L'armée a bombardé mercredi les paramilitaires à l'artillerie lourde à Khartoum après s'être retirée des négociations menées sous l'égide des Etats-Unis et de l'Arabie saoudite
L'armée a pris cette décision «parce que les rebelles n'ont jamais appliqué un des points de l'accord de trêve temporaire qui prévoit leur retrait des hôpitaux et des maisons»
Le gouvernement a déclaré qu'il suivait les accords qui ont abouti à un cessez-le-feu à court terme et à l’établissement de dispositifs humanitaires
Le cabinet a également discuté d'un projet de protocole d'accord entre les gouvernements saoudien et britannique pour coopérer dans le domaine de la recherche, du développement et de l'innovation
L'appel téléphonique a porté sur les pourparlers en cours qui se sont tenus à Djeddah, en Arabie Saoudite
«Les États-Unis soutiennent sans faille les aspirations démocratiques du peuple soudanais à un gouvernement civil et à un Soudan stable et démocratique», a-t-il ajouté
La réunion a affirmé l'importance du maintien de la sécurité et de la stabilité du Soudan et du respect de son unité, de sa souveraineté et de son intégrité territoriale
Le secrétaire général Hissein Brahim Taha a déclaré que l'OCI pourrait envoyer une délégation de haut niveau au Soudan
Il n'était pas immédiatement clair quand la trêve commencerait. Des coups de feu ont été entendus sans interruption toute la journée, ponctués par le bruit sourd de l'artillerie et des frappes aériennes
L'aéroport étant pris dans les combats et le ciel dangereux, des pays comme les États-Unis, le Japon, la Corée du Sud, l'Allemagne et l'Espagne n'ont pas pu évacuer leur personnel diplomatique