Le prince héritier saoudien organise un sommet avec le président chinois Xi Jinping et les dirigeants du Golfe

Le président chinois, Xi Jinping, rencontrant les dirigeants du Golfe lors d'un sommet vendredi à Riyad. (Twitter :@spagov)
Le président chinois, Xi Jinping, rencontrant les dirigeants du Golfe lors d'un sommet vendredi à Riyad. (Twitter :@spagov)
Le président chinois, Xi Jinping, rencontrant les dirigeants du Golfe lors d'un sommet vendredi à Riyad. (Twitter :@spagov)
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Le président chinois, Xi Jinping, rencontrant les dirigeants du Golfe lors d'un sommet vendredi à Riyad. (Twitter :@spagov)
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Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, accueillant les dirigeants du Golfe et des pays arabes dans le cadre de sommets avec la Chine, ce vendredi. (Twitter :@spagov)
Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, accueillant les dirigeants du Golfe et des pays arabes dans le cadre de sommets avec la Chine, ce vendredi. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Les dirigeants du Golfe participant vendredi à un sommet avec le président chinois, Xi Jinping. (Twitter :@spagov)
Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, accueillant les dirigeants du Golfe et des pays arabes dans le cadre de sommets avec la Chine, ce vendredi. (Twitter :@spagov)
Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, accueillant les dirigeants du Golfe et des pays arabes dans le cadre de sommets avec la Chine, ce vendredi. (Twitter :@spagov)
Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, accueillant les dirigeants du Golfe et des pays arabes dans le cadre de sommets avec la Chine, ce vendredi. (Twitter :@spagov)
Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, accueillant les dirigeants du Golfe et des pays arabes dans le cadre de sommets avec la Chine, ce vendredi. (Twitter :@spagov)
Le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, accueillant les dirigeants du Golfe et des pays arabes dans le cadre de sommets avec la Chine, ce vendredi. (Twitter :@spagov)
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Publié le Samedi 10 décembre 2022

Le prince héritier saoudien organise un sommet avec le président chinois Xi Jinping et les dirigeants du Golfe

  • Mohammed ben Salmane: les pays arabes attendent avec impatience une nouvelle phase de partenariat
  • Selon le président chinois, le sommet «mènera à un avenir meilleur»

RIYAD: Les pays arabes chercheront à améliorer la coopération avec la Chine et attendent avec impatience une nouvelle phase de partenariat, a déclaré vendredi le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, lors du sommet arabo-chinois organisé à Riyad.

«Le Royaume œuvre au renforcement de la coopération [avec la Chine] pour favoriser la stabilité internationale», a déclaré le prince héritier devant les dirigeants arabes et le président chinois, Xi Jinping, en visite officielle de trois jours dans le Royaume.

Le président chinois a également affirmé que le sommet «mènera à un avenir meilleur», ajoutant que la Chine recherchait une «coopération globale» avec les États arabes pour servir les intérêts mutuels sino-arabes.

Le président chinois, Xi Jinping, a rencontré les dirigeants du Golfe lors d'un sommet vendredi, après avoir auparavant signé une série d'accords avec l'Arabie saoudite.

Le dirigeant de la deuxième plus grande économie du monde s'est entretenu avec les dirigeants des pays de la région lors du troisième et dernier jour de son voyage. Il s’agit seulement du troisième voyage du président hors de Chine depuis le début de la pandémie de coronavirus.

La télévision d'État a montré les dirigeants du Conseil de coopération du Golfe (CCG), composé de six pays riches en ressources, dont le dirigeant qatari et le roi bahreïni, arrivant vendredi sur le lieu de la conférence à Riyad.

«Les pays du Golfe et la Chine peuvent parvenir à une intégration économique et industrielle», a déclaré Xi Jinping aux dirigeants du Golfe réunis à Riyad. Il a également indiqué que le CCG avait réussi à surmonter les défis mondiaux.

Xi Jinping a également souligné le soutien indéfectible de la Chine à la sécurité des pays du Golfe et a confirmé que le géant asiatique continuerait à importer du pétrole de la région en grandes quantités.

Le prince héritier, Mohammed ben Salmane, s'était adressé aux dirigeants présents, indiquant que le sommet reflétait le désir commun de renforcer la coopération entre le Golfe et la Chine.

Les pays du Golfe consolident leurs liens avec la Chine dans le cadre d'une stratégie de diversification de leurs économies dépendantes des combustibles fossiles.

Les responsables ont fourni peu de détails sur l'ordre du jour de vendredi, mais l’un des sujets potentiellement abordé est un accord de libre-échange Chine-CCG, en discussion depuis près de deux décennies.

«La Chine voudra mettre fin aux longues négociations, car les accords de libre-échange avec les principaux blocs commerciaux sont une question de prestige pour Pékin», a affirmé Robert Mogielnicki, de l'Arab Gulf States Institute à Washington.

Le prince héritier saoudien avait auparavant indiqué que le groupe «discutait de la création d'une zone de libre-échange Golfe-Chine».

Une percée concernant l’accord commercial pourrait aider l'Arabie saoudite, la plus grande économie du Moyen-Orient, à diversifier son économie conformément au programme de réforme de la Vision 2030 défendu par le prince héritier, Mohammed ben Salmane.

– avec SPA

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 

 


L'Algérie justifie le refoulement d'un journaliste par l'hostilité de Jeune Afrique

Jeune Afrique est régulièrement critiqué par les médias officiels algériens qui accusent l'hebdomadaire, dont de nombreuses éditions ont été censurées ces dernières années dans le pays, d'être biaisé en faveur du Maroc. (AFP).
Jeune Afrique est régulièrement critiqué par les médias officiels algériens qui accusent l'hebdomadaire, dont de nombreuses éditions ont été censurées ces dernières années dans le pays, d'être biaisé en faveur du Maroc. (AFP).
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  • Jeune Afrique est régulièrement critiqué par les médias officiels algériens qui accusent l'hebdomadaire, dont de nombreuses éditions ont été censurées ces dernières années dans le pays, d'être biaisé en faveur du Maroc
  • Farid Alilat a expliqué dans une publication postée dimanche soir sur sa page Facebook qu'il avait été retenu pendant onze heures dans les locaux de la police à l'aéroport d'Alger avant d'être expulsé vers la France

ALGER: L’Algérie met en cause les "positions hostiles" de l'hebdomadaire Jeune Afrique afin de justifier le refoulement d'un de ses journalistes à son arrivée à l'aéroport d'Alger, selon les déclarations du ministre algérien de la Communication Mohamed Laagab.

"Farid Alilat est un citoyen algérien, mais en même temps il est journaliste dans un magazine indésirable, et lorsque ce média profite de sa nationalité algérienne et s'immisce de manière sournoise dans l'exercice du travail journalistique, cela est inacceptable", a déclaré jeudi le ministre algérien.

M. Laagab a assuré que "séparer les deux est difficile, mais en tant qu'algérien, il est le bienvenu. Il exerce un travail journalistique pour son média, qui a choisit de prendre des positions hostiles à l'Algérie et ceci est intolérable".

Jeune Afrique est régulièrement critiqué par les médias officiels algériens qui accusent l'hebdomadaire, dont de nombreuses éditions ont été censurées ces dernières années dans le pays, d'être biaisé en faveur du Maroc, le rival régional de l'Algérie.

"La question ne le concerne pas en tant que citoyen algérien, mais plutôt le magazine Jeune Afrique où il exerce, qui a adopté des positions éditoriales hostiles à l'égard de l'Algérie. Ce média publie tantôt des informations incorrectes tantôt des informations exagérées", a affirmé le ministre.

Farid Alilat a expliqué dans une publication postée dimanche soir sur sa page Facebook qu'il avait été retenu pendant onze heures dans les locaux de la police à l'aéroport d'Alger avant d'être expulsé vers la France.

Farid Alilat, établi depuis 2004 en France où il dispose d'une carte de séjour, se rendait pourtant régulièrement en Algérie.

Selon lui, les policiers l'ont interrogé notamment sur ses écrits, sur la ligne éditoriale de son journal, sur l'objet de son voyage, et sur les opposants algériens à l'étranger et ont fouillé ses deux téléphones et son ordinateur.

L'ONG Reporters sans frontières (RSF) a condamné, dans un message sur X, une "expulsion sans justification" et dénoncé "une entrave inacceptable à la liberté de la presse".


Syrie: 20 combattants pro-gouvernement tués dans deux attaques de l'EI

"Seize soldats de l'armée régulière et combattants des forces pro-gouvernementales sont morts dans l'attaque par l'EI d'un autocar militaire dans l'est de la province de Homs". Photo d'illustration. (AFP).
"Seize soldats de l'armée régulière et combattants des forces pro-gouvernementales sont morts dans l'attaque par l'EI d'un autocar militaire dans l'est de la province de Homs". Photo d'illustration. (AFP).
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  • Le groupe Etat islamique a tué 20 soldats et combattants des forces pro-gouvernementales syriens au cours de deux attaques dans des zones contrôlées par Damas
  • "Quatre soldats syriens sont morts dans une autre attaque de l'EI contre une base près d'Albukamal"

BEYROUTH: Le groupe Etat islamique a tué 20 soldats et combattants des forces pro-gouvernementales syriens au cours de deux attaques dans des zones contrôlées par Damas, a annoncé jeudi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

"Seize soldats de l'armée régulière et combattants des forces pro-gouvernementales sont morts dans l'attaque par l'EI d'un autocar militaire dans l'est de la province de Homs", selon cette ONG basée en Grande-Bretagne et disposant d'un vaste réseau de sources en Syrie. "Quatre soldats syriens sont morts dans une autre attaque de l'EI contre une base près d'Albukamal", a ajouté l'OSDH.


L'Autorité palestinienne fustige le veto américain à l'ONU

L'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas a fustigé jeudi le veto américain à l'adhésion des Palestiniens aux Nations unies, y voyant une "agression flagrante" qui pousse le Moyen-Orient "au bord du gouffre". (AFP).
L'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas a fustigé jeudi le veto américain à l'adhésion des Palestiniens aux Nations unies, y voyant une "agression flagrante" qui pousse le Moyen-Orient "au bord du gouffre". (AFP).
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  • Ce veto "révèle les contradictions de la politique américaine, qui prétend, d'une part, soutenir la solution à deux États (une Palestine indépendante aux côtés d'Israël, ndlr), mais de l'autre empêche la mise en oeuvre de cette solution" à l'ONU
  • Le projet de résolution présenté par l'Algérie, qui "recommande à l'Assemblée générale que l'Etat de Palestine soit admis comme membre des Nations unies", a recueilli jeudi 12 votes pour, 1 contre et 2 abstentions

RAMALLAH: L'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas a fustigé jeudi le veto américain à l'adhésion des Palestiniens aux Nations unies, y voyant une "agression flagrante" qui pousse le Moyen-Orient "au bord du gouffre".

"Cette politique américaine agressive envers la Palestine, son peuple et ses droits légitimes représente une agression flagrante contre le droit international et un encouragement à la poursuite de la guerre génocidaire contre notre peuple (...) qui poussent encore davantage la région au bord du gouffre", a déclaré le bureau de M. Abbas dans un communiqué.

Ce veto "révèle les contradictions de la politique américaine, qui prétend, d'une part, soutenir la solution à deux États (une Palestine indépendante aux côtés d'Israël, ndlr), mais de l'autre empêche la mise en oeuvre de cette solution" à l'ONU, ont ajouté les services de M. Abbas en remerciant les Etats ayant voté en faveur de l'adhésion pleine et entière des Palestiniens à l'ONU.

"Le monde est uni derrière les valeurs de vérité, de justice, de liberté et de paix que représente la cause palestinienne", a fait valoir l'Autorité palestinienne, qui siège à Ramallah, en Cisjordanie occupée.

Le projet de résolution présenté par l'Algérie, qui "recommande à l'Assemblée générale que l'Etat de Palestine soit admis comme membre des Nations unies", a recueilli jeudi 12 votes pour, 1 contre et 2 abstentions.