« Il faut qu'on continue à mobiliser toute la communauté internationale », a promis M. Macron, en annonçant son intention de réunir en octobre à Paris « une conférence internationale de soutien avec les Nations unies »
« On ne partage pas ses valeurs, mais est-ce que nous pouvons avoir un rôle utile en refusant qu'il soit autour de la table? Je pense que ce serait une erreur ; le Hezbollah est l’allié du parti présidentiel, il a deux têtes dont une terroriste »
Les rues de Beyrouth, étaient appelées « haraat » (ruelles), elles portaient les noms des familles, des dirigeants, des princes, ou même des sectes qui y habitaient
Les marchés de la ville étaient nommés après les professions qui s’y trouvaient, selon les archives du Tribunal de la Charia à Beyrouth
C’est à bord du porte-hélicoptère Le Tonnerre que le responsable de la Marine nationale française a fait le point avec le président français Emmanuel Macron sur les opérations de recherches au port de Beyrouth
Il a affirmé que toutes les capacités dont la Marine avait besoin sont arrivées entre le 9 et le 13 août, et que leur mission est scindée en deux parties
« Les Libanais ont compris que leur pays ne peut garder son unité, ne peut résoudre ses problèmes et ne peut prospérer que s’il s’éloigne de cette politique partisane au sein de la région »
« Les amis du Liban, qu’ils soient Arabes ou Occidentaux, nous disent que le redressement du pays, économiquement ou politiquement, passe par le non-alignement »