Une joaillière saoudienne en quête de pierres colorées d’AlUla

Peerless propose des bijoux modernes fabriqués à partir de pierres précieuses colorées recueillies dans le désert d’AlUla au fil des décennies. (Photos Khalid al-Anazy/Photos fournies)
Peerless propose des bijoux modernes fabriqués à partir de pierres précieuses colorées recueillies dans le désert d’AlUla au fil des décennies. (Photos Khalid al-Anazy/Photos fournies)
Peerless propose des bijoux modernes fabriqués à partir de pierres précieuses colorées recueillies dans le désert d’AlUla au fil des décennies. (Photos Khalid al-Anazy/Photos fournies)
Peerless propose des bijoux modernes fabriqués à partir de pierres précieuses colorées recueillies dans le désert d’AlUla au fil des décennies. (Photos Khalid al-Anazy/Photos fournies)
Peerless propose des bijoux modernes fabriqués à partir de pierres précieuses colorées recueillies dans le désert d’AlUla au fil des décennies. (Photos Khalid al-Anazy/Photos fournies)
Peerless propose des bijoux modernes fabriqués à partir de pierres précieuses colorées recueillies dans le désert d’AlUla au fil des décennies. (Photos Khalid al-Anazy/Photos fournies)
Hanan al-Balawi expose ses produits et représente l’école lors de la Custodian Of The Two Holy Mosques Endurance Cup, qui s’est tenue plus tôt à AlUla en mars. (Photo/Khalid al-Anazy)
Hanan al-Balawi expose ses produits et représente l’école lors de la Custodian Of The Two Holy Mosques Endurance Cup, qui s’est tenue plus tôt à AlUla en mars. (Photo/Khalid al-Anazy)
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Publié le Mardi 25 avril 2023

Une joaillière saoudienne en quête de pierres colorées d’AlUla

  • Peerless propose des bijoux modernes conçus et fabriqués en argent pur et en argent plaqué or, ainsi que des pierres précieuses que la joaillière récupère dans le désert d’AlUla lors de ses excursions avec son père et sa sœur
  • Le désert d’AlUla se caractérise par de nombreux types de pierres en raison de sa nature rocheuse, notamment les meilleurs types d’agates, d’amazonites, de jaspes, de quartz, d’améthystes et d’howlites, entre autres

DJEDDAH: La joaillière saoudienne Hanan al-Balawi a transformé le passe-temps de son père –  collectionner des pierres – en une entreprise afin de permettre aux voyageurs d’emporter une partie d’AlUla avec eux où qu’ils aillent. 

«Mon père collectionne des pierres naturelles depuis longtemps. Il en polissait certaines et les gardait pour lui», déclare la jeune femme de 24 ans, propriétaire de la boutique Peerless à AlUla. 

«Un jour, j’ai perdu la perle de ma bague préférée. En me voyant si contrariée, mon père m’a promis de trouver une solution. Quelques heures plus tard, il m’a rapporté la bague avec une pierre polie à la place de la perle perdue.» 

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Peerless propose des bijoux modernes fabriqués à partir de pierres précieuses colorées recueillies dans le désert d’AlUla au fil des décennies. (Photos Khalid al-Anazy/Photos fournies) 

Peerless propose des bijoux modernes conçus et fabriqués en argent pur et en argent plaqué or, ainsi que des pierres précieuses que la joaillière récupère dans le désert d’AlUla lors de ses excursions avec son père et sa sœur. 

«Chaque pierre que j’utilise dans nos bijoux me rappelle un beau souvenir de mes excursions de collecte de pierres depuis l’âge de six ans», précise-t-elle. 

EN BREF

  • Le désert d’AlUla se caractérise par de nombreux types de pierres en raison de sa nature rocheuse, notamment les meilleurs types d’agates, d’amazonites, de jaspes, de quartz, d’améthystes et d’howlites, entre autres. 
  • La marque de bijoux saoudienne offre également la possibilité de transformer les pierres préférées des visiteurs en bijoux uniques afin qu’ils puissent porter une pièce inspirée de leur amour pour AlUla et son Histoire. 

«Nous nous battons pour trouver les meilleures pierres et le désert ici nous surprend systématiquement avec de nombreuses pierres précieuses intéressantes.» 

Le désert d’AlUla se caractérise par de nombreux types intéressants de pierres en raison de sa nature rocheuse, notamment les meilleurs types d’agates, d’amazonites, de jaspes, de quartz, d’améthystes et d’howlites, entre autres. 

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Un homme portant une bague créée par Peerless. (Instagram/alulatourisme) 

La jeune femme travaille dans l’atelier familial, où toutes les pierres sont taillées et façonnées afin de créer des bijoux uniques. «Parfois, une même pierre peut donner naissance à deux pièces complètement différentes, et c’est là que réside toute la fascination pour la nature.» 

Peerless offre également la possibilité de transformer les pierres préférées des visiteurs en bijoux uniques afin qu’ils puissent porter une pièce inspirée de leur amour pour AlUla et son Histoire. «Nous nous efforçons de produire rapidement les pièces des visiteurs pour qu’ils emportent avec eux un morceau de la précieuse région d’AlUla dans le monde entier.» 

La marque propose également des fragments de pierre sur des supports en métal ou en acrylique et des chapelets. 

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Peerless propose des bijoux modernes fabriqués à partir de pierres précieuses colorées recueillies dans le désert d’AlUla au fil des décennies. (Photos Khalid al-Anazy/Photos fournies) 

Hanan et sa sœur ont appris le métier de polissage de pierres auprès de leur père. «Nous avons présenté notre collection de pierres composée d’un groupe de pierres naturelles polies provenant de différentes parties du désert d’AlUla pour la première fois lors du deuxième festival Tantora à AlUla en 2019.» 

En 2021, Hanan s’inscrit au programme de joaillerie de l’Addeera School, un centre d’arts et de design, où elle apprend l’orfèvrerie et la conception de bijoux, afin d’améliorer encore ses compétences et ses connaissances. 

Chaque pierre que j’utilise dans nos bijoux me rappelle un beau souvenir de mes excursions de collecte de pierres depuis l’âge de six ans.

Hanan al-Balawi, joaillière saoudienne

Située à Al-Jadidah, l’Addeera School propose des ateliers hebdomadaires sur des sujets allant de la peinture avec des pigments naturels à la construction de structures géométriques en trois dimensions. 

Hanan faisait partie de la toute première promotion à rejoindre l’école avant son ouverture officielle l’année dernière. «L’année prochaine, je terminerai mes trois ans de formation et je recevrai un diplôme accrédité en fabrication de bijoux.» 

Elle soutient que les efforts déployés par l’école pour qu’elle acquière de telles compétences sont «considérables», car les cours de fabrication de bijoux proposés ne se trouvent nulle part ailleurs dans le Royaume. «Nous avons tout appris de A à Z, y compris toutes les techniques liées à l’industrie de la bijouterie, du soudage à la fusion, en passant par les moules en cire, la reproduction, la coulée et le titrage de métaux.» 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Le ministre saoudien des finances avertit que les conflits constituent la plus grande menace pour l'économie mondiale

Environ 1 000 leaders d’opinion de 92 pays sont à Riyad pour le forum du WEF afin de « promouvoir des approches avant-gardistes face aux crises interconnectées » (Photo, Abdulrahman Fahad Bin Shulhub/AN)
Environ 1 000 leaders d’opinion de 92 pays sont à Riyad pour le forum du WEF afin de « promouvoir des approches avant-gardistes face aux crises interconnectées » (Photo, Abdulrahman Fahad Bin Shulhub/AN)
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  • Mohammed Al-Jadaan : Les guerres à Gaza et en Ukraine "exercent une forte pression sur l'émotion économique".
  • L'Arabie saoudite a pour "objectif spécifique" de désamorcer les tensions régionales, a-t-il déclaré lors d'un panel du Forum économique mondial

RIYAD: L'Arabie saoudite a appelé dimanche à une "désescalade" au Moyen-Orient et mis en garde contre les conséquences économiques de la guerre à Gaza, à l'ouverture d'une réunion spéciale du Forum économique mondial (WEF), en présence de nombreux dirigeants et hauts responsables.

Le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken, les représentants palestiniens et de haut diplomates impliqués dans les efforts visant à mettre fin au conflit entre Israël et le Hamas palestinien figurent sur la liste des participants à ce sommet organisé sur deux jours dans la capitale Ryad.

La guerre à Gaza ainsi que les conflits en Ukraine et ailleurs exercent "une forte pression" sur l'environnement économique, a déclaré le ministre saoudien des Finances, Mohammed al-Jadaan, lors d'un panel.

"Je pense que les pays, les dirigeants et les personnes qui font preuve de sang-froid doivent l'emporter et faire en sorte qu'il y ait une désescalade", a-t-il poursuivi.

La guerre a été déclenchée par l'attaque du Hamas le 7 octobre en Israël, qui a entraîné la mort de 1.170 personnes, selon un décompte de l'AFP à partir de données officielles israéliennes.

Plus de 250 personnes ont été enlevées et 129 restent captives à Gaza, dont 34 sont mortes selon des responsables israéliens.

En représailles, Israël a juré d'anéantir le mouvement islamiste au pouvoir à Gaza depuis 2007, et lancé une offensive ayant fait 34.454 morts, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Alors qu'Israël se prépare à lancer une offensive terrestre à Rafah, une ville du sud de la bande de Gaza où s'entassent 1,5 millions de Palestiniens, le Président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a exhorté depuis Ryad les Etats-Unis à intervenir pour empêcher une telle opération, qui serait selon lui "le plus grand désastre de l'histoire du peuple palestinien".

«Nouvelle dynamique»

Le président du WEF, Borge Brende, avait parlé samedi d'"une sorte de nouvelle dynamique dans les discussions autour des otages, et (...) d'une sortie possible de l'impasse dans laquelle nous nous trouvons à Gaza".

Israël n'est pas représenté au sommet, et les négociations sur une trêve à travers une médiation américaine, qatarie et égyptienne, se déroulent ailleurs, mais l'évènement sera "une occasion d'avoir des discussions structurées" avec "des acteurs clés", avait-il souligné lors d'une conférence de presse.

Le département d'Etat américain a indiqué qu'Antony Blinken fera le déplacement lundi à Ryad pour "discuter des efforts en cours visant à parvenir à un cessez-le-feu à Gaza qui permette la libération des otages". Il "mettra aussi l'accent sur l'importance de prévenir une extension" régionale de la guerre.

Le Hamas a dit samedi "étudier" une contre-proposition israélienne en vue d'une trêve associée à la libération d'otages, au lendemain de l'arrivée en Israël d'une délégation de médiateurs égyptiens pour tenter de relancer les négociations dans l'impasse.

Dans ses commentaires, M. Al-Jadaan a déclaré : "En matière de planification économique, il n'y a pas de mal à changer... à s'adapter aux nouvelles circonstances. C'est le conseil que je donnerais à tout le monde. Vous avez besoin d'un plan à long terme, comme Saudi Vision 2030, et de doubler la mise en œuvre, mais vous devez également vous assurer que vous vous adaptez.

"À plus long terme, indépendamment de ce qui se passe aujourd'hui, vous devez vous concentrer sur votre propre personnel, votre capital humain. C'est le jeu à long terme qui est essentiel.

"Je peux dire ceci : L'Arabie saoudite et la région ont les moyens de le faire, mais il y a beaucoup de pays qui auront du mal à fournir une éducation et des soins de santé de qualité à leur population", a-t-il déclaré.

Un millier de fonctionnaires, d'experts et de leaders d'opinion de 92 pays se trouvent à Riyad pour la réunion spéciale du Forum économique mondial sur la collaboration mondiale, la croissance et l'énergie pour le développement.

L'événement vise à "promouvoir des approches prospectives des crises interconnectées, tout en restant réaliste quant aux compromis à court terme" et à "travailler pour combler le fossé croissant entre le Nord et le Sud sur des questions telles que les politiques économiques émergentes, la transition énergétique et les chocs géopolitiques".

Depuis le début de la guerre, l'Arabie saoudite travaille avec d'autres pays pour tenter de mettre fin au conflit qui menace d'embraser la région.


Il n'est pas autorisé d'accomplir le Hajj sans permis selon le Council of Senior Scholars

Des pèlerins musulmans se rassemblent autour de la Kaaba dans la Grande Mosquée de la ville sainte de La Mecque, le 30 juin 2023, lors du pèlerinage annuel du Hajj. (AFP)
Des pèlerins musulmans se rassemblent autour de la Kaaba dans la Grande Mosquée de la ville sainte de La Mecque, le 30 juin 2023, lors du pèlerinage annuel du Hajj. (AFP)
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  • Le conseil a indiqué que l'obtention d'un permis est obligatoire pour se conformer à la charia, faciliter le Hajj et sauvegarder le caractère sacré des lieux saints
  • Plus le nombre de pèlerins est conforme aux chiffres autorisés, meilleure est la qualité des services et plus faible est le risque de préjudice

RIYAD : Le Conseil des hauts savants d'Arabie saoudite a déclaré dans un communiqué qu'il est obligatoire pour les musulmans d'obtenir un permis pour le Hajj s'ils veulent accomplir le pèlerinage.

Le conseil a indiqué que l'obtention d'un permis est obligatoire pour se conformer à la charia, faciliter le Hajj et sauvegarder le caractère sacré des lieux saints. L'accomplissement du Hajj sans permis est considéré comme un péché, selon l'interprétation du conseil.

Il a clairement indiqué qu'il n'était pas permis de se rendre au Hajj sans avoir obtenu de permis et que « ceux qui le font commettent un péché », peut-on lire dans la déclaration.

La déclaration du conseil note que les agences gouvernementales responsables de l'organisation de la saison du Hajj développent un plan complet basé sur les nombres autorisés de participants qui couvrent tous les aspects, y compris la sécurité, la santé, l'hébergement, la restauration et d'autres services.

Plus le nombre de pèlerins est conforme aux chiffres autorisés, meilleure est la qualité des services et plus faible est le risque de préjudice.

Il s'agit notamment d'éviter les situations où les pèlerins dorment sur les routes, ce qui peut entraver leurs déplacements et entraîner des pertes humaines.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Le prince Faiçal, ministre saoudien des Affaires étrangères, accueille à Riyad une réunion ministérielle arabe sur Gaza

Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza. (SPA)
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  • Les ministres ont mis en garde contre la poursuite des mesures israéliennes illégales en Cisjordanie et à Jérusalem-Est occupée, qui compromettent la solution des deux États, notamment l'expansion des colonies,
  • Les ministres ont souligné la nécessité d'un État de Palestine basé sur les frontières du 4 juin 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale, conformément aux résolutions internationales pertinentes

RIYAD : Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, a organisé samedi à Riyad une réunion ministérielle avec des représentants de six autres États arabes pour discuter de la situation à Gaza, a rapporté l'agence de presse saoudienne.

Ont participé à cette réunion Ayman Al-Safadi (Jordanie), Sameh Shoukry (Égypte), Hussein Al-Sheikh (Palestine), secrétaire du comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Anwar ben Mohammed Gargash, conseiller diplomatique du président des Émirats arabes unis, et Mohammed ben Abdelaziz Al-Khulaifi, ministre d'État au ministère qatari des Affaires étrangères.

Ils ont discuté de la nécessité de mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza, de parvenir à un cessez-le-feu immédiat et complet, d'assurer la protection des civils conformément au droit humanitaire international et de lever toutes les restrictions qui empêchent l'entrée de l'aide humanitaire dans l'enclave.

Ils ont également exprimé leur soutien à tous les efforts visant à la reconnaissance internationale d'un État palestinien indépendant, ce qui, selon eux, est essentiel pour que les Palestiniens puissent prendre des mesures irréversibles en vue de mettre en œuvre la solution des deux États.

Les ministres ont souligné la nécessité d'un État de Palestine basé sur les frontières du 4 juin 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale, conformément aux résolutions internationales pertinentes.

Ils ont exprimé leur rejet catégorique de toute tentative de déplacer le peuple palestinien de sa terre et de toute opération militaire dans la ville palestinienne de Rafah.

Les ministres ont mis en garde contre la poursuite des mesures israéliennes illégales en Cisjordanie et à Jérusalem-Est occupée, qui compromettent la solution des deux États, notamment l'expansion des colonies, la confiscation de terres, les opérations militaires contre les Palestiniens, les attaques de colons et les atteintes à la liberté de culte des musulmans et des chrétiens.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com