Kamel Daoudi, qui a purgé sa peine, a été condamné en 2005 en appel à six ans de prison et à une interdiction définitive du territoire pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et déchu de sa nationalité française
En 2009, la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a toutefois interdit son expulsion en raison du risque de torture en Algérie, pays qu'il avait quitté à l'âge de cinq ans