Celle-ci, lundi matin, doit faire un "point d'étape important" sur les "petits réacteurs innovants", aussi appelés SMR ("small modular reactors") ou AMR ("advanced modular reactors"), a précisé l'Elysée
Mais plus d'une dizaine de projets ont émergé, avec des "technologies extrêmement variées", créant une "vraie dynamique", s'est félicitée la présidence
Mercredi, l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA) a estimé qu'une éventuelle attaque israélienne contre ses installations nucléaires « ne réussirait pas »
Mardi, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé que son pays déciderait seul des éventuelles cibles à frapper en Iran
M. Bakheri, l'un des principaux négociateurs nucléaires iraniens, participera à deux réunions importantes : l'une sur la Palestine et l'autre sur le multilatéralisme.
La discussion sur la Palestine s'inscrira dans le cadre de la réunion sur le Moyen-Orient du 17 juillet, au cours de laquelle Tor Wennesland, coordinateur spécial pour le processus de paix au Moyen-Orient, interviendra.
En janvier, sur les quelque 12.121 ogives nucléaires existantes dans le monde, environ 9.585 étaient disponibles en vue d'une utilisation potentielle
Les neuf Etats dotés de l'arme nucléaire - la Russie, les Etats-Unis, la France, l'Inde, la Chine, Israël, le Royaume-Uni, le Pakistan et la Corée du Nord - ont tous modernisé leurs arsenaux nucléaires
Le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne (E3) ont soumis lundi une proposition de résolution à l'instance dirigeante de l'AIEA condamnant l'Iran pour son manque de coopération avec l'agence
L'AIEA n'a pas adopté de résolution critiquant la république islamique depuis novembre 2022, et ensuite l'Iran a accéléré son programme d'enrichissement d'uranium
"L'Horloge de l’apocalypse tourne, et son tic-tac entêtant retentit à toutes les oreilles"
A Hollywood, le film de Christopher Nolan "Oppenheimer", "a donné vie à la dure réalité de l'apocalypse nucléaire pour des millions de personnes à travers le monde"
Orano note que la filière du retraitement permet de traiter par an «plus de 1 000 tonnes de combustibles en provenance des centrales et de valoriser les matières énergétiquement réutilisables»
Ce traitement/recyclage «permet d'économiser jusqu'à 20% des besoins en uranium naturel et pourrait à terme permettre une économie jusqu'à 40%»