« Ce que vous avez fait, compte tenu de la sensibilité du sujet est irresponsable, a lancé le chef de l'Etat au grand reporter spécialiste du Moyen Orient, ce que vous avez fait est grave, non professionnel et mesquin »
Macron faisait allusion à un article dans lequel Georges Malbrunot écrivait que le président français avait menacé d'imposer des sanctions contre les leaders politiques qui seraient réfractaires aux réformes
« Nous espérons pouvoir former rapidement un gouvernement qui constituerait une équipe homogène », a déclaré M. Adib, au terme d'une journée de consultations avec les blocs parlementaires
Mercredi, le pape François a affirmé que le Liban était face à un « extrême danger » et ne pouvait être « abandonné à sa solitude »
"Nous voulons d’autres dirigeants. Il est grand temps que ceux qui sont actuellement au pouvoir partent "
"Emmanuel Macron a été plus sensible avec nous que tous nos dirigeants. Il est venu chez nous, il s’est enquis des blessés, il s’est promené dans les quartiers sinistrés. Il est descendu dans la rue. Les nôtres ne feront pas ça. Ils ont peur"
« Il faut qu'on continue à mobiliser toute la communauté internationale », a promis M. Macron, en annonçant son intention de réunir en octobre à Paris « une conférence internationale de soutien avec les Nations unies »
« On ne partage pas ses valeurs, mais est-ce que nous pouvons avoir un rôle utile en refusant qu'il soit autour de la table? Je pense que ce serait une erreur ; le Hezbollah est l’allié du parti présidentiel, il a deux têtes dont une terroriste »
Les rues de Beyrouth, étaient appelées « haraat » (ruelles), elles portaient les noms des familles, des dirigeants, des princes, ou même des sectes qui y habitaient
Les marchés de la ville étaient nommés après les professions qui s’y trouvaient, selon les archives du Tribunal de la Charia à Beyrouth