M. Saied, 66 ans, a déclaré aux journalistes à Tunis que sa candidature s'inscrivait dans le cadre d'une "guerre de libération et d'autodétermination" visant à "établir une nouvelle république".
Sa candidature a été présentée deux jours après celle, via ses avocats, d'Abir Moussi, une critique virulente du président emprisonnée depuis octobre.
L'agence nationale d'information (ANI, officielle), a indiqué que l'un des deux morts était "un secouriste de l'association Al-Risala" relevant du mouvement Amal, un allié du Hezbollah
Un secouriste de ce groupe, Ali Abbas, a précisé que son camarade s'était rendu à moto dans le secteur visé en compagnie d'une autre personne à la recherche d'éventuelles victimes quand une deuxième frappe s'est produite
Le Hezbollah élargit sa liste de cibles tandis que l'armée israélienne s'attaque aux infrastructures
Cette situation a fait craindre aux Libanais une guerre ouverte, d'autant plus qu'elle a coïncidé avec les avertissements des ambassades arabes et étrangères demandant à leurs ressortissants présents dans le pays de quitter immédiatement le pays
"Avec nos partenaires, nous avons exprimé une forte préoccupation face aux récents événements qui menacent d'entraîner une régionalisation de la crise.
"Nous appelons toutes les parties à renoncer à toute initiative susceptible d'entraver la voie du dialogue et de la modération et de favoriser une nouvelle escalade".
"Le président de la République et le roi Abdallah II ont exprimé leur plus vive inquiétude quant à la montée des tensions dans la région.
Cette brusque remontée de tensions entre Israël, l'Iran et ses alliés régionaux fait suite à l'élimination revendiquée par Israël du chef militaire du Hezbollah libanais Fouad Chokr et à la mort à Téhéran du chef politique du Hamas Ismaïl Haniyeh.
L'ambassade saoudienne à Beyrouth a déclaré dans un communiqué sur X "suivre de près les développements dans le sud du Liban",
L'Arabie saoudite a appelé dimanche ses ressortissants à quitter le Liban "immédiatement", sur fond de craintes d'une escalade militaire au Moyen-Orient entre Israël d'une part, l'Iran et ses alliés de l'autre
M. Safadi transmettra également un message au nouveau président iranien, Masoud Pezeshkian, sur l'évolution de la situation régionale et les relations bilatérales.
M. Safadi serait le premier haut fonctionnaire jordanien à effectuer une visite officielle en Iran depuis plus de 20 ans.