Des stylistes saoudiennes partagent leur inspiration pour la mode en faveur de la Saudi Cup

L'exposition Saudi 100 Brands est organisée par la Commission saoudienne de la mode, qui a créé le programme pour sélectionner les 100 meilleures marques de mode de l’Arabie saoudite afin de présenter leur travail au niveau mondial (Photos, AN/Huda Bashatah).
L'exposition Saudi 100 Brands est organisée par la Commission saoudienne de la mode, qui a créé le programme pour sélectionner les 100 meilleures marques de mode de l’Arabie saoudite afin de présenter leur travail au niveau mondial (Photos, AN/Huda Bashatah).
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Publié le Samedi 25 février 2023

Des stylistes saoudiennes partagent leur inspiration pour la mode en faveur de la Saudi Cup

  • Les influenceurs régionaux et les icônes de style créent des tendances avec des modèles sur mesure créés spécialement pour l'événement
  • L'ensemble conçu à la main pour Al-Rumaihi compte plus de 700 000 perles et s'inspire de la culture de la région d'Asir du Royaume, a déclaré Al-Dhahri à Arab News

RIYAD : Les influenceurs de la mode et les icônes de style de la région créent les tendances de la Coupe d'Arabie saoudite ce week-end, avec des modèles sur mesure créés spécialement pour l'événement.

L'une des créatrices à l'honneur est Nour Al-Dhahri, qui a lancé une marque de luxe saoudienne sous son propre nom en 2013 et habille l'influenceuse saoudienne Nojoud Al-Rumaihi.

L'ensemble conçu à la main pour Al-Rumaihi compte plus de 700 000 perles et s'inspire de la culture de la région d'Asir du Royaume, a déclaré Al-Dhahri à Arab News.

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(Photo, AN/Huda Bashatah)

«Nous avons été inspirés par les inscriptions qu'ils font - ils ont des inscriptions sur les murs et les bâtiments, et c'est ce qui nous a inspirés», a-t-elle révélé.

Al-Dhahri a indiqué que la région, située dans le sud-ouest du pays, était connue pour le blé et l'agriculture. Elle et son équipe ont donc décidé d'ajouter des motifs de tige à la création dans le but de refléter l'histoire de la province.

La robe, dont la confection a duré plus de deux mois, se compose de deux pièces : une robe unie moulante et une cape découpée avec une longue traîne.

«Lorsque Al-Rumaihi marchera, elle donnera une impression de royauté. Elle ressemblera à un voile, mais il fait partie de la robe», a expliqué Al-Dhahri.

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(Photo, AN/Huda Bashatah)

L'entrepreneur a opté pour des nuances de bleu et de blanc pour donner «une sensation de détente et de chaleur.»

Al-Dhahri a également créé une coiffe spéciale, aux mêmes couleurs que l'ensemble, «qui correspond parfaitement à l'ambiance des courses de chevaux», a-t-elle ajouté.

«Les courses de chevaux sont toujours accompagnées de chapeaux fous et créatifs - une œuvre d'art».

Une fois que Al-Rumaihi aura porté la robe, qui pèse environ 14 kg, elle sera exposée à l'exposition de mode Saudi 100 Brands lors de l'événement.

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(Photo, Nojoud Al-Rumaihi)

«Al-Rumaihi est la personne parfaite pour nous représenter», a affirmé Al-Dhahri. «Nous sommes fiers que Nojoud soit saoudienne. C'est une influenceuse qui a travaillé avec des marques internationales comme Fendi, Gucci et Graff. Elle reçoit toujours des invitations spéciales à Paris et à Milan. Nous avons donc choisi avec soin la personne qui représentera la robe.»

«Al-Rumaihi est incroyable et les tenues lui vont toujours à merveille», a ajouté la styliste. «Elle a des traits arabes. Nous voulions quelqu'un de calme, car, comme je vous l'ai dit, la robe représente le calme et la détente, et toutes ces caractéristiques se retrouvent dans Nojoud. Donc, quand elle la portera, elle représentera la robe de l'intérieur.»

L'exposition Saudi 100 Brands est organisée par la Commission saoudienne de la mode, qui a créé le programme pour sélectionner les 100 meilleures marques de mode du Royaume afin de présenter leur travail au niveau mondial.

Al-Dhahri a déclaré qu'elle était «honorée et fière de représenter l'Arabie saoudite sur la scène internationale.»

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(Photo, AN /Huda Bashatah)

L'exposition à la Saudi Cup marque sa première participation avec les 100 marques saoudiennes.

«Et ce n'est pas fini», a-t-elle ajouté.

Deux amies, Carlotta, qui représente également Noura Al-Dhahri, et Elisabetta, qui porte la marque saoudienne Heart and Spirit, ont fait le voyage depuis l'Italie pour assister à la Saudi Cup.

Bien que l’Arabie saoudite ne soit pas un pays qu'elles auraient l'habitude de visiter, elles sont fiers de représenter les marques saoudiennes dans le cadre du développement du pays.

«J'ai choisi ce modèle à cause de son magnifique bleu cobalt. J'adore la broderie, et elle me rappelle à la fois l'Italie et l'Arabie saoudite, et je crois que c'est un beau mélange. C'est merveilleux de soutenir les stylistes saoudiens, en particulier les femmes. J'ai l'impression que nous vivons une époque de grands changements», a déclaré Carlotta à Arab News.

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(Photo, AN /Huda Bashatah)

Elisabetta portait une robe blanche à la silhouette moderne avec des imprimés aux accents dorés inspirés de modèles historiques.

«C'est une excellente façon d'honorer la Saudi Cup et cette tradition. Je suis vraiment fière d'être italienne, mais en même temps, je suis honorée de représenter une marque saoudienne ici, dans son propre pays», a-t-elle poursuivi.

Noura Alghilaisy, une autre styliste saoudienne de 100 Brands, a adopté une approche plus sentimentale dans ses créations pour la journaliste et oratrice Abrar Bahabri. Sa marque est un hommage aux femmes saoudiennes fortes, équilibrant modernité, féminité et tradition.

Alghilaisy a grandi avec le patriotisme équestre dans le sang, puisque son père, Said, est maître d'écurie aux écuries Ennabi.

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Danya Ben Saedan dans Ivory Fashion. (Photo fournie)

Elle admire la vitesse et la force des chevaux, comparant ces deux qualités aux développements rapides d'une nation en mutation et aux nombreuses réalisations dans le secteur de la mode.

«Je le vois dans ma propre marque. Elle donne cette belle apparence féminine, accentuant les courbes, mais au fond, les femmes qui la portent ont tellement de force », a-t-elle indiqué à Arab News.

Pour son modèle de la Saudi Cup, Alghilaisy a incorporé des broderies indigènes et des sharabat (glands), propres à la région, ainsi qu'un motif de cape.

«La cape est une alternative à l'abaya. Elle est à la fois modeste et audacieuse, ce qui est similaire à ma marque », a-t-elle clarifié.

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(Photo, AN /Huda Bashatah)

La teinte magenta bordeaux de l'ensemble est un hommage aux écuries de son père, dont le nom se traduit approximativement par la même nuance. Viva magenta est également la couleur de l'année pour 2023.

«Je veux que les femmes passent d'un marché local à un marché international. Et il y avait un grand fossé à combler avant les initiatives du ministère de la Culture pour mettre en valeur ces efforts au sein du Royaume», a signalé Alghilaisy.

«La mode est un excellent moyen de représenter notre culture et notre pays, et c'est aussi une plateforme internationale extrêmement importante.

«Faire partie de la Saudi Cup signifiait beaucoup plus pour moi quand j'ai vu la fierté dans les yeux de mon père d'être impliqué dans ce secteur. La mode a également fait partie de ce secteur, mais personne n'a laissé sa marque de cette manière.»

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(Photo, AN /Huda Bashatah)

La créatrice de mode Mashael Aldraei, fondatrice de Saudi 100 Brands Ivory Fashion, s'est inspiré de Subalat Al-Mudi à Diriyah et du thème commun des triangles dans l'architecture saoudienne.

Elle a conçu une robe exclusive pour l'influenceuse et défenseuse de l'autosoin Zainab Al-Khalifah, fondatrice du salon Zoz Lash.

Chacune des créations d'Aldraei incorpore une version moderne de l'agal du roi Abdelaziz, notamment la tenue qu'elle représente à la Saudi Cup, soulignant l'héritage du Royaume avec des tons naturels trouvés dans l'environnement.

Elle a également habillé la femme d'affaires et influenceuse Danya ben Saedan.

«J'ai utilisé les nuances roses douces pour Zainab car elle représente l'essence même de la féminité, et j'ai utilisé le ton bordeaux avec Danya car il représente le luxe», a mentionné Aldraei à Arab News.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

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Le 87ème prix Albert Londres sera remis le 25 octobre à Beyrouth

Le journaliste français et président du Prix Albert Londres, Hervé Brusini, s'exprime lors du dévoilement d'une plaque commémorative en hommage au caméraman de l'AFP Arman Soldin, tué en Ukraine, sur l'esplanade du Centre universitaire de Vichy, dans le centre de la France, le 7 mai. (AFP)
Le journaliste français et président du Prix Albert Londres, Hervé Brusini, s'exprime lors du dévoilement d'une plaque commémorative en hommage au caméraman de l'AFP Arman Soldin, tué en Ukraine, sur l'esplanade du Centre universitaire de Vichy, dans le centre de la France, le 7 mai. (AFP)
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  • La capitale libanaise devait l'an dernier accueillir les délibérations de la plus prestigieuse récompense de la presse francophone, mais les bombardements israéliens sur plusieurs régions du Liban ont obligé le jury à rapatrier ses travaux sur Paris
  • "Il y a d'abord Beyrouth, Beyrouth est une ville heureuse", écrit Albert Londres en novembre 1919, cité par le communiqué de l'association

PARIS: Le 87ème prix Albert Londres, qui récompense le meilleur reportage écrit et audiovisuel francophone de l'année, sera remis le 25 octobre à Beyrouth, a annoncé mercredi l'association.

La capitale libanaise devait l'an dernier accueillir les délibérations de la plus prestigieuse récompense de la presse francophone, mais les bombardements israéliens sur plusieurs régions du Liban ont obligé le jury à rapatrier ses travaux sur Paris.

"Il y a d'abord Beyrouth, Beyrouth est une ville heureuse", écrit Albert Londres en novembre 1919, cité par le communiqué de l'association.

"Mais l'histoire en décida autrement. Quand le journaliste est revenu dans la région dix ans plus tard, les mots massacres et assassinats se sont imposés sous sa plume. Le conflit israélo-palestinien voyait ses premières victimes", poursuit le texte.

"Déjà ! Près de cent ans plus tard, la tragédie est massive. Informer est un enjeu vital malgré les bombes, malgré les murs. Le Prix Albert Londres se devait d'aller y voir. Le propre du reportage, en somme".

L'association Albert Londres a dévoilé la liste des articles, films et livres pré-sélectionnés pour l'édition 2025, sur 134 candidatures.

Pour le 87ème prix de la presse écrite, ont été choisis : Eliott Brachet (Le Monde), Julie Brafman (Libération) , Emmanuel Haddad (L'Orient-Le Jour), Iris Lambert (Society, Libération), Ariane Lavrilleux (Disclose), Célian Macé (Libération), Matteo Maillard (Libération, Jeune Afrique) et Arthur Sarradin (Libération, Paris Match).

Pour le 41ème prix audiovisuel, ont été retenus : Solène Chalvon-Fioriti pour "Fragments de guerre" (France 5), Marianne Getti et Agnès Nabat pour "Tigré : viols, l'arme silencieuse" (Arte), Jules Giraudat et Arthur Bouvart pour "Le Syndrome de La Havane" (Canal+), Julien Goudichaud pour "Calais-Douvres, l'exil sans fin" (LCP), Louis Milano-Dupont et Elodie Delevoye pour "Rachida Dati, la conquête à tout prix" (France 2) et Solène Oeino pour "Le Prix du papier" (M6).

Pour le 9ème prix du livre, ont été désignés Charlotte Belaich et Olivier Pérou pour "La Meute" (Flammarion), Siam Spencer pour "La Laverie" (Robert Laffont), Quentin Müller pour "L'Arbre et la tempête" (Marchialy) et Elena Volochine pour "Propagande : l'arme de guerre de Vladimir Poutine" (Autrement).

L'an dernier, la journaliste du Monde Lorraine de Foucher avait remporté le prix pour l'écrit pour ses reportages et enquêtes sur les viols de Mazan, les migrantes violées et encore les victimes de l'industrie du porno.

Le prix de l'audiovisuel avait été décerné à Antoine Védeilhé et Germain Baslé pour leur film "Philippines: les petits forçats de l'or" (Arte) et le prix du livre avait couronné Martin Untersinger pour "Espionner, mentir, détruire" (Grasset), une enquête sur les attaques dans le cyberespace.

Créé en 1933 en hommage au journaliste français Albert Londres (1884-1932), père du grand reportage moderne, le prix est doté de 5.000 euros pour chacun des candidats, qui doivent avoir moins de 41 ans.


Des projets architecturaux saoudiens parmi les 15 finalistes du nouveau prix RIBA

Le Wadi Safar Experience Center est une porte d'entrée vers le développement plus large de Wadi Safar et s'inspire du style vernaculaire Najdi. (Fourni)
Le Wadi Safar Experience Center est une porte d'entrée vers le développement plus large de Wadi Safar et s'inspire du style vernaculaire Najdi. (Fourni)
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  • Deux projets innovants situés à Riyad – le parc King Salman et le centre d’expérience de Wadi Safar – ont été sélectionnés parmi les 15 finalistes du nouveau prix RIBA
  • Ce prix célèbre des projets ayant un impact social fort et une vision durable

DUBAÏ : Riyad s'impose comme un centre du design de pointe, alors que le Royal Institute of British Architects (RIBA) a dévoilé les 15 finalistes de son tout premier prix des bâtiments les plus transformateurs du Moyen-Orient.

Cette nouvelle distinction récompense les projets architecturaux récents ayant le plus d’impact social et de transformation à travers le Golfe, et deux des candidats les plus remarquables se trouvent dans la capitale saoudienne.

Au cœur de la contribution de Riyad figure le parc King Salman, une vaste opération de réhabilitation de l’ancien aéroport de la ville, réalisée par Gerber Architekten, Buro Happold et Setec. Ce projet ambitieux transforme une relique de l’ère aérienne en une oasis urbaine immense, offrant aux habitants et visiteurs un réseau de jardins, de plans d’eau et d’espaces de loisirs. Il met en œuvre des techniques novatrices de régénération des sols désertiques, d’utilisation durable de l’eau et de plantation résistante au climat.

Non loin de là, le centre d’expérience de Wadi Safar sert de porte d’entrée au développement plus large de Wadi Safar. Conçu par Dar Al Omran – Rasem Badran, il s’inspire du style vernaculaire najdi, avec des cours intérieures et un aménagement paysager en bermes de terre créant une atmosphère fraîche et contemplative tout en valorisant le patrimoine régional.

La liste des finalistes met également en lumière l’excellence dans tout le Moyen-Orient. Aux Émirats arabes unis, le sanctuaire des tortues et de la faune de Khor Kalba (Hopkins Architects) soutient la réhabilitation des tortues et oiseaux en danger dans la mangrove ancestrale de Sharjah, avec des pavillons arrondis se fondant dans le paysage côtier. À Dubaï, le centre Jafar du Dubai College (Godwin Austen Johnson) offre un espace STEM flexible, baigné de lumière naturelle, où l’acoustique et l’efficacité énergétique sont prioritaires.

À Doha, le centre Al-Mujadilah et sa mosquée pour femmes (Diller Scofidio + Renfro) réinterprètent de manière contemporaine un espace sacré, avec un toit percé de plus de 5 000 puits de lumière diffusant une lumière naturelle apaisante dans les salles de prière et les espaces communautaires.

Plusieurs projets revisitent les formes patrimoniales dans un contexte contemporain. À Sharjah, The Serai Wing, Bait Khalid Bin Ibrahim (ANARCHITECT) transforme deux maisons familiales des années 1950, autrefois propriétés d’un marchand de perles, en un hôtel boutique alliant préservation du patrimoine et design contemporain.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Cate Blanchett sera à l’honneur au Festival du film d’El Gouna

Cate Blanchett sera l'invitée d'honneur de cette année et recevra le prix Champion de l'humanité. (Getty Images)
Cate Blanchett sera l'invitée d'honneur de cette année et recevra le prix Champion de l'humanité. (Getty Images)
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  • L’actrice australienne sera l’invitée d’honneur du festival égyptien et recevra le Champion of Humanity Award pour son engagement humanitaire auprès des réfugiés en tant qu’ambassadrice du HCR
  • Reconnue pour ses rôles marquants au cinéma et son implication sur scène, Blanchett est aussi saluée pour son action sur le terrain dans des camps de réfugiés, incarnant la vision du festival : le cinéma au service de l’humanité

DUBAÏ : L’actrice et productrice australienne Cate Blanchett sera mise à l’honneur lors de la 8e édition du Festival du film d’El Gouna, en Égypte, qui se tiendra du 16 au 24 octobre.

Elle sera l’invitée d’honneur de cette édition et recevra le Champion of Humanity Award (Prix de la Championne de l’Humanité).

« De ses rôles emblématiques dans Elizabeth, Blue Jasmine et TÁR, à ses collaborations remarquables avec les plus grands réalisateurs, Cate Blanchett a laissé une empreinte indélébile sur le cinéma mondial », a publié le festival sur Instagram.

« Au-delà de son art, elle continue de défendre des causes humanitaires urgentes en tant qu’ambassadrice de bonne volonté mondiale pour le HCR, reflétant ainsi la vision du festival : le cinéma au service de l’humanité », ajoute le communiqué. « Pour saluer son engagement en faveur des réfugiés et des personnes déplacées de force, Cate Blanchett recevra le Champion of Humanity Award du Festival du film d’El Gouna. »

Cate Blanchett est également connue pour son travail sur scène, ayant été co-directrice artistique de la Sydney Theatre Company. Elle est aussi cofondatrice de Dirty Films, une société de production à l’origine de nombreux films et séries récompensés.

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Depuis 2016, elle occupe le rôle d’ambassadrice de bonne volonté pour le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés. À ce titre, elle utilise sa notoriété pour sensibiliser à la cause des réfugiés et encourager le soutien international. Elle a visité des camps de réfugiés et des communautés hôtes dans des pays comme la Jordanie, le Liban, le Bangladesh, le Soudan du Sud, le Niger et le Brésil.

En 2018, elle a reçu le Crystal Award lors du Forum économique mondial en reconnaissance de son engagement humanitaire.

Amr Mansi, fondateur et directeur exécutif du Festival d’El Gouna, a déclaré : « C’est un immense honneur d’accueillir une artiste du calibre de Cate Blanchett. Son talent exceptionnel fascine le public depuis des décennies, et son engagement humanitaire à travers le HCR est véritablement inspirant.

Ce partenariat avec le HCR et la Fondation Sawiris, ainsi que sa venue, illustrent parfaitement la mission essentielle de notre festival : utiliser la force du cinéma pour promouvoir un changement positif et soutenir l’humanité. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com