La substance à l'origine de l'empoisonnement de l’opposant russe Alexei Navalny n'est autre, selon Berlin, que du Novitchok, synonyme d'une implication directe de l'État russe à un niveau ou un autre
La rencontre "2+2" des ministres des Affaires étrangères et de la Défense de la France et de la Russie prévue le 14 septembre à Paris sera-t-elle annulée ?
Ces vols sur alerte dans l'espace aérien balte sont déclenchés « quand un avion n'a pas communiqué de plan de vol, s'il ne répond pas à la radio ou s'il n'a pas de transpondeur »
L'engagement de la France auprès des partenaires baltes, dans les airs mais aussi au sol depuis 2017, dans le cadre de la présence avancée renforcée (eFP) de l'Otan, est « absolument essentiel aujourd'hui »
Principal opposant au pouvoir russe, Alexeï Navalny, 44 ans, a été transféré samedi de Sibérie à Berlin
« Les autorités » en Russie « sont appelées de manière urgente à résoudre cette affaire jusque dans les moindres détails et en pleine transparence » demande Angela Merkel
Les agents innervants, vraisemblablement utilisés pour empoisonner Navalny, agissent sur le système nerveux et le détraquent
Ils touchent « tous les muscles » et « l'effet le plus crucial concerne ceux qui sont responsables de la respiration » explique le toxicologue Alastair Hay
Les alliés d’Alexeï Navalny se disent persuadés qu'il a été victime d'un "empoisonnement intentionnel", "avec quelque chose de mélangé à son thé
Le corps médical s’oppose au transfert de Navalny par avion médicalisé en France ou en Allemagne, le jugeant « intransportable » et réfutant la présence de poison dans son sang