La frappe a visé une maison du village de Mayfadoun, a indiqué la source qui a requis l'anonymat et avait dans un premier temps fait état de quatre tués.
De son côté, l'armée israélienne a annoncé avoir "frappé une structure militaire du Hezbollah dans la région de Nabatieh", où se trouve Mayfadoun, "utilisée par plusieurs terroristes" qui préparaient selon elle des attaques contre Israël.
La Jordanie a condamné l'assassinat à Téhéran, en Iran, le qualifiant de crime qui risque d'enflammer les tensions régionales.
Il a appelé à une action internationale concrète et à des positions claires qui empêcheraient le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et les "ministres extrémistes et racistes" de son gouvernement d'aggraver encore les tensions.
Dans un communiqué, les experts de l'ONU, soulignent que "l'escalade du recours à la torture par Israël contre les Palestiniens en détention est un crime contre l'humanité qui peut être évité".
Les experts affirment avoir reçu "des informations étayées" faisant état de nombreux cas de torture, d'agressions sexuelles et de viols, "dans des conditions inhumaines atroces".
Le chef de l'Etat a semblé confirmer les motivations politiques derrière cette décision restée inexpliquée.
Le chef de l'Etat a ajouté avoir tenté "d'établir un dialogue, mais nous n'avons pas encore été en mesure d'établir pleinement la coopération souhaitée" avec ces entreprises.
"Avec nos partenaires, nous avons exprimé une forte préoccupation face aux récents événements qui menacent d'entraîner une régionalisation de la crise.
"Nous appelons toutes les parties à renoncer à toute initiative susceptible d'entraver la voie du dialogue et de la modération et de favoriser une nouvelle escalade".
Cette nouvelle recommandation intervient alors que les compagnies aériennes Air France et Transavia France ont décidé, samedi, de prolonger la suspension de leurs vols vers Beyrouth jusqu'au 6 août inclus au moins
Dès samedi, Washington et Londres avaient recommandé à leurs propres ressortissants de partir
Mahmoud Bassal, porte-parole de la Défense civile de Gaza, a fait état dans un communiqué de "10 martyrs et plusieurs blessés à la suite d'un bombardement israélien sur l'école Hamama"
Il a ajouté que le complexe abritait des personnes déplacées par la guerre dans la bande de Gaza