Le chef de la diplomatie américaine a ajouté que les Etats-Unis et leurs alliés allaient prendre en représailles de nouvelles sanctions contre Téhéran, et notamment contre la compagnie aérienne nationale Iran Air.
Lundi, l'Union européenne avait assuré que les Occidentaux disposaient d'"informations crédibles" sur des livraisons de missiles balistiques iraniens à la Russie.
Mardi après-midi, la police grecque est intervenue pour entrer dans son appartement où il s'était enfermé, le neutraliser et l'arrêter selon la chaîne de télévision publique ERT.
L'immeuble et le ministère du Développement rural ont été évacués par précaution.
Ramener les otages, "c'est ce qu'il convient de faire, ce n'est pas juste un des objectifs de la guerre, mais cela reflète aussi nos valeurs", a déclaré lundi Yoav Gallant.
Selon lui, les opérations militaires israéliennes dans la bande de Gaza ont permis de créer sur le terrain les "conditions requises" pour un accord de cessez-le-feu.
"En Cisjordanie, des opérations meurtrières et destructrices, dont certaines sont d'une ampleur inégalée au cours des deux dernières décennies, aggravent une situation calamiteuse.
"Mettre fin à cette guerre et éviter un conflit régional de grande ampleur est une priorité absolue et urgente", a également soutenu le Haut-Commissaire.
Les deux ministres ont parlé des "derniers développements sur les scènes régionale et internationale, notamment les développements dans la bande de Gaza"
Mercredi, le gouvernement allemand a appelé toutes les parties impliquées dans les négociations à être "extrêmement flexibles et disposées à faire des compromis".
"L'année a été compliquée avec le départ du directeur Mathias Vicherat et les conséquences du conflit israélo-palestinien", a expliqué Jean Bassères, administrateur provisoire de l'école depuis fin mars.
"C'est notre rôle d'université de mieux former et informer nos étudiants sur un conflit pour lequel ils manifestent beaucoup d'intérêt, mais pour lequel ils n'ont pas forcément aujourd'hui tous les éléments", a-t-il insisté.
Il est temps de finaliser cet accord", a déclaré à la presse le porte-parole du département d'Etat, Matthew Miller.
"La conclusion d'un accord exigera des deux parties qu'elles fassent preuve de souplesse. Il faudra que les deux parties cherchent des raisons de dire oui plutôt que des raisons de dire non", a-t-il dit.
A une question de la presse qui lui demandait à son arrivée à la Maison Blanche si M. Netanyahu en "faisait assez" pour obtenir un accord, M. Biden a répondu "non".
De nombreux otages avaient été libérés pendant une trêve d'une semaine en novembre.