Le président français Emmanuel Macron va rencontrer son homologue américain Joe Biden mercredi en marge de l'Assemblée générale des Nations unies à New York pour évoquer la situation au Proche-Orient et en Ukraine, a annoncé l'Elysée.
A la demande de la France, le Conseil de sécurité de l'ONU doit se pencher en urgence mercredi soir sur la menace de déflagration générale au Proche-Orient.
Données saoudiennes et intelligence artificielle Le directeur général des partenariats stratégiques d'Athority, Rehab Alarfaj, a souligné les efforts du Royaume en matière de données et d'intelligence artificielle.
M. Alarfaj a déclaré que les efforts de l'autorité s'alignaient sur les objectifs de développement durable des Nations unies, en particulier le quatrième objectif sur l'éducation de qualité.
"L'exclusion de l'Amérique latine et de l'Afrique des sièges permanents au Conseil de sécurité est un reflet inacceptable des pratiques de domination de la colonisation", a déclaré Luiz Inacio Lula da Silva.
Le Brésil, l'Allemagne, le Japon et l'Inde ont appelé à une réforme "urgente" du Conseil, demandant l'augmentation du nombre de sièges permanents et non permanents.
"Ce ne sont pas seulement les enfants, c'est aussi le système de l'ONU qui meurt à Gaza", a déclaré le chef de l'Etat turc, qualifiant l'ONU de "structure dysfonctionnelle".
"Les valeurs que l'Occident prétend défendre sont en train de mourir.
Joe Biden a prononcé mardi son dernier grand discours à la tribune de l'ONU.
Pendant les quelques semaines qui lui restent, Joe Biden veut donc, comme le dit l'un de ses conseillers, assurer que les initiatives lancées sous son mandat, notamment à l'international, deviennent autant que possible "irréversibles".
L'Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution exhortant Israël à mettre fin à son occupation illégale des territoires palestiniens dans un délai d'un an. La résolution a été votée par 124 voix contre 14, avec 43 abstentions.
Le cabinet a également souligné la nécessité de prendre des mesures pratiques et crédibles en vue d'une solution juste et globale à la question palestinienne.,
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres avait lancé en 2021 l'idée de ce "Sommet de l'avenir" présenté comme une "occasion unique" de changer le cours de l'Histoire de l'humanité
Dans le Pacte , les dirigeants s'engagent à renforcer le système multilatéral "pour suivre le rythme d'un monde qui change",