Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a évoqué pour la première fois l'arrestation à la mi-novembre à Alger de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, qu'il a qualifié d'"imposteur envoyé par la France", selon le site d'information algérien TSA.
Critique du pouvoir algérien, M. Sansal, âgé de 80 ans, né d'un père marocain et d'une mère algérienne, est incarcéré depuis la mi-novembre pour atteinte à la sûreté de l'État et se trouve dans une unité de soins depuis la mi-décembre.
Aïcha al-Debs, présidente du tout nouveau « Bureau des affaires de la Femme » à Damas, a été interrogée cette semaine par la télévision turque TRT au sujet de « l'espace » qui sera donné aux associations féministes.
« Pourquoi adopter un modèle laïc ou civil ? Nous allons mettre en place un modèle propre à la société syrienne et ce sont les femmes syriennes qui le réaliseront », a-t-elle déclaré.
Les 181 personnes à bord, à l'exception de deux d'entre elles, ont trouvé la mort dans l'une des pires catastrophes aériennes qu'ait connues le pays.
Le ministère des Affaires étrangères du Royaume a exprimé ses condoléances au gouvernement et au peuple de Corée du Sud, et a souhaité un prompt rétablissement aux blessés.
Le document est basé sur des témoignages d'anciens otages disant avoir été brûlés, battus, privés d'eau et de nourriture, ou abusés sexuellement par leurs ravisseurs.
Israël a déjà publié des rapports et témoignages sur les conditions de captivité des otages, certains dénonçant des abus sexuels, ce que le mouvement islamiste palestinien Hamas a systématiquement rejeté.
Dans un village de la province de Qouneitra, sur le plateau du Golan, des habitants se retrouvent nez à nez avec des soldats israéliens qui profitent de la nouvelle donne à Damas pour mener des incursions chez le voisin syrien.
Dans la rue principale de Jabata al-Khachab, des soldats israéliens armés se toisent de loin avec des villageois syriens. Un char israélien est stationné à l'entrée du village, ont constaté des journalistes de l'AFP.
Ahmed Al-Sharaa a déclaré qu'il faudrait environ un an aux Syriens pour constater des changements radicaux.
M. Al-Sharaa a souligné la difficulté d'organiser des élections en Syrie, un processus pouvant prendre jusqu'à quatre ans, ainsi que de rédiger une constitution pour le pays, un processus pouvant prendre jusqu'à trois ans.
Le nouveau chef des services de renseignement syriens, Anas Khattab, a annoncé samedi un plan visant à « restructurer » l'institution tant redoutée sous le règne de Bachar al-Assad, qui passe par la « dissolution » de l'ensemble de ses branches.
« L'institution sécuritaire sera réformée après la dissolution de tous les services et leur restructuration, de manière à honorer notre peuple », a déclaré M. Khattab, deux jours après sa nomination à la tête de l'organisation par les nouvelles autorités.
Le ministre des Affaires islamiques a déclaré que le Royaume continuerait à servir l'islam et les musulmans, et à promouvoir la tolérance, la coexistence et la compréhension à travers le monde.
Les invités européens louent l'hospitalité de l'Arabie saoudite et ses efforts de diffusion culturelle.