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Conflit social au Met de New York, qui veut des baisses de salaires
Des manifestants, y compris des machinistes, des employés des coulisses, des musiciens, des chanteurs d'opéra et des partisans du Metropolitan Opera manifestent lors du "We Are the Met Rally" devant le Lincoln Center Plaza le 13 mai 2021, à New York. (Photo, AFP)
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Publié le Vendredi 14 mai 2021
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Conflit social au Met de New York, qui veut des baisses de salaires
Le Met est privé de spectacle depuis le 11 mars 2020 et fait face à une crise budgétaire sans précédent
Les responsables de l'institution avancent, eux, que les coupes ne seraient ni aussi importantes ni aussi durables pour le plus grand nombre des salariés
Publié le Vendredi 14 mai 2021
AFP
NEW YORK: Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés jeudi devant le Metropolitan Opera, à New York, accusant la direction de l'opéra de faire payer à ses employés le prix de la pandémie en abaissant leurs salaires.
Le Met est privé de spectacle depuis le 11 mars 2020 et, face à une crise budgétaire sans précédent, ses dirigeants se sont engagés dans des négociations avec chaque corps de métier pour réduire sa masse salariale.
L'opéra est le premier employeur des États-Unis dans le domaine du spectacle vivant, avec plus de 3 000 salariés.
Cette semaine, la direction a trouvé un accord en ce sens avec les chanteurs, choristes et solistes, mais poursuit ses discussions avec les musiciens, qui ont obtenu d'être payés en attendant l'issue des négociations.
Jeudi, ce sont les machinistes qui sont montés au front, sur l'esplanade du Lincoln Center, face à l'opéra, pour attirer l'attention sur leur situation.
À la différence des autres métiers, ils sont soumis à un lock-out, ce qui signifie que le Met les empêche de travailler pour lui tant qu'un accord n'est pas trouvé. Le blocage dure depuis décembre et les négociations sont au point mort.
«C'est tirer parti d'une crise sanitaire qui a décimé nos industries», a estimé Matthew Loeb, président international de l'Alliance des métiers de la scène (IATSE), le principal syndicat de la profession, qui affirme que la direction du Met propose une baisse des salaires de 30%, pérennisée après la reprise des spectacles.
Les responsables de l'institution avancent, eux, que les coupes ne seraient ni aussi importantes ni aussi durables pour le plus grand nombre des salariés.
Les machinistes reprochent également à l'opéra d'avoir eu recours aux services de prestataires non syndiqués pour préparer ses futures productions, au Pays de Galles et à Los Angeles.
«C'est une claque», s'emporte Peter Tudor, électricien employé par le Met depuis 25 ans.
L'orchestre du Met doit donner dimanche son premier concert depuis 430 jours, mais hors les murs, dans le quartier new-yorkais du Queens, sans la participation des machinistes.
Et se profile déjà à l'horizon le début de la saison 2021-22, avec un coup d'envoi prévu le 27 septembre. Le temps presse mais les discussions n'ont pas repris.
La direction du Met assure à l'AFP n'avoir «aucun désir d'affaiblir» les syndicats, mais dit avoir «perdu plus de 150 millions de dollars de revenus ces 14 derniers mois et (faire) face à la plus grave crise financière de (ses) 137 années d'histoire».
«Nous devons réduire nos coûts pour survivre», assure-t-elle.
«Nous voulons tous reprendre le travail», explique Kathryn Bloss, peintre à l'opéra depuis trois décennies. «Nous sommes le Met... C'est la famille».
Le oud (luth au ventre rebondi) fait partie des instruments à cordes les plus anciens et les plus précieux du patrimoine musical du monde arabe. (Photo fournie)
Salim Fergani ouvrira ainsi la semaine musicale le 25 mars, Il est le fils de Mohamed Tahar Fergani, une figure légendaire du chant constantinois des années 1960-1970. (Photo IMA)
Le rabbin Haim Louk (à droite), né au Maroc et vivant à Los Angeles, se produit le 29 octobre 2009 avec l'orchestre marocain Zyriab lors du 6e festival des Andalouses de l'Atlantique dans le port marocain d'Essaouira. (Photo par ABDELHAK SENNA / AF
La chanteuse espagnole Rosa Zaragosa, célèbre chanteuse classique andalouse, se produit lors du 40e Festival international de musique de Carthage, le 21 juillet 2004, dans le théâtre romain restauré de Carthage, près de Tunis. (Photo de FETHI BELAID / AFP)
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Samia Hanifi
Publié le 16 juillet 2025
C'est dans l'Espagne médiévale musulmane, au cœur d'Al-Andalus, que cet art raffiné s'est épanoui.
La musique andalouse puise ses racines dans un monde où cohabitaient les cultures arabe, berbère, ibérique, juive et chrétienne, créant une alchimie unique de sons, de rythmes et de poésie.
Publié le Mercredi 16 juillet 2025
Samia Hanifi
16 juillet 2025
RIYAD : Entre héritage arabo-musulman et identité maghrébine, la musique andalouse continue de fasciner par sa richesse, sa poésie et sa capacité à traverser les siècles sans perdre de son éclat. Des palais de Cordoue aux scènes contemporaines du Maghreb, nous plongeons volontiers dans l'univers d'une tradition musicale savante, vivante et en constante évolution.
C'est dans l'Espagne médiévale musulmane, au cœur d'Al-Andalus, que cet art raffiné s'est épanoui. La musique andalouse puise ses racines dans un monde où cohabitaient les cultures arabe, berbère, ibérique, juive et chrétienne, créant une alchimie unique de sons, de rythmes et de poésie.
Dès le IXe siècle, le musicien Ziryab, originaire de Bagdad, transforme la cour omeyyade de Cordoue en un haut lieu de création artistique. Il introduit de nouveaux instruments, codifie les formes musicales et impose une esthétique novatrice. Plus qu’un artiste, il est l’architecte d’un art de vivre andalou qui influencera l’Europe médiévale pendant des siècles.
Après la chute de Grenade en 1492, la musique andalouse traverse la Méditerranée et se réinvente sur les terres du Maghreb. Des musiciens, des poètes et des lettrés exilés d’Espagne trouvent refuge au Maroc, en Algérie et en Tunisie. Dans chaque pays, cet héritage s'enracine, se diversifie et s'adapte aux sensibilités locales.
En Algérie, trois grandes écoles se distinguent : Le malouf, né à Constantine, se distingue par son style solennel et rigoureux ; le gharnati, originaire de Tlemcen, se caractérise par ses ornements et sa mélodie ; la sanaâ, d'Alger, est considérée comme la plus subtile et expressive.
Au Maroc, la tradition des noubas marocaines s'enracine à Fès, Tétouan et Chefchaouen, dans une version très codifiée et préservée. En Tunisie, le malouf tunisien s'est enrichi d'influences ottomanes et méditerranéennes, notamment grâce au travail d'institutions comme La Rachidia.
Quelques repères essentiels
IXᵉ siècle : Ziryab codifie la musique andalouse à Cordoue
1492 : Chute de Grenade, diffusion au Maghreb
XXᵉ siècle : Institutions musicales fondées pour préserver l’héritage
Genres : Nouba, muwashshah, zajal
Instruments : Oud, qanûn, ney, violon, darbouka
Au cœur de la musique andalouse se trouve une architecture musicale savante, fondée sur la nouba, une suite musicale composée de plusieurs mouvements vocaux et instrumentaux. Chaque nouba explore un mode musical particulier et suit une progression rythmique qui va de la lente méditation à l’intensité festive. Le répertoire traditionnel compte 24 noubas, qui symbolisent les heures de la journée, même si peu d'entre elles sont jouées intégralement de nos jours.
Les instruments qui accompagnent ces pièces forment un ensemble raffiné : le oud, luth emblématique aux sonorités chaudes, le qanûn, cithare majestueuse, le kamanja (violon souvent joué à la verticale), le ney (flûte de roseau au souffle mystique), ainsi que des percussions telles que la darbouka, le tar ou le bendir.
Les textes chantés proviennent de formes poétiques anciennes, comme le muwashshah ou le zajal. Ils abordent des thèmes universels tels que l’amour mystique, la nature, la contemplation ou le lien avec le divin.
Cette musique est encore enseignée, transmise et vivante aujourd’hui. Elle résonne dans les conservatoires, les associations culturelles et lors de grands festivals.
En Algérie, le festival national de musique andalouse d'Alger et le festival du malouf de Constantine célèbrent cette tradition.
Au Maroc, des orchestres de Fès ou de Tétouan se produisent chaque année au Festival des musiques sacrées du monde.
En Tunisie, le malouf est intégré aux cursus de l'Institut supérieur de musique de Tunis et valorisé par des scènes nationales.
Ce répertoire ancien continue de séduire de nouveaux publics grâce à des artistes qui le modernisent sans le trahir. Parmi eux, on retrouve notamment Beihdja Rahal, une figure majeure en Algérie, dont l'interprétation rigoureuse séduit également les jeunes générations.
Au Maroc, Amina Alaoui mêle andalou, fado et flamenco avec une élégance rare.
En Tunisie, Lotfi Bouchnak, maître du malouf au charisme reconnu, et Jordi Savall, musicien catalan qui a permis à la musique d’Al-Andalus de retrouver une dimension méditerranéenne universelle.
Grâce à ces artistes, la musique andalouse prouve qu'elle n'est pas un art du passé, mais un patrimoine vivant, capable d'émouvoir, de s'adapter et de dialoguer avec les musiques du monde entier.
Le mélange des langues peut être considéré non pas comme une dilution de l'héritage, mais comme le reflet d'une génération tournée vers l'extérieur. (Shutterstock/KSGAAL)
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Tamara Aboalsaud
Publié le 16 juillet 2025
Une étude réalisée en 2024 par Kais Sultan Mousa Alowidha à l'université de Jouf a révélé que les Saoudiens bilingues passent souvent de l'arabe à l'anglais en fonction du contexte, en particulier dans des situations décontractées ou professionnelles.
Un expert déclare à Arab News que cette "question multidimensionnelle" mérite d'être reconnue.
Publié le Mercredi 16 juillet 2025
Tamara Aboalsaud
16 juillet 2025
RIYAD : Dans la société saoudienne de plus en plus mondialisée, en particulier chez les jeunes des grandes villes, il est facile de mélanger les langues, passant souvent de l'arabe à l'anglais au cours d'une même conversation.
Ce phénomène, connu sous le nom de "code-switching", est devenu une norme linguistique qui reflète l'évolution de la dynamique sociale, de la culture et de l'identité.
Une étude réalisée en 2024 par Kais Sultan Mousa Alowidha à l'université de Jouf a révélé que les Saoudiens bilingues passent souvent de l'arabe à l'anglais en fonction du contexte, en particulier dans des situations décontractées ou professionnelles.
Le mélange des langues peut être considéré non pas comme une dilution de l'héritage, mais comme le reflet d'une génération tournée vers l'extérieur. (Fourni)
Les étudiants saoudiens qui ont étudié ou grandi à l'étranger se retrouvent à passer d'une langue à l'autre presque inconsciemment.
Abdullah Almuayyad, un Saoudien en dernière année d'études à l'université de Washington, à Seattle, qui a passé plus de la moitié de sa vie aux États-Unis, a parlé à Arab News de son expérience des deux langues.
"Le confort dépend vraiment du contexte", a-t-il déclaré. "Au quotidien, je suis aussi à l'aise dans l'une que dans l'autre, mais c'est le contexte qui compte.
Faits marquants
L'Académie mondiale du roi Salman pour la langue arabe, à Riyad, a lancé plusieurs initiatives visant à renforcer la maîtrise de l'arabe, tant pour les locuteurs natifs que pour les apprenants non natifs.
Une étude réalisée en 2024 par l'université de Jouf a révélé que les Saoudiens bilingues passent souvent de l'arabe à l'anglais en fonction du contexte, en particulier dans des situations occasionnelles ou professionnelles.
Dans le monde des affaires, il opte par défaut pour l'anglais en raison de son éducation et de son expérience professionnelle, mais l'arabe lui semble plus naturel dans les contextes familiaux ou décontractés.
"Parfois, mes amis se moquent de moi parce que je commence une phrase en arabe, que j'aborde un concept commercial complexe et que je passe à l'anglais en cours de route.
Ce changement mental, explique-t-il, est souvent lié à des associations linguistiques spécifiques à un sujet.
Certains sujets sont associés à une langue spécifique dans son cerveau. "Une fois que le sujet apparaît, la langue correspondante suit automatiquement.
Au niveau institutionnel, les efforts de préservation et de promotion de l'arabe gagnent du terrain en Arabie saoudite.
L'Académie mondiale du roi Salman pour la langue arabe, à Riyad, a lancé plusieurs initiatives visant à renforcer la maîtrise de l'arabe, tant pour les locuteurs natifs que pour les apprenants non natifs.
Grâce à des partenariats universitaires, des outils numériques et des programmes de formation, l'académie joue un rôle clé en veillant à ce que l'arabe reste une langue vivante et accessible.
L'institut est le reflet d'une volonté nationale plus large de renforcer l'identité culturelle dans le contexte des changements linguistiques induits par la mondialisation.
Majd Tohme, linguiste principal chez SURV Linguistics à Riyad, a déclaré à Arab News que le changement de code était "une question très multidimensionnelle".
Il a souligné que le débat ne devrait pas porter sur la question de savoir si l'alternance codique est bonne ou mauvaise.
"Ce que nous devons nous demander, c'est si l'alternance codique fonctionne dans le contexte quotidien. Et si c'est le cas, n'est-ce pas là l'objectif de tout modèle linguistique ?
Il ajoute que le purisme linguistique risque de passer complètement à côté de la question.
"Il n'est pas nécessaire de s'engager dans ce puritanisme linguistique... et l'alternance codique n'est pas vraiment quelque chose de nouveau. Les langues sont des organismes vivants qui évoluent", a-t-il expliqué.
De nombreux mots que nous considérons aujourd'hui comme natifs ont des origines étrangères, comme le persan ou les langues européennes, en particulier dans les domaines de la science et de la technologie.
L'érosion de l'arabe suscite néanmoins des inquiétudes. M. Tohme a reconnu l'existence de cette menace, mais a précisé qu'elle ne concernait pas uniquement l'arabe.
"C'est une menace pour toutes les langues", a-t-il déclaré, en particulier à l'ère de la communication mondialisée où l'internet est devenu un espace partagé dominé par l'anglais.
"Le monde entier partage désormais un seul et même Internet", a-t-il expliqué. "C'est comme un immense terrain de jeu où 8 milliards de personnes essaient de communiquer les unes avec les autres.
Pourtant, il y a des signes d'équilibre.
Almuayyad, par exemple, se met activement au défi, ainsi que ses pairs, de préserver la maîtrise de l'arabe.
"En quatrième, même si mes amis et moi préférions l'anglais, nous nous sommes mis d'accord pour ne parler qu'en arabe jusqu'à ce que cela nous paraisse naturel", explique-t-il. "Plus tard, lorsque mon arabe a rattrapé son retard, j'ai changé et je n'ai plus parlé qu'en anglais avec les amis qui voulaient s'entraîner.
Pour beaucoup, notamment dans les grandes villes d'Arabie saoudite, le bilinguisme ne signifie plus choisir entre une langue et l'autre.
L'incitation constante à se dépasser permet aux deux langues de rester actives et de se développer.
L'étude de l'université Jouf a montré que les Saoudiens bilingues s'identifient fortement à leurs deux langues et ne pensent pas que parler anglais revient à nier leur identité culturelle.
Elle a également conclu que l'alternance des codes est souvent nécessaire dans les grandes villes en raison de l'abondance de locuteurs non arabes dans les environnements publics et professionnels.
Par conséquent, l'alternance codique, en particulier dans le Royaume, semble être moins une question de perte d'identité qu'une question de fonctionnalité.
Alors que l'Arabie saoudite s'ouvre au monde et embrasse le multiculturalisme dans le cadre de Vision 2030, ce mélange des langues pourrait être considéré non pas comme une dilution de l'héritage, mais comme le reflet d'une génération tournée vers l'extérieur.
Selon M. Tohme, l'impact psychologique d'un séjour de quelques années à l'étranger suivi d'un retour dans son pays d'origine ne doit pas être sous-estimé.
Les étudiants développent une certaine nostalgie de leur pays d'origine après avoir passé tant d'années à l'étranger à parler couramment une langue étrangère. Ils peuvent développer la détermination de faire un effort conscient pour renforcer à nouveau leurs compétences en langue arabe.
Almuayyad est quelqu'un qui peut comprendre cela et il dit que s'il avait passé toute sa vie dans le Royaume, son développement linguistique n'aurait peut-être pas été si différent.
"Je vois beaucoup de gens en Arabie saoudite qui utilisent librement l'anglais parce que les médias mondiaux et le contenu en ligne sont si dominants", explique-t-il.
Cependant, il admet que le fait de grandir dans un seul endroit peut limiter l'envie de sortir de sa zone de confort linguistique. "Mon exposition à deux cultures m'a forcé à pratiquer cet étirement en permanence.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
Présenté par la journaliste Mirasha Ghazi, chaque épisode se penche sur les contextes complexes qui sous-tendent les événements en cours, guidé par un dialogue équilibré et une enquête rigoureuse. (Photo Fournie)
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Arab News
Publié le 16 juillet 2025
Le programme quotidien propose des conversations en tête-à-tête avec les meilleurs rédacteurs et analystes de toutes les plateformes SRMG, analysant les développements régionaux et mondiaux.
"Da'erat Asharq reflète notre mission éditoriale qui consiste à fournir un contenu crédible et une analyse approfondie", a déclaré le Dr Nabeel Al Khatib, directeur général d'Asharq News.
Publié le Mercredi 16 juillet 2025
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16 juillet 2025
RIYAD : Asharq News a lancé une nouvelle édition de son programme politique quotidien "Da'erat Asharq", qui revient avec un format renouvelé et une analyse plus approfondie des développements politiques qui façonnent le paysage régional et international.
L'émission propose des conversations approfondies en tête-à-tête avec des journalistes, des analystes et des experts de premier plan issus du Saudi Research and Media Group (SRMG), donnant vie à un écosystème éditorial partagé qui enrichit la programmation analytique d'Asharq News.
Présenté par la journaliste Mirasha Ghazi, chaque épisode explore les contextes complexes qui sous-tendent les événements en cours, guidé par un dialogue équilibré et une enquête rigoureuse. Le programme s'appuie sur les forces éditoriales des organes phares de la SRMG, notamment "Asharq Al-Awsat", "Independent Arabia", "Al Majalla" et "Arab News", offrant des perspectives fiables enracinées dans une expertise du monde réel.
"Da'erat Asharq reflète notre mission éditoriale qui consiste à fournir un contenu crédible et une analyse approfondie", a déclaré le Dr Nabeel Al Khatib, directeur général d'Asharq News.
"À une époque où le bruit politique est omniprésent, le public a besoin de points de vue objectifs et de conversations sérieuses, et c'est exactement ce qu'offre ce programme.
Ghassan Charbel, rédacteur en chef d'Asharq Al-Awsat, a ajouté : "Notre ambition est de proposer des analyses de haute qualité qui aident le public à mieux comprendre la région et le monde, grâce à la profondeur et au talent de nos journalistes et de nos analystes".
Odwan Al Ahmari, rédacteur en chef d'Independent Arabia, a déclaré : "Cette initiative s'inscrit dans la vision du groupe en matière d'intégration éditoriale. Nous sommes fiers de contribuer à ce projet prometteur qui encourage la collaboration et la création de contenus partagés."
Ibrahim Hamidi, rédacteur en chef d'Al Majalla, a fait remarquer : "Ce partenariat renforce l'alignement éditorial sur les plateformes de la SSRM. Notre contribution comprend des commentaires approfondis de certaines des voix les plus respectées dans le monde arabe et au-delà."
Faisal Abbas, rédacteur en chef d'Arab News, a déclaré : "Nous sommes heureux de participer à ce programme en apportant une perspective internationale qui s'étend de Tokyo à Toronto, renforçant ainsi notre étroite collaboration éditoriale avec Asharq.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com