Les deux États célèbrent le 75e anniversaire d'un partenariat établi lors de la réunion historique de 1945
Washington a aussi félicité le Royaume pour son leadership au G20 et pour son investissement dans la santé mondiale avec sa réaction financière à la pandémie
Les pourparlers intra-afghans s’accompagnent d’un désaccord entre les dirigeants du gouvernement à Kaboul au sujet des négociations et coïncident avec une escalade des attaques sanglantes à travers le pays
L’important en ce moment c’est que le soutien de la communauté internationale pourrait s'user si le processus se prolonge encore longtemps
Bagdad n'est "pas content" que Washington menace de fermer son ambassade et de retirer ses soldats et diplomates du pays, car un tel retrait serait "dangereux", a déclaré mercredi le ministre irakien des Affaires étrangères, Fouad Hussein
Plusieurs sources politiques et diplomatiques ont confirmé à l'AFP que le secrétaire d'Etat américain, Mike Pompeo, avait posé la semaine dernière un ultimatum à l'Irak: soit les attaques cessent, soit Washington ferme son ambassade
Conclu en 2015 entre l'Iran et les États-Unis, la Chine, la Russie, le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne, l'accord avait permis la levée d'une partie des sanctions contre Téhéran en échange de son engagement à ne pas se doter de l'arme nucléaire
Le 8 mai 2019, l'Iran commence à revenir sur un certain nombre de ses engagements. Il veut mettre la pression sur les Européens, toujours parties à l'accord, pour l'aider à contourner les sanctions
« Rien n'a été fait jusqu'à présent pour pouvoir étendre cet embargo et donc les États-Unis ont pris leurs responsabilités »
« Nous allons agir de sorte, nous allons empêcher l'Iran d'acquérir des chars chinois et des systèmes de défense aériens russes et ensuite de vendre des armes au Hezbollah, torpillant ainsi les efforts du président Macron au Liban »
« A chaque fois que ces groupes (présumés proches de l'Iran) voient que l'on se rapproche de leurs intérêts économiques et militaires, ils lancent des roquettes ou mènent des campagnes de propagande pour détourner notre attention »
Le gouvernement ne cherche pas une confrontation directe avec ces groupes, assure Ahmad Mulla, porte-parole du Premier ministre
Ali Hassan Khalil, un pilier du parti chiite Amal, était ministre des Finances depuis 2014 ; Youssef Fenianos a été ministre des Transports et des Travaux publics de 2016 à 2020
Dans un tweet, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo les a décrits comme « deux anciens ministres libanais corrompus qui ont abusé de leur position pour apporter un soutien matériel au Hezbollah »