Iran

Iran: second tour de la présidentielle opposant un réformiste à un ultraconservateur
  • Le scrutin est suivi avec attention à l'étranger alors que l'Iran, poids-lourd du Moyen-Orient, est au coeur de plusieurs crises géopolitiques.
  • "Les gens sont mécontents de nous", les responsables, a déclaré M. Pezeshkian. "Lorsque 60% de la population ne participe pas (à une élection), cela signifie qu'il y a un problème" avec le gouvernement, a-t-il argué.
Iran: l'abstention, enjeu clé de la présidentielle
  • Le second tour de la présidentielle en Iran s'annonce très indécis et son issue est liée à la mobilisation des partisans du "changement" promis par le candidat réformiste Massoud Pezeshkian opposé à l'ultraconservateur Saïd Jalili.
  • Les problèmes économiques et sociaux, liés notamment à une forte inflation, font partie des préoccupations majeures des électeurs, qui s'inquiètent aussi de l'implication de l'Iran dans les crises internationales.
L'Iran met en garde Israël contre une attaque au Liban
  • Depuis, les échanges de tirs dans les zones frontalières sont presque quotidiens et parfois très intenses
  • Les Etats-Unis, l'ONU et la France notamment ont mis en garde contre une guerre au Liban
Par AFP ·
Iran: duel entre un réformateur et un ultraconservateur pour la présidentielle
  • Aucun des deux candidats n'ayant obtenu la majorité absolue, un second tour est nécessaire, pour la deuxième fois seulement en 14 élections présidentielles depuis 1979
  • La participation, à environ 40% selon les autorités, a été encore plus faible que pour la présidentielle de 2021 et pour les législatives de mars
Par AFP ·
Présidentielle indécise en Iran, un réformateur veut créer la surprise
  • Comme il est de tradition, le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a été l'un des premiers à voter devant des dizaines de caméras dans un bureau de Téhéran
  • La surprise pourrait provenir du seul candidat réformateur, Massoud Pezeshkian, un député de 69 ans qui était quasi-inconnu lorsqu'il a été autorisé à concourir par le Conseil des Gardiens
Par AFP ·
Iran: deux candidats ultraconservateurs se retirent de la course présidentielle
  • Le maire de Téhéran, Alireza Zakani, a indiqué sur X qu'il ne participait plus au scrutin en fin de matinée, après le retrait de Amir Hossein Ghazizadeh-Hashemi, annoncé par le ministère de l'Intérieur
  • Le seul candidat réformateur, le député Massoud Pezeshkian, fait partie des favoris de l'élection après avoir reçu le soutien des principales forces réformatrices et modérées
Par AFP ·
Nous avons besoin d'un président «réformateur», déclare Rouhani à l'Iran
  • L'ancien président a déclaré que Masoud Pezeshkian était un candidat capable de "supprimer l'ombre des sanctions".
  • L'Iran a organisé une élection présidentielle anticipée le 28 juin pour remplacer Ebrahim Raisi, décédé dans un accident d'hélicoptère le mois dernier.
Par Arab News ·
Les Iraniens aux urnes pour une présidentielle plus ouverte que prévu
  • Cette présidentielle, initialement prévue en 2025, a été organisée en quelques semaines pour remplacer le président Ebrahim Raïssi, tué dans un accident d'hélicoptère le 19 mai
  • Le réformateur Massoud Pezeshkian s’impose comme l'un des trois favoris, face au président conservateur du Parlement, Mohammad-Bagher Ghalibaf, et Saïd Jalili, l'ancien négociateur ultraconservateur du dossier nucléaire
Par AFP ·
Beyrouth défend son aéroport après des allégations de stockage d'armes du Hezbollah
  • De hauts responsables libanais ont défendu l'aéroport de Beyrouth lors d'une visite organisée pour la presse et des diplomates lundi pour démentir les informations d'un quotidien britannique selon lequel le Hezbollah y stocke des armes
  • Il avançait en outre que des employés de l'aéroport auraient constaté l'arrivée de "caisses mystérieuses" à l'aéroport de Beyrouth au début des affrontements entre Israël et le Hezbollah
Par AFP ·
Présidentielle en Iran: Khamenei appelle à une «participation élevée»
  • Les électeurs ont le choix entre six candidats, qui ont été sélectionnés par le Conseil des gardiens de la Constitution
  • La participation n'avait atteint que 49%, soit le plus faible taux pour une présidentielle depuis la révolution islamique de 1979
Par AFP ·