Algérie/Qatar: signature d’une convention pour l’investissement dans la filière hôtelière

Mohamed Anouar Benabdelouahad, PDG du groupe HTT, et cheikh Nayef ben Eid al-Thani, président du Conseil d’administration de la société qatarie  Retaj. (Photo fournie)
Mohamed Anouar Benabdelouahad, PDG du groupe HTT, et cheikh Nayef ben Eid al-Thani, président du Conseil d’administration de la société qatarie Retaj. (Photo fournie)
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Publié le Mercredi 01 février 2023

Algérie/Qatar: signature d’une convention pour l’investissement dans la filière hôtelière

  • Abdelaziz Ali al-Naama, ambassadeur du Qatar en Algérie, indique que les relations entre les deux pays sont un modèle de l’intégration interarabe
  • «D’autres conventions et d’autres contrats seront conclus entre les deux pays», a indiqué Yacine Hammadi, le ministre algérien du Tourisme

PARIS: L’année 2022 a marqué l’entrée en vigueur d’un nouvel élan dans les relations entre l’Algérie et le Qatar. Le Haut-Commissariat algéro-qatari a tenu de nombreuses rencontres à Doha et à Alger afin d’accompagner les opérateurs économiques et de superviser les opportunités d’affaires entre les deux pays. Ces rencontres ont permis l’aboutissement d’accords de partenariat. Ils concernent notamment la création d’un hôpital algéro-qatari-allemand, l’accès au marché de la production laitière, le développement des activités et l’extension de la société de sidérurgie algéro-qatarie dans la zone industrielle de Bellara, et d’autres projets dans le secteur des transports. 

Dans un entretien pour Algérie Presse Service (APS), Abdelaziz Ali al-Naama, ambassadeur du Qatar en Algérie, indique que les relations entre les deux pays sont un modèle de l’intégration interarabe. «Les perspectives de coopération économique reposent sur la ferme conviction que les deux pays frères parviendront à un rapprochement plus étroit; c’est ce à quoi aspirent leurs directions éclairées.»

Le Qatar, un investisseur puissant 

Interrogé par Arab News en français sur le développement des relations bilatérales, Souhil Meddah, expert en ingénierie financière et en capitalisation, considère qu’elles sont «anciennes et historiques». Il ajoute que «les relations de l’Algérie avec les pays arabes sont appelées à être consolidées, avec un objectif de renforcement de la coopération économique». L’expert affirme que le Qatar, considéré comme un investisseur puissant et un très important bailleur de fonds, se positionne, comme beaucoup de pays, dans des espaces multipolaires, notamment dans la période post-Covid. 

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Souhil Meddah, expert en ingénierie financière et en capitalisation. (Photo fournie)

«Les accords de coopération conclus récemment entre les deux pays entrent dans le cadre de cette dynamique. D’un côté, l’Algérie, qui cherche à dynamiser et à diversifier son économie, peut être considérée comme une terre d’accueil pour les projets de partenariats.

«Les relations de l’Algérie avec les pays arabes sont appelées à être consolidées, avec un objectif de renforcement de la coopération économique», déclare l’expert Souhil Meddah.

Le Qatar apparaît quant à lui comme une zone de multipolarité dans un objectif de dynamisation économique et commerciale entre les pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.» Souhil Meddah rappelle que l’Algérie réserve une place importante aux pays arabes, parmi lesquels le Qatar, dans ses projets de coopération économique.

L’Algérie et le Qatar ont procédé à la signature d’une convention-cadre qui porte sur le renforcement de la coopération et de l’investissement dans le domaine du développement et de la gestion des structures hôtelières. Elle concerne le groupe Hôtellerie tourisme et thermalisme (HTT) et la société qatarie Retaj Hotels Hospitality.  

 

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Mohamed Anouar Benabdelouahad, PDG du groupe HTT, et cheikh Nayef ben Eid al-Thani, président du Conseil d’administration de la société qatarie  Retaj. (Photo fournie)

Promouvoir les unités hôtelières 

Signée le 2 janvier 2023 par Mohamed Anouar Benabdelouahad, PDG de HTT, et cheikh Nayef ben Eid al-Thani, président du conseil d’administration de Retaj, en présence du ministre algérien du Tourisme, Yacine Hammadi, cette convention prévoit la mobilisation des investissements nécessaires pour promouvoir les unités hôtelières conformément aux standards internationaux et pour améliorer la qualité des services dans ce domaine. 

Cet accord permettra à la société qatarie d’apporter son assistance en matière de gestion, de réhabilitation et d’amélioration des services de soixante-treize établissements qui appartiennent au groupe algérien à travers le territoire national. «D’autres conventions et d’autres contrats seront conclus pour hisser le niveau des relations bilatérales dans divers domaines, notamment dans le secteur du tourisme», a indiqué Yacine Hammadi lors de la signature de l’accord. 

Rappelons que la délégation qatarie, conduite par le président du conseil d'administration du Groupe Retaj Hotel and Hospitality, qui est aussi vice-président du conseil d'administration du Fonds de développement du tourisme arabe et membre de l'Association des hôtels qataris, cheikh Nayef ben Eid al-Thani, a effectué une visite de travail en Algérie. Elle a été reçue par le Premier ministre algérien, Aïmene Benabderrahmane. Son objectif est d’explorer les différentes opportunités offertes dans le secteur du tourisme.


Gaz russe: Pékin en position de force face à Moscou

Le président russe Vladimir Poutine et le président chinois Xi Jinping font une déclaration conjointe à l'issue de leurs entretiens au Kremlin à Moscou le 21 mars 2023 (Photo, AFP).
Le président russe Vladimir Poutine et le président chinois Xi Jinping font une déclaration conjointe à l'issue de leurs entretiens au Kremlin à Moscou le 21 mars 2023 (Photo, AFP).
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  • Le titanesque projet Force de Sibérie 2 offrirait un débouché commercial vital pour le gaz russe
  • Mais l'enthousiasme est plus mesuré côté chinois

PÉKIN: Avec le nouveau méga-projet de gazoduc entre Chine et Russie, Moscou espère réduire sa dépendance vis-à-vis de ses acheteurs européens mais risque d'aggraver le déséquilibre de ses relations commerciales avec Pékin, qui s'est accentué depuis l'invasion de l'Ukraine, estiment des analystes.

Célébré par Vladimir Poutine lors de la récente visite à Moscou de son homologue chinois Xi Jinping, le titanesque projet Force de Sibérie 2 offrirait un débouché commercial vital pour le gaz russe, que les Occidentaux ont frappé de sanctions en représailles à l'invasion de l'Ukraine.

Moscou veut croire que ce gazoduc de 2 600 kilomètres, reliant la Sibérie au Xinjiang chinois (nord-ouest) et par lequel devraient transiter 50 milliards de m3 de gaz, est sur de bons rails. À terme, sa capacité devrait être à peu près équivalente à celle du gazoduc controversé Nord Stream 2 reliant la Russie à l'Allemagne.

Mais l'enthousiasme est plus mesuré côté chinois. Jusqu'à présent, Pékin a évité tout engagement formel sur ce projet, dont le calendrier reste encore très flou.

Si le président russe a affirmé auprès de M. Xi que "tous les accords avaient été conclus" entre les deux pays sur ce gazoduc, leur communiqué commun se borne à encourager les "recherches et les consultations".

Selon des experts, l'attentisme chinois est révélateur à la fois de la position de force de Pékin face à Moscou mais aussi de son souhait de ne pas dépendre à l'excès de la Russie pour son approvisionnement énergétique.

La Chine "n'est absolument pas pressée de signer quoi que ce soit à moins que la proposition ne lui soit favorable et soit modelée à partir des conditions" qu'elle a fixées, estime Maria Shagina, experte à l'Institut international d'études stratégiques (IISS) de Berlin.

Sollicité par l'AFP, le ministère chinois des Affaires étrangères n'a pas donné suite.

«La Russie est désespérée»

Autrefois premier exportateur mondial de gaz naturel liquéfié (GNL), la Russie a vu ses exportations de gaz s'effondrer en 2022 sous le coup des sanctions occidentales.

Alors que l'Union européenne cherchait de nouvelles sources d'approvisionnement en gaz, la Russie s'est tournée vers d'autres acheteurs et notamment la Chine, à laquelle est elle déjà reliée via le gazoduc Force de Sibérie 1. Un volume record de 15,5 milliards de m3 a d'ailleurs transité par ce pipeline l'an dernier.

En 2022, la Chine a ainsi détrôné l'Allemagne pour devenir le premier acheteur de produits énergétiques russes. Et en 2023, Pékin a déjà versé 12,2 milliards de dollars à Moscou pour son charbon, son gaz ou son pétrole, selon le Centre de recherche sur l'énergie et l'air propre, basé à Helsinki.

Mais les ventes énergétiques russes vers l'Asie restent toutefois modestes par rapport aux 155 millions de m3 que Moscou exportait l'Europe avant la guerre en Ukraine.

"La Russie essaye désespérément d'envoyer autant de gaz que possible vers l'Est au moment où l'Europe s'efforce de réduire sa dépendance au gaz russe", indique Philip Andrews-Speed, chercheur à l'Institut des études sur l'énergie de l'Université nationale de Singapour.

Mais les obstacles ne sont pas minces.

Le réseau existant de pipelines en Russie a été "principalement structuré pour répondre au marché européen", analyse Jaime Concha, experte du marché du gaz dans le cabinet Energy Intelligence.

Construire un réseau équivalent en Asie serait, selon lui, coûteux et long, ce qui montre "le peu d'alternatives dont dispose la Russie".

«Leçons d'Europe»

Parallèlement, la Chine a cherché à diversifier ses sources d'approvisionnement et a signé une série d'accords gaziers à travers le monde, notamment en novembre avec le Qatar pour un montant de 60 milliards de dollars et une durée de 27 ans.

"Les dirigeants chinois tirent aussi des leçons de l'Europe sur sa dépendance excessive vis-à-vis des importations énergétiques russes", déclare Yan Qin, spécialiste du charbon à la société Refinitiv.

Du fait du renforcement de sa position dans les négociations énergétiques avec la Russie, "la Chine est sortie grand vainqueur de la guerre en Ukraine", affirme Maria Shagina de l'IISS, selon qui Pékin a "profité de l'isolement de Moscou" pour accélérer ses achats de gaz, pétrole et charbons russes à "prix cassés".


TikTok sur la sellette au Congrès américain

Shou Chew, le patron de TikTok, filiale du groupe chinois ByteDance, est auditionné jeudi par des élus américains qui l'accusent de mettre en danger la sécurité nationale et la santé de ses utilisateurs, et l'ont en partie condamnée d'avance. (Photo, Reuters)
Shou Chew, le patron de TikTok, filiale du groupe chinois ByteDance, est auditionné jeudi par des élus américains qui l'accusent de mettre en danger la sécurité nationale et la santé de ses utilisateurs, et l'ont en partie condamnée d'avance. (Photo, Reuters)
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  • Tiktok, soupçonné par de nombreux gouvernements de donner accès aux données des utilisateurs à Pékin, risque l'interdiction totale aux Etats-Unis
  • La pression politique contre le très populaire réseau social est montée en flèche ces derniers mois des deux côtés de l'Atlantique

WASHINGTON: Shou Chew, le patron de TikTok, filiale du groupe chinois ByteDance, a tenté difficilement jeudi de défendre son application, face à des élus américains intraitables, qui avaient pour la plupart condamné d'avance la plateforme menacée d'interdiction totale aux Etats-Unis.

"J'imagine que vous allez dire tout ce que vous pouvez aujourd'hui pour éviter ce résultat", a déclaré d'emblée Cathy McMorris Rodgers, la présidente de la puissante commission parlementaire de l'Energie et du Commerce, qui a convoqué le dirigeant pour une audition.

"On ne vous croit pas", a-t-elle assené. "ByteDance est redevable au Parti communiste chinois et ByteDance et TikTok, c'est la même chose".

Le dirigeant singapourien, diplômé de Harvard, a subi un interrogatoire particulièrement pugnace de la part des représentants qui ont présenté, exceptionnellement, un front uni.

"Monsieur Chew, bienvenu à la commission la plus transpartisane du Congrès. Nous ne sommes pas toujours d'accord sur la méthode, mais nous voulons tous protéger notre sécurité nationale, notre économie et surtout nos enfants", a souligné le républicain Buddy Carter.

Pendant plus de cinq heures, les élus n'ont quasiment pas laissé parler l'ancien banquier. Selon eux, le Parti communiste chinois se sert de TikTok à des fins d'espionnage et de manipulation.

La Maison Blanche, la Commission européenne, les gouvernements canadien et britannique et d'autres organisations ont récemment interdit à leurs fonctionnaires de l'utiliser.

Shou Chew a promis que d'ici la fin de l'année, toutes les informations liées aux 150 millions d'utilisateurs américains seraient gérées uniquement depuis des serveurs du groupe texan Oracle, situés aux Etats-Unis.

Mais il a dû reconnaître que la plateforme a encore d'anciennes données accessibles par des employés chinois.

TikTok "détruit des vies"

"Le gouvernement chinois ne possède pas et ne contrôle pas ByteDance. C'est une entreprise privée", a-t-il cependant insisté.

La représentante Anna Eshoo a qualifié ses arguments de "grotesques". "Je ne crois pas qu'il existe réellement un secteur privé en Chine", a-t-elle dit, évoquant la loi chinoise qui impose aux entreprises du pays de partager leurs données si Pékin leur demande.

"Je crois quand même que le gouvernement communiste de Pékin aura toujours le contrôle, et la capacité d'influencer ce que vous faites", a de son côté martelé l'élu démocrate Frank Pallone.

Plusieurs projets de loi, soutenus à droite et à gauche, sont dans les tuyaux pour interdire TikTok. La Maison Blanche a laissé entendre que si TikTok restait dans le giron de ByteDance, elle serait interdite.

Avant l'audition, le ministre chinois du Commerce a fait savoir qu'il s'opposerait "fermement" à une vente forcée, soulignant que toute cession de TikTok nécessiterait l'approbation de Pékin.

Le patron a aussi affronté de nombreuses questions sur les responsabilités de TikTok concernant la santé mentale et physique des plus jeunes, des risques d'addiction aux dangereux défis que se lancent les utilisateurs.

"Votre entreprise a détruit leurs vies", a déclaré Gus Bilirakis, en désignant les parents d'un adolescent mort, venus assister à l'audition. Ils ont porté plainte contre la plateforme, qu'ils accusent d'avoir montré des milliers de vidéos non sollicitées sur le suicide à leur fils.

"Votre technologie entraîne littéralement des décès", a lancé le représentant.

Crédibilité

"Le sort de TikTok aux Etats-Unis est plus incertain que jamais après cet interrogatoire exténuant de Shou Chew", a réagi l'analyste Jasmine Enberg d'Insider Intelligence.

"Il n'y a pas grand chose qu'il aurait pu dire pour convaincre les législateurs que TikTok n'est pas contrôlé ou influencé, directement ou indirectement, par le Parti communiste chinois".

L'application et plusieurs associations estiment qu'une interdiction complète - comme en Inde depuis 2020 - relèverait de la censure.

"Interdire TikTok saperait profondément la crédibilité des Etats-Unis en tant que défenseur de la liberté en ligne", ont affirmé 16 ONG dans une lettre adressée au Congrès mercredi.

"Pourquoi autant d'hystérie autour de TikTok ?", a demandé mercredi soir le représentant démocrate Jamaal Bowman, lors d'une conférence de presse avec des créateurs de contenus venus défendre leur réseau préféré.

La plateforme présente les mêmes risques pour la confidentialité des données, la santé des utilisateurs ou la désinformation que "Facebook, Instagram, YouTube et Twitter", a fait valoir l'élu, appelant à une "conversation honnête sur tous les réseaux sociaux".

De nombreux influenceurs craignent de perdre tout ou partie de leurs revenus, et la base de fans qu'ils ont assemblée.

Duncan Joseph, un comédien de 20 ans, a expliqué à l'AFP qu'il n'aurait jamais pu construire sa "communauté" sur les autres plateformes, qu'il juge moins "authentiques".

"Sur TikTok, tout le monde peut devenir une superstar", a dit le créateur de contenus.


En Arabie saoudite, les loyers de biens immobiliers augmentent de 81%

Riyad se classe en première position avec le plus grand nombre de contrats de location en Arabie saoudite en 2022. (Shutterstock).
Riyad se classe en première position avec le plus grand nombre de contrats de location en Arabie saoudite en 2022. (Shutterstock).
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  • Djeddah se classe en deuxième position avec 357 000 unités résidentielles, soit une augmentation annuelle de 59%, et 108 000 unités commerciales, soit une augmentation de 84%.
  • Ejar est un système complet qui vise à développer le secteur du logement et de l’immobilier en Arabie saoudite, en mettant en place des solutions durables aux défis du marché immobilier

RIYAD: La valeur des contrats de location résidentielle et commerciale en Arabie saoudite a presque doublé l’an dernier pour atteindre 76 milliards de riyals saoudiens (1 riyal = 0,24 euro) contre 41,9 milliards de riyals saoudiens en 2021.

Selon les données de l’Autorité générale immobilière Ejar, la valeur totale des transactions de location commerciale s’élevait à 40,9 milliards de riyals saoudiens l’année dernière, tandis que celle des propriétés résidentielles a atteint 35,1 milliards de riyals saoudiens.

Dans le secteur résidentiel, la valeur totale des transactions en matière de location d’appartements a connu une augmentation annuelle de 76% en 2022, atteignant 29,6 milliards de riyals saoudiens.

La valeur totale des locations d’étages s’élève à environ 3,1 milliards de riyals saoudiens, soit une augmentation de 51% par rapport à 2021, tandis que la valeur totale des transactions en matière de villas a atteint 2,9 milliards de riyals saoudiens, soit une augmentation de 49%.

Les transactions commerciales en termes de magasins ont augmenté de 108% en valeur totale, atteignant 17,4 milliards de riyals saoudiens en 2022, tandis que la valeur totale des contrats de location d’espaces d’exposition et de bureaux a bondi de 157% et 77% pour atteindre 7,2 milliards de riyals saoudiens et 4 milliards de riyals saoudiens, respectivement.

En termes de villes, Riyad est arrivée en tête avec le plus grand nombre de transactions de location en 2022, d’un montant total de 24,7 milliards de riyals saoudiens, suivie de Djeddah avec 17 milliards de riyals saoudiens et La Mecque avec 4,9 milliards de riyals saoudiens.

En bas du classement, on retrouve Najran avec 249 millions de riyals saoudiens, Arar avec 226 millions de riyals saoudiens et Al-Bahah avec 148 millions de riyals saoudiens.

Riyad était la première ville avec 470 000 unités résidentielles et 181 000 unités commerciales en 2022.

Djeddah se classe en deuxième position avec 357 000 unités résidentielles, soit une augmentation annuelle de 59%, et 108 000 unités commerciales, soit une augmentation de 84%.

Le volume d’unités proposées à la location s’élevait à 3,2 millions en 2022, une augmentation annuelle de 53%, avec plus de 2,4 millions d’unités résidentielles. Le volume d’unités commerciales proposées à la location s’élevait à plus de 800 000 unités.

Ejar est un système complet qui vise à développer le secteur du logement et de l’immobilier en Arabie saoudite, en mettant en place des solutions durables aux défis du marché immobilier, capables de préserver les droits de toutes les parties concernées par le bail.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com