Le Qatar a reçu une réponse «positive» du Hamas au projet d'accord de trêve

Le secrétaire d'État américain Antony Blinken rencontre l'émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad al-Thani, au palais de Lusail, à Doha, le 6 février 2024 (Photo, AFP).
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken rencontre l'émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad al-Thani, au palais de Lusail, à Doha, le 6 février 2024 (Photo, AFP).
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken rencontre l'émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad al-Thani, au palais de Lusail, à Doha, le 6 février 2024 (Photo, AFP).
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken rencontre l'émir du Qatar, Cheikh Tamim bin Hamad al-Thani, au palais de Lusail, à Doha, le 6 février 2024 (Photo, AFP).
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken rencontre le Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, Cheikh Mohammed bin Abdulrahman al-Thani, à l'annexe Diwan, à Doha, le 6 février 2024 (Photo, AP).
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken rencontre le Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, Cheikh Mohammed bin Abdulrahman al-Thani, à l'annexe Diwan, à Doha, le 6 février 2024 (Photo, AP).
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken rencontre le Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, Cheikh Mohammed bin Abdulrahman al-Thani, à l'annexe Diwan, à Doha, le 6 février 2024 (Photo, AP).
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken rencontre le Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, Cheikh Mohammed bin Abdulrahman al-Thani, à l'annexe Diwan, à Doha, le 6 février 2024 (Photo, AP).
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Publié le Mardi 06 février 2024

Le Qatar a reçu une réponse «positive» du Hamas au projet d'accord de trêve

  • Le ministère de la Santé du Hamas a fait état mardi de 107 morts en 24 heures dans la bande de Gaza
  • Plus de 1,3 million des déplacés s'entassent dans des conditions désespérées à Rafah, cinq fois la population initiale de cette ville adossée à la frontière fermée avec l'Egypte, selon l'ONU

TERRITOIRES PALESTINIENS: Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken tente mardi lors de sa tournée au Moyen-Orient d'obtenir une trêve entre Israël et le Hamas à Gaza, où les frappes israéliennes et les combats ont encore tué plus de 100 Palestiniens selon le mouvement islamiste.

Le Qatar a annoncé mardi avoir reçu une réponse "positive" du Hamas palestinien sur un projet d'accord concernant notamment la libération des otages détenus dans la bande de Gaza, le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken affirmant qu'il en discutera mercredi avec les responsables israéliens.

"Nous avons reçu une réponse du Hamas concernant le cadre général de l'accord sur les otages. Cette réponse contient quelques commentaires, mais elle est globalement positive", a déclaré le Premier ministre du Qatar, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, lors d'une conférence de presse tenue aux côtés du secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, en visite à Doha.

"Nous l'étudions intensément. Elle a été communiquée aux Israéliens", a dit pour sa part M. Blinken.

"Je reprendrai cette conversation demain en Israël lorsque j'y serai, et nous travaillerons aussi dur que possible pour tenter de parvenir à un accord", a-t-il ajouté.

Le Premier ministre qatari, qui a participé il y a une semaine à Paris à des discussions sur le sujet avec des responsables américains, israéliens et égyptiens, s'est dit "optimiste", mais a refusé de donner des détails sur la réponse du Hamas, invoquant la "sensibilité des circonstances".

Le mouvement islamiste palestinien a confirmé mardi dans un communiqué avoir remis sa réponse aux médiateurs égyptiens et qataris concernant un projet de cessez-le-feu avec Israël, portant notamment sur les otages toujours retenus dans la bande de Gaza depuis l'attaque du Hamas le 7 octobre sur le sol israélien.

"Il y a encore beaucoup de travail à faire. Mais nous continuons à croire qu'un accord est possible et même essentiel, et nous continuerons à travailler sans relâche pour y parvenir", a déclaré M. Blinken

Selon lui, le projet d'accord "offre la perspective d'un calme prolongé, d'une libération des otages et d'une augmentation de l'aide" humanitaire à la bande de Gaza assiégée.

"Cela serait clairement bénéfique pour tout le monde, et je pense que c'est la meilleure voie à suivre", a-t-il affirmé.

Alors que la guerre entre mercredi dans son cinquième mois, M. Blinken, dont le pays est un proche allié d'Israël, a rencontré mardi en Egypte le président Abdel Fattah al-Sissi avant de se rendre au Qatar.

Après le Qatar, M. Blinken doit se rendre en Israël, où il doit notamment insister sur l'urgence de laisser entrer l'aide à Gaza, petit territoire surpeuplé dévasté par les bombardements israéliens et qualifié de "lieu de mort inhabitable" selon l'ONU.

Les frappes incessantes israéliennes ont de nouveau ciblé mardi Khan Younès et Rafah, dans le sud du territoire assiégé, selon un journaliste de l'AFP.

Le ministère de la Santé du Hamas a fait état mardi de 107 morts en 24 heures dans la bande de Gaza, où le mouvement palestinien, considéré comme une organisation terroriste par l'Union européenne et les Etats-Unis, a pris le pouvoir en 2007.

L'armée israélienne a indiqué être engagée dans des "combats rapprochés" à Khan Younès, une ville largement transformée en champ de ruines qu'elle présente comme une place forte du Hamas.

L'armée "ne nous laisse d'autre choix que la mort ou le déplacement. Ils ont tué des enfants, des familles, ont détruit nos maisons", lance Riham Sharrab, 21 ans, qui a fui Khan Younès pour Rafah plus au sud.

Toujours à Rafah, le ministère de la Santé du Hamas a affirmé qu'une frappe israélienne avait tué six policiers palestiniens à bord d'un véhicule. Selon des témoins, ils sécurisaient le passage d'un camion d'aide humanitaire.

«Libérer tous les otages»

La guerre a été déclenchée le 7 octobre par une attaque sans précédent en Israël de commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza, qui a entraîné la mort de plus de 1.160 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP à partir de données officielles israéliennes.

En riposte, Israël a juré de détruire le Hamas et lancé une offensive qui a fait 27.585 morts à Gaza, en grande majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Fin novembre, une première trêve d'une semaine a permis l'entrée accrue d'aides, la libération d'une centaine d'otages, sur les quelque 250 emmenés à Gaza le 7 octobre, et de prisonniers palestiniens.

Selon Israël, 132 otages sont toujours détenus à Gaza, dont 28 seraient morts.

MM. Blinken et Sissi ont discuté "des efforts pour obtenir la libération de tous les otages détenus par le Hamas", selon le département d'Etat. M. Blinken a en outre souligné le rejet des Etats-Unis de "tout déplacement forcé de Palestiniens de Gaza et leur engagement à établir un Etat palestinien qui assure la paix et la sécurité aux Israéliens comme aux Palestiniens".

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu rejette l'idée d'un Etat palestinien.

M. Blinken, qui doit aussi se rendre en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967, soutient un projet de trêve des médiateurs qataris, américains et égyptiens élaboré à Paris fin janvier, qui doit encore être approuvé par le Hamas et Israël.

Selon une source du Hamas, le projet prévoit notamment une trêve de six semaines durant laquelle Israël devra libérer de 200 à 300 prisonniers palestiniens en échange de 35 à 40 otages détenus à Gaza, et 200 à 300 camions d'aide pourront entrer chaque jour dans le territoire.

Or le Hamas exige un cessez-le-feu total. Israël de son côté dit qu'il ne mettra fin définitivement à son offensive qu'une fois le Hamas éliminé et les otages libérés.

«Anéantir le peuple»

Entretemps, une crise humanitaire majeure perdure dans la bande de Gaza, où des quartiers entiers ont été détruits par les bombardements israéliens et où 1,7 de personnes ont été déplacées sur les quelque 2,4 millions d'habitants du petit territoire.

Plus de 1,3 million des déplacés s'entassent dans des conditions désespérées à Rafah, cinq fois la population initiale de cette ville adossée à la frontière fermée avec l'Egypte, selon l'ONU.

Rafah pourrait être le prochain objectif d'Israël. Lundi, le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a averti que l'armée "atteindrait des lieux où elle n'a pas encore combattu (...) jusqu'au dernier bastion du Hamas, à savoir Rafah".

"Netanyahu menace d'envahir Rafah et utilise pour excuse la présence du Hamas (...) Israël ne s'arrêtera que quand il aura anéanti le peuple de Gaza", affirme Raed al-Bardani, un déplacé de 32 ans.

Les déplacés à Rafah ne disposent plus que de 1,5 à 2 litres d'eau chacun par jour pour boire, cuisiner et se laver, selon l'ONU.

M. Blinken a aussi évoqué au Caire la nécessité de "l'arrêt des attaques des Houthis contre les navires marchands" en mer Rouge, alors que le conflit à Gaza a provoqué de fortes tensions entre d'un côté Israël et ses alliés, et de l'autre l'Iran et des groupes alliés dont le Hezbollah libanais, des milices irakiennes et les Houthis.

Ces derniers ont annoncé mardi avoir visé des navires américain et britannique lors de nouvelles attaques en mer Rouge.


Une bande de colons israéliens attaque un convoi humanitaire jordanien à destination de Gaza

Cette photo montre un convoi humanitaire transportant un hôpital de campagne jordanien qui arrive à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 20 novembre 2023, après avoir traversé le poste-frontière de Rafah avec l’Égypte. (AFP)
Cette photo montre un convoi humanitaire transportant un hôpital de campagne jordanien qui arrive à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, le 20 novembre 2023, après avoir traversé le poste-frontière de Rafah avec l’Égypte. (AFP)
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  • Le gouvernement jordanien a condamné l’attaque et déclaré qu’il tenait les autorités israéliennes pleinement responsables d’assurer la protection des convois humanitaires
  • M. Blinken a déclaré qu’Israël devait déployer davantage d’efforts en matière d’aide, en établissant un mécanisme de désescalade du conflit avec les organismes humanitaires

DJEDDAH: Une bande de colons israéliens en Cisjordanie occupée a attaqué mercredi deux convois d’aide humanitaire transitant de la Jordanie vers Gaza, a annoncé le gouvernement jordanien.

Israël a rouvert, mercredi, le seul passage situé à la limite nord de la bande de Gaza, permettant aux camions d’aide de passer par le point de contrôle d’Erez, à la suite des appels américains à déployer davantage d’efforts pour faire face à la crise humanitaire croissante.

Un convoi de 31 camions se dirigeait vers le point de passage d’Erez au nord de Gaza et l’autre, qui comprenait 48 camions, vers le point de passage de Kerem Shalom au sud de Gaza. Ils transportaient de la nourriture et de la farine, entre autres aides humanitaires.

«Deux convois jordaniens transportant de la nourriture, de la farine et d’autres aides humanitaires vers la bande de Gaza ont été attaqués par des colons», a indiqué le ministère, sans fournir plus de détails sur l’incident.

Les deux convois ont réussi à poursuivre leur chemin et à atteindre leur destination dans la bande de Gaza ravagée par la guerre, a ajouté le ministère dans un communiqué. Une telle route vers la bande de Gaza les aurait conduits à travers la Cisjordanie occupée et Israël.

Honenu, une agence israélienne d’aide juridique, a déclaré que la police avait arrêté quatre colons qui bloquaient les camions d’aide alors que les convois passaient près de la colonie de Maale Adumim en Cisjordanie. Les camions ont poursuivi leur route jusqu’à leurs destinations.

Le gouvernement jordanien a condamné l’attaque et déclaré qu’il tenait les autorités israéliennes pleinement responsables d’assurer la protection des convois humanitaires et des organismes internationaux.

La Jordanie a largué de l’aide par voie aérienne et envoyé des convois vers l’ouest par voie terrestre pour soutenir les Palestiniens de Gaza tout au long de la guerre, qui a éclaté le 7 octobre, entre Israël et le groupe islamiste palestinien Hamas au pouvoir à Gaza.

La réouverture du passage d’Erez est l’une des principales revendications des organismes d’aide internationale depuis des mois, pour lutter contre la faim considérée comme le fléau le plus grave parmi les centaines de milliers de civils du secteur nord de l’enclave.

Mercredi en Israël, le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a exhorté le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, à permettre l’acheminement d’une aide supplémentaire à Gaza. Israël est la dernière étape de la tournée du plus haut diplomate américain au Moyen-Orient. Il s’agit de sa septième visite dans la région.

M. Blinken a visité un complexe au point de passage de Kerem Shalom où sont retenus, pour inspection, les camions d’aide à destination de Gaza. Il a visité le port d’Ashdod, dans le sud, qui a récemment commencé à recevoir de l’aide pour Gaza.

Plus tôt, au cours de plus de deux heures de discussions avec Netanyahou, M. Blinken a noté «une amélioration au niveau de l’acheminement de l’aide humanitaire à Gaza depuis l’appel entre le président Biden et le Premier ministre Netanyahou le 4 avril. Il a insisté sur l’importance d’accélérer et de maintenir cette amélioration», a déclaré le département d’État.

M. Blinken a déclaré qu’Israël devait déployer davantage d’efforts en matière d’aide, en établissant un mécanisme de désescalade du conflit avec les organismes humanitaires et en s’assurant qu’il y ait suffisamment de chauffeurs et de camions à Gaza pour acheminer l’aide là où elle était nécessaire.

Il affirme qu’une liste claire d’articles humanitaires est également nécessaire pour garantir que les expéditions d’aide ne soient pas arbitrairement refusées à l’entrée à Gaza par le service d’inspection israélien – un processus que les groupes humanitaires dénoncent comme goulot d’étranglement majeur.

Alors que l’objectif de la visite de M. Blinken était d’apporter davantage d’aide aux Palestiniens à Gaza, Washington a également averti Israël de ne pas lancer une attaque planifiée contre la ville de Rafah, dans le sud du pays.

Mardi, Netanyahou a déclaré qu’Israël mènerait une opération contre le Hamas à Rafah, même si un accord de cessez-le-feu et de libération des otages était conclu.

Le chef de l’aide humanitaire de l’ONU, Martin Griffiths, a déclaré que les améliorations apportées par Israël à l’acheminement de l’aide à Gaza «ne peuvent pas être utilisées pour préparer ou justifier une attaque militaire à grande échelle contre Rafah».

(Avec agences)

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La Commission saoudienne du patrimoine et l’université japonaise de Kanazawa s'associent pour des travaux archéologiques

L’accord de coopération scientifique qui a été conclu mardi porte sur des travaux de prospection à Jouf et à Tabouk. (SPA)
L’accord de coopération scientifique qui a été conclu mardi porte sur des travaux de prospection à Jouf et à Tabouk. (SPA)
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  • L’accord stratégique prévoit notamment des études scientifiques sur le terrain, l’élargissement de la diffusion des résultats des prospections et des fouilles
  • Il se traduira également par un plus grand nombre de données et de rapports scientifiques qui permettront de repérer les modèles ruraux sur les deux sites

DUBAÏ: La Commission saoudienne du patrimoine et l’université japonaise de Kanazawa vont collaborer à des travaux archéologiques sur deux sites préhistoriques.

L’accord de coopération scientifique qui a été conclu mardi porte sur des travaux de prospection à Jouf et à Tabouk. Il témoigne de l’engagement de la commission à étendre son travail de terrain et ses prospections archéologiques à l’ensemble du Royaume ainsi qu’à renforcer ses partenariats scientifiques avec des universités et des centres spécialisés dans le monde entier.

L’accord stratégique prévoit des études scientifiques sur le terrain, l’élargissement de la diffusion des résultats des prospections et des fouilles ainsi que l’attraction d’experts scientifiques de renom. Il se traduira également par un plus grand nombre de données et de rapports scientifiques qui permettront de repérer les modèles ruraux sur les deux sites.

La signature, qui a eu lieu à Riyad, s’est déroulée en présence de Jasser al-Harbash, président de la Commission saoudienne du patrimoine, et de Fumio Iwai, ambassadeur du Japon en Arabie saoudite.

 

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Conditions climatiques extrêmes attendues aux EAU, le pays en état d’alerte

Des voitures sur une autoroute inondée à Dubaï, le 20 avril 2024. (AFP)
Des voitures sur une autoroute inondée à Dubaï, le 20 avril 2024. (AFP)
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  • Des vents violents sont prévus sur certaines parties de la côte est du pays
  • Les équipes évalueront l’impact potentiel des conditions météorologiques et mettront en œuvre des mesures proactives si nécessaire

DUBAÏ: Des conditions climatiques extrêmes sont à nouveau attendues aux Émirats arabes unis (EAU). Des vents violents sont prévus sur certaines parties de la côte est du pays.

L’Autorité nationale de gestion des crises et des catastrophes (NCM) a déclaré que des rafales qui peuvent atteindre 40 km/h risquent de s’abattre sur la région jeudi.

Bien que le NCM prévoie des conditions moins sévères qu’en avril, elle a averti les habitants qu’ils devaient s’attendre à des pluies et à des orages au cours des deux prochains jours. Des chutes de grêle pourraient se produire dans les régions de l’est et s’étendre à certaines régions de l’intérieur et de l’ouest.

Vendredi et samedi, la nébulosité devrait diminuer, avec la possibilité de pluies légères à moyennes qui pourraient être plus fortes dans certaines régions du sud et de l’est.

Les agences gouvernementales se coordonnent avec l’Équipe d’évaluation conjointe des conditions météorologiques et tropicales afin de suivre l’évolution de la situation, selon un communiqué du NCM.

Les équipes évalueront l’impact potentiel des conditions météorologiques et mettront en œuvre des mesures proactives si nécessaire.

Le gouvernement de Dubaï a annoncé que toutes les écoles privées des EAU passeraient à l’enseignement à distance jeudi et vendredi par mesure de précaution.

Les autorités ont invité la population à faire preuve de prudence, à respecter les normes de sécurité et les lignes directrices, à s’abstenir de faire circuler des rumeurs et à ne se fier qu’aux sources d’information officielles.

Les EAU se remettent encore des tempêtes du mois dernier, qui ont provoqué de graves inondations, submergeant les rues et perturbant les vols à l’aéroport international de Dubaï.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com