 100 000 euros, était le clou de cette vente réunissant 200 objets rock, sous le marteau de la maison de ventes Lemon Auction.

"C'est un certain Adam Kelly -- dont nous avons le badge pour le show du 25 mars 1983 -- qui a récupéré ce chapeau ce jour-là, pensant que le staff du chanteur allait venir le récupérer, mais non", a raconté à l'AFP Arthur Perault, directeur général de la galerie Artpèges qui l'a mis en vente.

Adam Kelly l'a gardé pendant plusieurs années avant de le céder à un collectionneur américain. Ce chapeau est ensuite réapparu dans une collection européenne.

Les enchérisseurs se sont également disputés la guitare du bluesman T-Bone Walker (1910-1975), influence majeure de B.B. King, Chuck Berry, Jimi Hendrix, Buddy Guy, Jimmy Page ou encore Eric Clapton. L'instrument a été adjugé 129 400 euros (avec frais). Cette "six cordes", produite seulement à 22 exemplaires en 1949, était évaluée 150 000 euros, en estimation haute.

Récemment, à Londres, une série de ventes aux enchères de milliers d'objets ayant appartenu à Freddie Mercury a atteint 46,5 millions d'euros, un record pour une collection de ce genre, selon la maison de vente Sotheby's. Dont le piano sur lequel l'artiste a quasiment tout composé à partir de "Bohemian Rhapsody", parti pour 2 millions d'euros.