La Diriyah Company dévoile ses atouts culturels et hospitaliers lors de l’événement Bashayer

Le Centre de ventes de Diriyah (Photo AN)
Le Centre de ventes de Diriyah (Photo AN)
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Le Centre de ventes de Diriyah (Photo AN)
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Publié le Dimanche 17 décembre 2023

La Diriyah Company dévoile ses atouts culturels et hospitaliers lors de l’événement Bashayer

  • Lors de l’événement, la société a posé la première pierre de quatre autres nouveaux hôtels de luxe inspirés par l’architecture et le patrimoine du Najd
  • Après avoir présenté la communauté fermée de Wadi Safar le premier jour de l’événement, la société a annoncé une série de nouveaux actifs culturels et hôteliers le second jour, notamment Diriyah Art Futures, l’Opéra royal de Diriyah et un hôtel de luxe

RIYAD: La Diriyah Company a présenté la deuxième phase de son plan directeur lors de son événement Bashayer, qui s’est déroulé sur deux jours cette semaine.

«L’événement Bashayer est le point central du calendrier annuel de Diriyah. Présentant nos progrès et traçant les grandes lignes de notre avenir, cet événement est un moment crucial qui ouvre la voie au prochain chapitre du développement de Diriyah. Alors que nous nous rapprochons des objectifs de notre plan directeur, nous sommes désormais fermement entrés dans la phase de réalisation et notre offre ne cessera de croître», a déclaré le PDG du groupe, Jerry Inzerillo.

Après avoir présenté la communauté fermée de Wadi Safar le premier jour de l’événement, la société a annoncé une série de nouveaux actifs culturels et hôteliers le second jour, notamment Diriyah Art Futures, l’Opéra royal de Diriyah et Bab Samhan, un hôtel de luxe. Elle a également posé la première pierre de quatre autres nouveaux hôtels à Diriyah : le Ritz-Carlton, l’Address, le Capella et le Four Seasons.

Premier centre d’art des nouveaux médias de la région, Diriyah Art Futures est décrit comme «un centre dynamique de production et d’échange créatifs au centre de Diriyah». Il disposera d’un laboratoire de pointe et d’un espace d'exposition et se focalisera sur «l’intersection de l’art et de la science en promouvant la recherche et l’éducation et en donnant aux artistes les outils nécessaires pour expérimenter et produire des œuvres d’art qui leur permettent de repousser les limites de leurs processus créatifs».

Le bâtiment, conçu par le cabinet italien Schiattarella Associati, intègre la nature environnante dans sa structure architecturale, conformément à l’engagement du ministère de la Culture et de la Diriyah Company de préserver le patrimoine unique du Royaume, tout en créant des opportunités d’expression artistique créative.

«Nous pensons que les architectes doivent être au service d’une communauté, et nous nous sommes donc sentis au service de la communauté saoudienne (...) Je pense que nous avons réalisé un projet qui va dans la bonne direction, c’est-à-dire vivre et étudier le passé, mais aussi penser à nos petits-enfants et à l’avenir. Cela signifie qu’il faut travailler avec l’architecture et le langage contemporains, sans pour autant perdre le sens de notre identité», a indiqué Amedeo Schiattarella, président du cabinet d’architectes, à Arab News.

Selon la Diriyah Company, l’opéra royal de Diriyah «présentera Diriyah comme un centre mondial de la culture et de la créativité, conçu dans le respect du style architectural najdi authentique et des normes mondiales de développement durable».

Les quatre hôtels dont la première pierre a été posée lors de la cérémonie s’inspirent aussi du style najdi, tout comme Bab Samhan, le cinquième hôtel présenté au cours de la seconde journée de l’événement et l’un des quarante hôtels prévus dans le plan directeur de la société. Il s’agit d’un hôtel de la Luxury Collection et sera le premier à accueillir des clients dès son ouverture l’année prochaine, avec 106 chambres standard, 28 suites et une suite royale.

«Bab Samhan est entièrement fait de briques de terre crue et vous pouvez voir à quel point c’est beau. On a l’impression que l’on se trouve dans l’ancien temps», a expliqué M. Inzerillo. «Les chambres sont magnifiques — conçues dans le style najdi. Tous les tissus ont été soigneusement confectionnés pour cet hôtel et les œuvres d’art ont été réalisées par des artistes saoudiens.» 

L’hôtel dispose d’un large éventail d’installations, notamment un salon d’accueil, des salles de bal, des salles de réunion, un spa avec piscine intérieure, une salle de sport, des options de restauration tout au long de la journée et des restaurants spécialisés, dont l’un sera géré par le célèbre chef cuisinier Michael Mina.

Il est situé à proximité d’un certain nombre de sites touristiques, notamment Wadi Hanifa, Bujairi Terrace, Diriyah Art Futures et le site At-Turaif, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, qui sont tous accessibles à pied.

Après avoir revitalisé plus de six kilomètres de Wadi Hanifah, la Diriyah Company a repeuplé l’ancienne vallée avec de la flore et de la faune indigènes, démontrant ainsi son engagement en faveur de la durabilité.

«Nous nous préparons maintenant à continuer à accueillir des gens du monde entier», a affirmé M. Inzerillo. «Nous avons déjà accueilli un million de personnes sur le site du patrimoine mondial de l’Unesco cette année. D’ici au ramadan, nous accueillerons encore un million de personnes qui profiteront de la Diriyah Season.»

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La marque de bijoux espagnole PDPAOLA nomme Jory Almaiman ambassadrice de la marque

 La marque de bijoux espagnole PDPAOLA a nommé l'influenceuse saoudienne Jory Almaiman ambassadrice de la marque. (Instagram)
La marque de bijoux espagnole PDPAOLA a nommé l'influenceuse saoudienne Jory Almaiman ambassadrice de la marque. (Instagram)
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  • Plus tôt cette année, PDPAOLA, fondée par le duo sœur-frère Paola et Humbert Sasplugas, s'est étendue à l'Arabie saoudite avec l'ouverture de nouvelles boutiques
  • Avec 110 000 abonnés sur Instagram, Almaiman est souvent vue lors d'événements internationaux de l'industrie de la mode et a récemment assisté au défilé de Tory Burch lors de la Fashion Week de New York en septembre

DUBAI : La marque de bijoux espagnole PDPAOLA a nommé l'influenceuse saoudienne Jory Almaiman comme ambassadrice de marque.

Cette annonce est marquée par le lancement d'une nouvelle campagne mettant en vedette la créatrice de contenu, dans laquelle Almaiman présente des pièces clés de la collection Icons de la marque.

La collection propose des initiales personnalisables, des symboles et des designs minimalistes, et elle est confectionnée à partir de pierres précieuses naturelles disposées avec des détails pavés montés à la main.

Avec 110 000 abonnés sur Instagram, Almaiman est souvent vue lors d'événements internationaux de l'industrie de la mode et a récemment assisté au défilé de Tory Burch lors de la Fashion Week de New York en septembre.

Plus tôt cette année, PDPAOLA, fondée par le duo sœur-frère Paola et Humbert Sasplugas, s'est étendue à l'Arabie saoudite avec l'ouverture de nouvelles boutiques dans le Royaume.

« Nous pensons qu'il existe une adéquation naturelle entre notre valeur et notre proposition de vente sur ce marché », avait précédemment déclaré Humbert à Arab News à propos de leur décision de cibler l'Arabie saoudite. « Le point clé de PDPAOLA est qu'elle constitue un nouveau langage bijoutier qui allie élégance sans effort et lignes contemporaines pour créer des pièces sophistiquées et intemporelles », a-t-il ajouté.

« Notre désir et notre plan sont de nous engager naturellement auprès des femmes saoudiennes d'une manière à la fois fraîche et respectueuse », a-t-il précisé.

La marque propose des bagues, des boucles d'oreilles, des colliers et des bracelets. Elle est connue pour façonner des pierres précieuses naturelles en formes signature en utilisant des techniques contemporaines tout en les mêlant à l'artisanat traditionnel.

L'élément de l'artisanat traditionnel est important pour Paola, qui a déclaré à Arab News qu'elle était passionnée par la joaillerie depuis son plus jeune âge.

« Je fabriquais moi-même mes pièces de bijoux à la main, découvrant intuitivement mon identité à chaque création », a-t-elle déclaré.

« Nos pièces sont conçues pour la vie moderne, des designs polyvalents avec un ajustement confortable qui transcendent les occasions et deviennent le symbole ultime de l'autonomisation personnelle », a-t-elle expliqué.

Les fondateurs prévoient également de s'étendre à des marchés clés de la région, notamment aux Émirats arabes unis, au Qatar, au Koweït, à Bahreïn et à Oman.
 


Découverte d'un tombeau secret d'une grande valeur à Petra, en Jordanie

La découverte de ce site souterrain vieux de 2 000 ans pourrait aider les chercheurs à résoudre les questions qui se posent depuis longtemps sur les origines de Petra. (File/AFP)
La découverte de ce site souterrain vieux de 2 000 ans pourrait aider les chercheurs à résoudre les questions qui se posent depuis longtemps sur les origines de Petra. (File/AFP)
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  • 12 squelettes et des centaines d'objets ont été retrouvés : l'archéologue en chef salue une découverte « rare ».
  • Cette découverte pourrait offrir de nouveaux indices sur l'ancienne société arabe.

LONDRES : Des archéologues ont mis au jour des restes humains et des centaines d'objets dans une tombe cachée à Petra, en Jordanie, a rapporté le Times.

La découverte de ce site souterrain vieux de 2 000 ans pourrait aider les chercheurs à résoudre des questions de longue date sur les origines de la ville antique et sur ceux qui l'ont construite.

Située sous le Trésor de Petra, la tombe contenait 12 squelettes bien conservés et des centaines d'objets en bronze, en fer et en céramique.

L'équipe archéologique conjointe américano-jordanienne, qui a fait la découverte, a travaillé sous le célèbre édifice, qui a été présenté dans des films tels que « Indiana Jones et la dernière croisade ».

Compte tenu de l'emplacement central de la tombe dans le site classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, on pense qu'elle a été commanditée par des habitants d'un rang social élevé.

Des centaines d'autres objets devraient être retrouvés à mesure que les fouilles se poursuivent, selon l'archéologue en chef, le Dr Pearce Paul Creasman, directeur exécutif de l'American Center of Research.

Le Trésor de Petra a été baptisé ainsi en raison d'une théorie ancienne selon laquelle il contenait le trésor d'un pharaon, mais la plupart des chercheurs pensent aujourd'hui qu'il s'agit d'une tombe construite par le roi nabatéen Aretas IV, qui a régné de 9 ans avant Jésus-Christ à 40 ans après Jésus-Christ.

Cette hypothèse a été confirmée par la dernière découverte, les archéologues estimant que la tombe mise au jour est antérieure au Trésor.

M. Creasman a indiqué que son équipe avait daté la tombe cachée du Ier siècle avant J.-C. en utilisant la datation par luminescence, qui permet de suivre la dernière exposition des grains minéraux à la lumière du soleil. Les archéologues ont d'abord découvert la tombe à l'aide d'un radar à pénétration de sol.

La découverte de son contenu est un événement rare. De nombreuses autres tombes ont été découvertes à Petra au fil des ans, mais la plupart étaient vides, ayant été utilisées à plusieurs reprises au cours des siècles.

« Il est rare de trouver une tombe contenant des restes humains à Petra », a déclaré M. Creasman. « Donc, quand on en trouve une, elle devient extrêmement précieuse ».

La première mention historique de la civilisation nabatéenne remonte à 312 avant J.-C. Les Nabatéens avaient repoussé une invasion lancée par Antigone, l'ancien général et successeur d'Alexandre le Grand qui avait hérité d'une grande partie de l'empire macédonien.

« Ils apparaissent dans les archives historiques et il faut attendre plus d'une centaine d'années avant de les lire à nouveau dans un texte, alors qu'ils forment une société à part entière et que Pétra est en train d'être construite dans le sens que nous lui connaissons aujourd'hui », a déclaré M. Creasman.

On sait peu de choses sur la société nabatéenne primitive, bien que des enregistrements anciens suggèrent que la civilisation était remarquablement égalitaire, puisqu'il y a peu de différence entre les tombes nabatéennes nobles et ordinaires.

La découverte de la tombe de Petra pourrait fournir de nouveaux indices sur l'ancienne société arabe, notamment sur le régime alimentaire et la nutrition, a déclaré M. Creasman.

« Cela va nous permettre d'en savoir plus sur un passé régional commun », a-t-il ajouté. « Les Nabatéens étaient une société commerciale multiculturelle qui ne fonctionnait que parce qu'elle était unie en tant que peuple. J'espère qu'ils pourront nous apprendre quelque chose aujourd'hui. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Le ministère saoudien des médias lance une initiative destinée à présenter la diversité de la vie des résidents

Dans le cadre de cette initiative, le ministère des médias, en partenariat avec l'Autorité générale du divertissement, organise des événements dans le cadre de la Saison de Riyad. (X : @RiyadhSeason)
Dans le cadre de cette initiative, le ministère des médias, en partenariat avec l'Autorité générale du divertissement, organise des événements dans le cadre de la Saison de Riyad. (X : @RiyadhSeason)
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  • L'initiative Global Harmony vise à mettre en lumière la diversité des vies des résidents du Royaume.
  • Des expatriés d'horizons divers ont fait part de leur optimisme à Arab News, l'un d'entre eux soulignant l'importance de l'initiative pour « embrasser les différentes cultures » au sein de l'Arabie saoudite.

RIYADH : Le ministère saoudien de la Communication a lancé une nouvelle initiative destinée à mettre en valeur la diversité des cultures présentes dans le Royaume.

Des expatriés d'horizons divers ont fait part de leur optimisme à Arab News, l'un d'entre eux soulignant l'importance de l'initiative pour « embrasser les différentes cultures » au sein de l'Arabie saoudite.

Selon le ministère des médias, l'initiative « Global Harmony » vise à présenter les différentes vies des résidents du Royaume, en mettant en avant leur vie professionnelle et familiale, leurs activités sociales et récréatives, leurs contributions à l'économie, leurs réussites et leur intégration culturelle dans la société saoudienne.

Elle mettra également en lumière les efforts du gouvernement et du secteur privé pour améliorer la qualité de vie dans les villes saoudiennes.

Dans le cadre de cette initiative, le ministère des médias, en partenariat avec l'Autorité générale du divertissement, organise des événements dans le cadre de la Saison de Riyad.

Ces événements proposeront des activités ainsi que des spectacles culturels, artistiques et folkloriques, en présence de médias de premier plan issus des pays des résidents.

Les cultures de neuf pays différents seront présentées : L'Inde, les Philippines, l'Indonésie, le Pakistan, le Yémen, le Soudan, la Jordanie, le Liban, la Syrie, le Bangladesh et l'Égypte seront présentés dans le cadre de plusieurs événements de la Saison de Riyad pendant 45 jours à partir de demain.

Il y aura notamment des concerts, des événements familiaux culturels et divertissants, des plats traditionnels, ainsi que divers produits artisanaux.

Mohammad Sabbah, un Palestinien qui vit en Arabie saoudite depuis plus de 20 ans, est revenu sur son séjour dans le Royaume, le décrivant comme « un voyage enrichissant, rempli de sécurité et de stabilité pour moi et ma famille ».

« Nous avons trouvé ici un second foyer, où la sécurité et la paix sont une constante sous la direction des Saoudiens et grâce à l'hospitalité chaleureuse de leur peuple.

Il a salué l'initiative nouvellement lancée comme « une étape cruciale vers la promotion d'une société plus inclusive et interconnectée », et a ajouté : « Cela représente une vision avant-gardiste pour l'Arabie saoudite. Je considère la diversité comme une source de force et d'enrichissement ».

En tant que directeur marketing chez Energy Tracks, M. Sabbah a souligné l'importance de cette initiative pour la reconnaissance du rôle des expatriés.

« Elle reconnaît la valeur des expatriés dans la communauté et sert de pont pour une meilleure compréhension et une collaboration significative », a-t-il déclaré.

« Malgré nos différences culturelles, nous avons trouvé l'harmonie avec la société saoudienne. Nous sommes fiers de faire partie de la nation saoudienne et nous sommes impatients de voir un avenir encore plus brillant se profiler, en particulier avec la Vision 2030. »

Zineb Jariri, responsable senior du compte chez Umami Communication, a souligné que l'initiative démontre une approche avant-gardiste pour encourager la diversité culturelle et célébrer les différentes communautés vivant en Arabie saoudite.

« Il incarne véritablement l'esprit de coexistence partagée et renforce la compréhension mutuelle entre les habitants et les expatriés du monde entier », a-t-elle déclaré.

La Marocaine Jariri a souligné que cette initiative reconnaissait les contributions positives des expatriés dans divers secteurs de la vie saoudienne. « Elle offre la possibilité de raconter l'histoire de l'Arabie saoudite en tant que nation florissante et inclusive », a-t-elle fait remarquer.

Elle s'attend à ce que cette initiative favorise la cohésion sociale, stimule la sensibilisation à la culture, renforce le tourisme culturel et consolide la position de l'Arabie saoudite en tant que leader régional.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com