Les poupées Midge et Allan font leur retour après la sortie du film Barbie

Les poupées Barbie, une marque appartenant à Mattel, sont vues au magasin de jouets FAO Schwarz à Manhattan, New York City, États-Unis, 24 novembre 2021. (REUTERS/Andrew Kelly/ Dossier)
Les poupées Barbie, une marque appartenant à Mattel, sont vues au magasin de jouets FAO Schwarz à Manhattan, New York City, États-Unis, 24 novembre 2021. (REUTERS/Andrew Kelly/ Dossier)
Short Url
Publié le Jeudi 27 juillet 2023

Les poupées Midge et Allan font leur retour après la sortie du film Barbie

  • Aujourd'hui, les poupées Midge, devenues rares, sont vendues à des prix élevés sur les marchés en ligne
  • L'attention portée par le film à ces personnages a ravivé l'intérêt pour leur histoire, incitant les collectionneurs et les amateurs de Barbie à rechercher ces jouets précieux

PARIS : Le film Barbie, apparait comme l'une des plus grandes œuvres de marketing – et de cinéma – de l'histoire moderne. Le film a dépassé toutes les prévisions et a réalisé un chiffre d’affaires sans précédent de 162 millions de dollars au box-office américain et un montant impressionnant de 344 millions de dollars à l'échelle mondiale, devenant ainsi le film le plus rentable depuis le début de la pandémie de COVID-19.

''
La marquise du Grove's Theater annonçant la sortie du film "Barbie" est photographiée à Los Angeles, Californie, le 20 juillet 2023. (AFP). 

À l'instar de Barbie elle-même, Midge et Allan, deux poupées classiques mais moins connues de l'univers de Barbie, ont fait un retour triomphal sur le marché des jouets.

Voici comment le film met en lumière ces personnages méconnus de Barbieland.

Midge, la meilleure amie de Barbie

Midge, dont le nom complet est Margaret Hadley Sherwood, est une poupée qui a fait ses débuts en 1963 en tant que meilleure amie de Barbie. Contrairement à Barbie, Midge a été conçue pour être plus réaliste, avec des taches de rousseur, des cheveux roux et un look naturel avec peu de maquillage. Toutefois, sa version originale est abandonnée en 1967, au profit d'autres personnages comme PJ, qui ressemble davantage à Barbie.

Midge fait son retour à la fin des années 1980 dans le cadre de la série California Dream Barbie, puis à nouveau dans les années 1990 dans une robe de mariée.  Dans le film Barbie, la talentueuse actrice Emerald Fennell, lauréate d'un Academy Award, joue le rôle de Midge. Connue pour avoir incarné Camilla Parker Bowles dans The Crown, l’actrice ne manque pas d’impressionner les spectateurs par son nouveau rôle.

Allan, le meilleur ami de Ken

Allan, interprété par Michael Cera dans le film Barbie, constitue une partie intégrante de l'histoire de Midge. Créé par Mattel comme étant le meilleur ami de Ken, le personnage d'Allan est le pendant masculin de Midge. Son nom serait un clin d'œil au gendre de Ruth Handler, Allen Segal. Dans l'univers de Barbie, Allan et Midge se sont « mariés » en 1991.

En 2002, Mattel présente une nouvelle version de la poupée : celle-ci est désormais enceinte et dotée d'un estomac magnétique détachable à l’intérieur duquel se trouve un minuscule bébé en plastique.

''
Une poupée Midge enceinte et son mari, Allan avec leur enfant. (Getty Images)

Les poupées Barbie les plus chères vendues

La liste des poupées Barbie les plus chères vendues sur le marché, selon Artnet News : 

  • La Barbie Marie Antoinette,fabriquée en 2003. Barbie, Vendue pour 1,250 dollars américains 
  • La Barbie de Lorraine Schwartz, fabriquée en 2010. Vendue pour 7,500 dollars américains
  • La Barbie #1, fabriquée en 1959. Vendue pour 27,450 dollars américains
  • La Barbie de Stefano Canturi, fabriquée en 2010. Vendue pour 302,500 dollars américains

La collection Happy Family : controverse et retrait du marché

La poupée, lancée dans le cadre de la collection « Happy Family » suscite une controverse immédiate dès sa sortie. Les clients s’inquiètent du fait que le jouet pourrait promouvoir la maternité chez les adolescentes. En conséquence, la fabrication de la poupée est aussitôt abandonnée, laissant de nombreux collectionneurs impatients de mettre la main sur l'une d'entre elles. 

Flambée des prix

''
Une Barbie vintage et Midge avec une mallette de transport font partie de la tombola de charité lors de la Convention nationale des collectionneurs de poupées Barbie 2015 à l'hôtel Hyatt Regency Crystal City le 31 juillet 2015 à Arlington, en Virginie. (AFP). 

Les poupées Midge et Allan se retrouvent une fois de plus sous les feux de la rampe. L'attention portée par le film à ces personnages a ravivé l'intérêt pour leur histoire, incitant les collectionneurs et les amateurs de Barbie à rechercher ces jouets précieux. Sur ebay, ces Barbies se vendent parfois à prix d'or. Selon le site TMZ, les Barbies Allan se revendent aujourd'hui entre 80 et 300 dollars américains contre une trentaine de dollars avant la sortie du long-métrage Barbie

La folie Barbie relance les ventes de poupées en Afrique du Sud

Les ventes de poupées Barbie s'envolent en Afrique du Sud dans la foulée de la sortie événement du film éponyme, y compris à Johannesburg où une première glamour aux couleurs de barbe à papa a fait rosir les réseaux sociaux.

Le modèle longiligne du fabricant Mattel -- chevelure blonde, yeux bleus et tenues roses-- est décliné depuis des décennies en poupées de différentes ethnicités et couleurs de peau, qui toutes se vendent bien dans la nation "arc-en-ciel" post-apartheid.

"Autour de la sortie du film le week-end dernier, nos ventes ont augmenté de 30%", note Catherine Jacoby, responsable marketing en Afrique du Sud du géant des jouets Toys R Us dans un communiqué.

Mercredi, un mur présentoir de barbies et de maisons de poupées dominait l'entrée d'un magasin de jouets d'une banlieue aisée de Johannesburg. 

"On a des clients de tous les âges, des petites filles mais aussi des adultes qui sont collecteurs", souligne auprès de l'AFP Hylton Bannon, gérant de la chaîne Toy Kingdom, qui constate un doublement des ventes.

Le marché du jouet a vu l'émergence de cette clientèle de "kidults" (enfants adultes), ces grandes personnes qui "se tournent vers les jouets de leur enfance pour y trouver du réconfort", confirme Mme Jacoby.

Le film, dont le rôle phare est interprété par l'Australienne Margot Robbie et son prince-consort lisse Ken, joué par l'Américain Ryan Gosling, cartonne au box-office mondial.

A Johannesburg, célébrités locales et influenceurs se sont succédé vendredi dans une boîte Barbie en déclinaisons de rose et parsemée de cœurs pour se faire tirer le portrait. Buzz garanti sur les réseaux sociaux.

Mattel, qui a lancé la première poupée Barbie en 1959, avait dévoilé sa première Barbie noire en 1980 qui, selon Hylton Bannon, s'est "toujours bien vendue en Afrique du Sud", pays le plus inégalitaire au monde mais première puissance industrielle du continent.

(AFP)


Un subtil mélange de mélodies françaises, saoudiennes et d'art visuel

Le DJ bahreïni Na Der, l'artiste calligraphe saoudien Faisal Altayeb, l'artiste français JA Dupont Castro et le joueur de oud syrien Wasem. (Photo Fournie)
Le DJ bahreïni Na Der, l'artiste calligraphe saoudien Faisal Altayeb, l'artiste français JA Dupont Castro et le joueur de oud syrien Wasem. (Photo Fournie)
La Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration inédite avec l'Alliance française d'Arabie Saoudite et l'ambassade de France. ( Photo Fournie)
La Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration inédite avec l'Alliance française d'Arabie Saoudite et l'ambassade de France. ( Photo Fournie)
L'artiste français JA Dupont Castro. (Photo Fournie)
L'artiste français JA Dupont Castro. (Photo Fournie)
Short Url
  • L'Alliance française d'Arabie Saoudite s'associe à la SASCA pour des spectacles vivants dynamiques
  • Ce spectacle éclectique de deux heures a réuni le célèbre artiste français JA Dupont Castro, le calligraphe saoudien Faisal Al-Tayeb, le DJ et musicien bahreïnien Na Der et le joueur de oud syrien Wasem.

Dammam : par un vendredi soir frais, la Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration innovante avec l'Alliance française d'Arabie saoudite et l'ambassade de France.

Ce spectacle éclectique de deux heures a réuni le célèbre artiste français JA Dupont Castro, le calligraphe saoudien Faisal Al-Tayeb, le DJ et musicien bahreïnien Na Der et le joueur de oud syrien Wasem.

Réunis pour « construire des ponts culturels et explorer la dynamique de la collaboration », ces artistes aux profils éclectiques ont offert une expérience enrichissante à tous ceux qui les ont vus et entendus.

Le résultat a combiné des arts tangibles, comme la peinture étalée sur une grande feuille noire, avec des projections numériques et lumineuses, éclairées et tissées dans la même œuvre.

Les sons de la musique live diffusés de part et d'autre ont ajouté à l'attrait et à l'ambiance de l'espace et ont aidé les mains des artistes visuels à se mouvoir au rythme de la musique. Le résultat est un chef-d'œuvre improvisé, mais cohérent.

La communauté locale a été invitée à assister à l'interaction sur scène dans les nouveaux locaux de la SASCA. L'événement a mélangé les images et les sons de l'Orient et de l'Occident avec une innovation de pointe, offrant une performance en direct unique en son genre qui a fusionné la calligraphie, la musique et ce que l'on a appelé le « paint-mapping » (cartographie par la peinture).

La Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration inédite avec l'Alliance française d'Arabie Saoudite et l'ambassade de France. ( Photo Fournie)
La Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration inédite avec l'Alliance française d'Arabie Saoudite et l'ambassade de France. ( Photo Fournie)

Castro, réputé pour son « paint-mapping » en direct, une méthode combinant la technologie de projection et l'improvisation artistique en direct, a fait part de son enthousiasme à Arab News à propos de cette performance. Il se réjouit également de sa première visite au Royaume et de la création d'œuvres entièrement conçues en direct.

« J'ai développé une forme d'art qui se nourrit de la collaboration, où je travaille avec des peintres et des musiciens en direct. C'est toujours passionnant parce que je découvre leur processus et leur univers. Mon univers rencontre le leur et nous essayons de créer quelque chose d'unique ensemble ».

« L'improvisation est au cœur de cette démarche. L'énergie du public façonne notre performance. Le public assiste à quelque chose d'unique, qui ne se reproduira jamais. Vous savez, c'est une création unique qui commence et se termine, et nous ne la refaisons pas », nous a-t-il dit.

Al-Tayeb, qui vit dans la province de l'Est, a apporté son style unique de calligraphie arabe. Il a utilisé de la vraie peinture pour écrire des mots sous une forme abstraite, que Castro a recouverte de lumière et de couleurs numériques. Pour Al-Tayeb, le projet ne consistait pas seulement à mettre en valeur ses compétences, mais aussi à élargir sa vision artistique.

La Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration inédite avec l'Alliance française d'Arabie Saoudite et l'ambassade de France. ( Photo Fournie)
La Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration inédite avec l'Alliance française d'Arabie Saoudite et l'ambassade de France. ( Photo Fournie)

« Pour l'instant, je suis calligraphe, mais j'explore d'autres formes d'art. Collaborer avec Jack (Castro) est une occasion incroyable d'apprendre et de progresser », a-t-il déclaré à Arab News.

« Nous avons travaillé ensemble pour comprendre nos processus respectifs, en mélangeant les teintes du désert saoudien avec les techniques numériques et lumineuses de Jack. L'art n'a pas besoin de langage ; il s'agit de communiquer par les couleurs, les formes et les sons. C'est la première fois que je travaille avec de la musique et des images, et c'est vraiment fascinant. »

Al-Tayeb s'est également penché sur l'évolution de la scène artistique en Arabie saoudite : « Le Royaume a fait d'énormes progrès dans le domaine des arts, grâce au soutien du gouvernement et aux initiatives du ministère de la Culture. »

« L'Arabie saoudite est en train de devenir une plaque tournante de la collaboration mondiale, offrant à des artistes comme moi l'occasion de partager notre culture avec le monde entier. »

La Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration inédite avec l'Alliance française d'Arabie Saoudite et l'ambassade de France. ( Photo Fournie)
La Société saoudienne pour la culture et les arts de Dammam a organisé une collaboration inédite avec l'Alliance française d'Arabie Saoudite et l'ambassade de France. ( Photo Fournie)

Wasem, joueur de oud syrien et résident saoudien, a ajouté de la profondeur et de la chaleur à l'espace avec ses compositions pleines d'âme, inspirées par les thèmes extraits des œuvres d'art. Il a expliqué son approche particulière à Arab News.

« Je traduis des peintures et des sculptures en musique. Il ne s'agit pas seulement d'improviser, mais de comprendre l'idée de l'artiste et de l'exprimer à travers des mélodies », a-t-il déclaré. « En Arabie saoudite, une grande partie de notre travail est influencée par le patrimoine local. Nous incorporons des rythmes orientaux et des quarts de ton pour donner d'authenticité à nos compositions, tout en les fusionnant avec des échelles musicales mondiales. Cette collaboration est un pont entre l'Orient et l'Occident, créant un mélange qui honore les deux traditions. »

Wasem a souligné l'essence humaniste de ces collaborations.

« Ce type de fusion sert le patrimoine mondial et promeut les traditions universelles. Il s'agit de se connecter profondément aux histoires et aux mouvements que nous vivons et de les exprimer à travers la musique », a-t-il déclaré.

Le DJ bahreïnien Na Der, qui a assuré la bande-son dynamique de la soirée, a décrit l'événement à Arab News comme un pont métaphorique.

« Il ne m'a fallu qu'une heure pour passer de Bahreïn à l'Arabie saoudite aujourd'hui, mais le pont le plus beau est le pont culturel que nous construisons ici ce soir. Cette collaboration, qui mêle musique, peinture et cartographie lumineuse, ne ressemble à rien de ce qui a été vu jusqu'à présent dans le Golfe - du moins, c'est ce que j'ai constaté.

« Nous avons bien synchronisé les artistes et je pense que le spectacle de ce soir sera inoubliable », a-t-il déclaré à Arab News avant la représentation.

L'événement marque une nouvelle étape dans les efforts déployés par la SASCA pour favoriser les échanges culturels. Yousef Al-Harbi, directeur de la branche de Dammam de la SASCA, a expliqué à Arab News l'importance de telles initiatives.

« Cette collaboration avec le Centre culturel français n'est pas la première. Au fil des ans, nous nous sommes associés à des organisations culturelles françaises, britanniques et américaines pour accueillir des artistes de renom et présenter de nouveaux concepts artistiques », a-t-il déclaré. « Ces événements élargissent les horizons artistiques et encouragent les échanges entre artistes locaux et internationaux, enrichissant ainsi la communauté. Ils contribuent également à renforcer le tissu culturel de l'Arabie saoudite en mariant les arts visuels et auditifs pour créer une expérience holistique dont chacun peut profiter. »

Organisée dans les locaux ultramodernes de la SASCA, la représentation en direct a captivé un public varié. L'interaction entre la calligraphie traditionnelle saoudienne, l'art de la projection française et la musique personnalisée provenant des deux pays a créé une fusion de cultures et d'innovations qui s'est prolongée longtemps après la fin de l'art improvisé.

Tandis que les œuvres de Castro et Al-Tayeb illuminaient la toile, tant réelle que métaphorique, l'oud sulfureux de Wasem et les rythmes électroniques de Na Der ont créé un rythme qui a trouvé un écho dans la foule. L'événement a principalement été suivi par des résidents français et saoudiens, et témoigne de l'intérêt de la communauté locale qui s'est réunie pour assister à un spectacle expérimental.

L'artiste français poursuivra son voyage à travers l'Arabie saoudite, en donnant quelques autres spectacles exclusifs d'un soir dans d'autres villes, avec des artistes locaux de la région, enrichissant ainsi davantage la tapisserie culturelle vibrante du Royaume, tant pour les artistes que pour le public.

 

 

 

 

 

 


IMAX annonce la production de son premier long métrage en arabe et l'ouverture d'un nouveau site à Djeddah

Le nouvel écran est le premier des quatre écrans IMAX que la société ouvrira dans le Royaume (Photo Fournie)
Le nouvel écran est le premier des quatre écrans IMAX que la société ouvrira dans le Royaume (Photo Fournie)
Short Url
  • Ambulance » avec Ibrahim Al-Hajjaj sortira en avril.
  • Richard Gelfond, le PDG d'IMAX, a récemment déclaré au journal Arab News que le plan à long terme pour l'Arabie saoudite était « non seulement de construire un réseau de cinémas important, mais aussi de se pencher sur le contenu ».

DUBAI : IMAX a annoncé son projet de premier long métrage en langue arabe lors de l'ouverture d'un nouveau cinéma en partenariat avec Muvi Cinemas d'Arabie saoudite à Jeddah cette semaine.

Ce nouvel écran est le premier des quatre écrans IMAX que la société ouvrira dans le Royaume dans le cadre de son accord avec Muvi Cinemas.

Richard Gelfond, le PDG d'IMAX, a récemment déclaré au journal Arab News que le plan à long terme pour l'Arabie saoudite était « non seulement de construire un réseau de cinémas important, mais aussi de se pencher sur le contenu ».

La société a déjà travaillé sur des projets dans d'autres pays du Moyen-Orient, notamment le film Voyage à la Mecque en 2009 et Les incendies du Koweït en 1992, ce qui, selon lui, rend l'Arabie saoudite « pas une opportunité de démarrage ».

Le film nouvellement annoncé est une comédie intitulée Ambulance dans laquelle joue l'acteur et comédien saoudien Ibrahim Al-Hajjaj, connu pour la mini-série Rashash et les films AlKhallat+ et Sattar.

Réalisé par le cinéaste britannique Colin Teague et produit par House of Comedy d'Al-Hajjaj, Black Light Operations du producteur saoudien Talal Anazi et Muvi Studios, il sortira le 17 avril 2025.

M. Gelfond a déclaré : « Alors que nous ouvrons notre premier site avec Muvi Cinemas, le plus grand exploitant en Arabie saoudite et un nouveau partenaire stratégique pour IMAX, nous sommes ravis de nous étendre au contenu en langue arabe et d'offrir au public arabophone une diversité d'expériences encore plus grande. »

Muvi Cinemas ouvrira le prochain écran IMAX au Mall of Dhahran en février, puis au U Walk à Riyad.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com 


La Misk Art Week est de retour à Riyad pour les artistes et les passionnés

Les amateurs d'art de Riyad se sont précipités au Prince Faisal bin Fahd Arts Hall et dans les salles voisines pour découvrir de nouvelles expositions, des foires d'art, des marchés et des programmes éducatifs à l'occasion de la Misk Art Week. (Photos AN)
Les amateurs d'art de Riyad se sont précipités au Prince Faisal bin Fahd Arts Hall et dans les salles voisines pour découvrir de nouvelles expositions, des foires d'art, des marchés et des programmes éducatifs à l'occasion de la Misk Art Week. (Photos AN)
Short Url
  • L'exposition "Seeing Riyadh" (Voir Riyad) présente des photographies de la capitale saoudienne au fil des ans

RIYAD: La huitième édition de la Misk Art Week a débuté jeudi et se poursuivra jusqu'au 10 décembre, avec une exposition spectaculaire de ce qui se fait de plus récent sur la scène artistique locale.

Les amateurs se sont précipités au Prince Faisal bin Fahd Arts Hall et dans les salles voisines pour découvrir les nouvelles expositions, les foires d'art, les marchés et les programmes éducatifs, tandis que les sons apaisants de la musique oud ajoutaient du charme à la soirée.

--
L'expérience interactive invite les visiteurs à explorer et à créer des mondes parallèles en temps réel grâce à l'intelligence artificielle générative. (Photo AN)

Ibrahem Al-Suhaibani, directeur exécutif du marketing, de la communication et de l'expérience utilisateur au Misk Art Institute, a déclaré à Arab News: "Nous avons des artistes qui sont en train d'établir leur carrière sur le marché de l'art et du design".

"Nous nous considérons donc comme un soutien et une passerelle entre les galeries établies et les galeries matures, et entre les deux, nous soutenons les artistes tout au long de la chaîne de valeur.