Le gouvernement au chevet de Tissemsilt

Pour la première fois, la wilaya de Tissemsilt bénéficie d’un programme complémentaire de développement local (Photo, El Watan).
Pour la première fois, la wilaya de Tissemsilt bénéficie d’un programme complémentaire de développement local (Photo, El Watan).
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Publié le Lundi 21 novembre 2022

Le gouvernement au chevet de Tissemsilt

  • La wilaya de Tissemsilt, qui abrite le célèbre mont de l’Ouarsenis bénéficie d’un programme complémentaire de développement local
  • Elle compte plus de 300 000 habitants repartis sur une vaste superficie de 3151 km2, la population vit essentiellement de l’élevage

Pour la première fois, la wilaya de Tissemsilt, qui abrite le célèbre mont de l’Ouarsenis, un haut lieu de la Révolution algérienne, bénéficie d’un programme complémentaire de développement local, et cela grâce à l’intérêt soutenu qu’accorde le président Abdelmadjid Tebboune à la relance et au renforcement des actions de développement de cette wilaya qui est restée longtemps à la traîne dans nombre de secteurs prioritaires.

Cette décision, hautement appréciée et accueillie avec un grand soulagement par la population locale, a d’ailleurs été prise en parfaite connaissance des lieux et dans la perspective de donner à cette wilaya la place qui lui revient dans la dynamique de développement socioconomique et autre que connaît le pays. Comme première action, le président de la République a, selon le communiqué du Conseil des ministres, «ordonné au ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales de descendre sur le terrain et écouter, de près, les préoccupations des élus locaux en vue d’assurer une cohésion avec les aspirations des citoyens, en tenant compte de la spécificité de cette wilaya qui nécessite un développement global». 

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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Les quartiers difficiles en urgence absolue

La police observe une manifestation d'employés temporaires bloquant une route et exigeant un emploi stable sur la place Mohamed Bouazizi, au centre de la ville de Sidi Bouzid, dans le centre de la Tunisie, le 27 octobre 2020. (AFP)
La police observe une manifestation d'employés temporaires bloquant une route et exigeant un emploi stable sur la place Mohamed Bouazizi, au centre de la ville de Sidi Bouzid, dans le centre de la Tunisie, le 27 octobre 2020. (AFP)
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  • L’Etat devrait étendre son pouvoir partout, dans chaque région, village et ruelle de la Tunisie
  • Décrochage scolaire, milieu familial en difficulté et indigence aidant, les encore ados ou jeunes adultes, liés par des conditions sociales similaires, sont facilement pris au piège de la violence

Alors que les Tunisiens fêtaient encore l’Aïd, une rixe violente éclate entre deux bandes rivales au troisième jour des célébrations. Résultat des courses, plus d’une vingtaine d’interpellés. Les recherches pour mettre la main sur le reste des bagarreurs, évanouis dans la nature, se poursuivent activement.

Il s’agit bel et bien d’une guerre de tranchées spectaculaire à l’arme blanche, opposant plus d’une trentaine de jeunes des quartiers Ettadhamen et La Manouba, qui avait duré plusieurs heures, avant l’intervention des forces de l’ordre.

Question du jour: existe-t-il réellement des zones de non-droit en Tunisie ? Ces territoires qui tentent d’échapper à l’ordre républicain pour devenir de vraies bombes à retardement. La violence charrie avec elle plusieurs phénomènes dangereux. Trafic de stupéfiants et prolifération des points de deal, guerre de territoires entre petits caïds devenus grands, et règlements de comptes à balles réelles dans l’espace public, entraînant la mort des délinquants-adversaires, mais aussi de victimes collatérales se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment. L’affaire est donc grave.

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Admission de la Palestine comme membre de l’Organisation des Nations Unies : La bataille de l’Algérie à l’ONU

L’Algérie s’est toujours tenue aux côtés des Palestiniens (Photo, AFP).
L’Algérie s’est toujours tenue aux côtés des Palestiniens (Photo, AFP).
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  • Le groupe a estimé qu’il s’agit «d’une mesure tant attendue depuis longtemps et qui aurait dû être mise en œuvre non seulement depuis 2011, mais depuis 1948»
  • Le vote sur ce projet, appuyé par le groupe arabe à New York, qui aura lieu aujourd’hui, en début de soirée

A une heure avancée de la nuit de mardi à mercredi derniers, l’Algérie a introduit et mis en bleu son projet de résolution auprès du Conseil de sécurité de l’Onu, dans lequel elle réclame l’admission de la Palestine, en tant qu’Etat membre des Nations unies à part entière.

Le vote sur ce projet, appuyé par le groupe arabe à New York, qui aura lieu aujourd’hui, en début de soirée (heure algérienne) est le fruit d’un long et intense combat de la diplomatie algérienne, pour mobiliser le plus grand nombre d’Etats afin de permettre à la Palestine, d’obtenir un statut à part entière au sein de l’Onu. 

La première réaction à cette initiative a été faite par le Groupe arabe à travers un communiqué, dans lequel, il a réaffirmé son «soutien sans faille» au projet de résolution algérien et appelé «tous les membres du Conseil de sécurité à voter en faveur du projet de résolution soumis par l’Algérie au nom du groupe arabe (...). Au minimum, nous implorons les membres du Conseil de ne pas faire obstruction à cette initiative essentielle», lit-on sur le communiqué publié sur X (anciennement Twitter).

Le groupe a estimé qu’il s’agit «d’une mesure tant attendue depuis longtemps et qui aurait dû être mise en œuvre non seulement depuis 2011, mais depuis 1948» avant d’exhorter «tous les membres» du Conseil de sécurité à «voter en faveur» de la résolution présentée par l’Algérie et à «s’abstenir, au moins, d’entraver cette initiative décisive».

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L'attaque iranienne a ouvert la voie à l'attaque israélienne sur Rafah

Lorsque Soleimani, le commandant militaire le plus important d'Iran et le coordinateur des activités de ses mandataires, a été assassiné, le monde a retenu son souffle dans l'attente d'une riposte iranienne sismique, et les alliés et mandataires ont attendu la vengeance et le rétablissement de leur dignité. (AFP).
Lorsque Soleimani, le commandant militaire le plus important d'Iran et le coordinateur des activités de ses mandataires, a été assassiné, le monde a retenu son souffle dans l'attente d'une riposte iranienne sismique, et les alliés et mandataires ont attendu la vengeance et le rétablissement de leur dignité. (AFP).
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  • Selon un expert iranien en politique étrangère, le bombardement par Israël du consulat iranien à Damas et l'assassinat de cinq hauts commandants des Gardiens de la révolution alors qu'ils se réunissaient sont plus importants que l'assassinat du commandant
  • Mon interlocuteur poursuit en disant que l'Iran a réussi à éviter d'être acculé depuis la fin de la guerre Iran-Irak en 1988 en ne se confrontant pas directement et en se limitant aux armes financées, entraînées et armées par le régime.

Selon un expert iranien en politique étrangère, le bombardement par Israël du consulat iranien à Damas et l'assassinat de cinq hauts commandants des Gardiens de la révolution alors qu'ils se réunissaient sont plus importants que l'assassinat du commandant de la Force Qods, Qassem Soleimani. Ce n'est pas en raison de l'importance des personnes visées, mais parce que l'opération a mis l'Iran au pied du mur à un moment très délicat où il n'y a pas de place pour l'erreur.

Mon interlocuteur poursuit en disant que l'Iran a réussi à éviter d'être acculé depuis la fin de la guerre Iran-Irak en 1988 en ne se confrontant pas directement et en se limitant aux armes financées, entraînées et armées par le régime. Malgré les attaques israéliennes répétées contre l'Iran, l'assassinat de scientifiques et de commandants militaires et la destruction d'installations, l'ordre du Guide Ali Khamenei appelait à la retenue dans le cadre de ce que l'on appelait la patience stratégique. Lorsque Soleimani, le commandant militaire le plus important d'Iran et le coordinateur des activités de ses mandataires, a été assassiné, le monde a retenu son souffle dans l'attente d'une riposte iranienne sismique, et les alliés et mandataires ont attendu la vengeance et le rétablissement de leur dignité.

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