La princesse Rajwa éblouissante en Élie Saab et la reine Rania en robe Dior au mariage royal de Jordanie

Pour son mariage, la princesse Rajwa portait une robe blanche classique du couturier libanais Élie Saab, apprécié des célébrités. (Reuters)
Pour son mariage, la princesse Rajwa portait une robe blanche classique du couturier libanais Élie Saab, apprécié des célébrités. (Reuters)
Short Url
Publié le Vendredi 02 juin 2023

La princesse Rajwa éblouissante en Élie Saab et la reine Rania en robe Dior au mariage royal de Jordanie

  • La mariée, rayonnante, est arrivée au palais de Zahran et a été accompagnée dans l'allée par le frère cadet du prince héritier, le prince Hashem
  • Le prince William portait un costume bleu marine classique avec une chemise blanche et une cravate bleue

DUBAÏ: Après des semaines de spéculation, la nouvelle princesse héritière de Jordanie, Rajwa al-Hussein, a dévoilé sa robe de mariée lors de son union avec le prince héritier Hussein ben Abdallah II à Amman, jeudi.

La mariée, précédemment Rajwa al-Saïf, portait une robe blanche classique du célèbre couturier libanais Élie Saab, apprécié des célébrités. La robe simple à manches longues, plissée sur l'avant et au col asymétrique, comportait un splendide voile et une traîne de plusieurs mètres.

img 1
Rajwa al-Saif portait une robe blanche classique du célèbre couturier libanais Élie Saab (Photo, Reuters).

Elle portait un superbe diadème et des boucles d'oreilles en diamant assorties ainsi que des chaussures à lanières blanches, et tenait à la main un bouquet de fleurs blanches. Pour sa part, le prince héritier portait un costume inspiré de celui porté par le roi Abdallah II le jour de son mariage en 1993. Les manches du costume rappelaient le style privilégié par le roi Abdallah II et le roi Abdallah Ier.

Ce dévoilement fait suite à des semaines, voire des mois de spéculations sur la marque que la famille royale choisirait pour la robe de mariée de la ressortissante saoudienne. Les marques de luxe Dior et Bruce Oldfield ont été évoquées par les stylistes de célébrités et les magazines de mode du monde entier, tandis que certains initiés de l’industrie ont avancé le nom de la créatrice britannique Sarah Burton.

La reine Rania de Jordanie, toujours à la pointe de la mode, portait une robe de la marque française Dior (Photo, Reuters).

La reine Rania de Jordanie, toujours à la pointe de la mode, portait une robe de la marque française Dior. La robe brodée fait partie de la collection couture automne 2022 de cette marque de luxe.

Kate, princesse de Galles, et William, prince de Galles, figuraient parmi les invités royaux de haut rang à la cérémonie.

img 1
Kate, princesse de Galles, et William, prince de Galles, figuraient parmi les invités royaux de haut rang à la cérémonie (Photo, RHCJO).

Pour cette occasion très attendue, Kate a représenté le monde arabe dans une élégante robe Élie Saab de la collection couture Automne/Hiver 2017 de la marque.

La robe pastel comportait un col haut, des manches bouffantes ainsi que des broderies et des détails en dentelle.

La princesse Beatrice, qui accompagnait son mari Edoardo Mapelli Mozzi, était vêtue d’une robe à manches longues en sequins de la marque britannique Needle & Thread (Photo, Cour royale hachémite).

Également venue de Grande-Bretagne, la princesse Beatrice, qui accompagnait son mari Edoardo Mapelli Mozzi, était vêtue d’une robe à manches longues en sequins de la marque britannique Needle & Thread. Elle a assorti la ceinture noire de la robe à un nœud noir servant à attacher ses cheveux longs.

La première dame des États-Unis, Jill Biden, accompagnée de sa fille Ashley Biden, portait une robe violet clair de la créatrice libanaise Reem Acra (Photo, Cour royale hachémite).

La première dame des États-Unis, Jill Biden, accompagnée de sa fille Ashley Biden, portait une robe lilas de la créatrice libanaise Reem Acra. Elle a également été aperçue portant cette robe en avril lors d’un dîner officiel à la Maison-Blanche.

La princesse héritière du Danemark, Mary, accompagnée du prince héritier Frederik, était habillée d’une robe Erdem crème à imprimé floral bleu. Cette marque de luxe a été fondée à Londres par le créateur de mode canadien d’origine turc Erdem Moralioglu (Photo, Cour royale hachémite).

La mariée est restée fidèle à ses racines saoudiennes lors de sa soirée du henné du 22 mai en portant une robe de la créatrice saoudienne appréciée par les célébrités Honayda Serafi.

La créatrice s'est inspirée du thobe al-shaby de la région du Najd en Arabie saoudite, d'où est originaire la famille d'Al-Saïf.

«Elle a dit qu'elle voulait porter quelque chose de très simple qui rappelle la culture saoudienne, mais avec une touche moderne. Elle voulait que la tenue soit très élégante et blanche», avait précédemment affirmé Honayda Serafi à Arab News.

Outre les références à l'héritage saoudien de Rajwa al-Saïf, la robe comportait aussi des clins d'œil à la culture jordanienne.

Honayda Serafi a inclus l'étoile blanche à sept pointes qui est présente sur le drapeau national jordanien, symbolisant les sept versets de la sourate Al-Fatiha dans le Coran.

D'autres détails de la robe comprenaient des palmiers saoudiens, qui symbolisent la vie et la vitalité, ainsi qu'un vers du célèbre poète tunisien Aboul Qacem Echebbi, qui se traduit par «Quand mes yeux te voient, la vie prend son sens», apposé sur la robe en caractères arabes.

«Mon intention derrière la conception de cette robe était de documenter l'amour éternel et l'histoire du mariage royal. Naturellement, j'ai utilisé des fils traditionnels et tout est brodé à la main», a précisé Honayda Serafi.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La restauration de la mosquée Al-Oudah à Diriyah redonne vie au patrimoine Najdi 

La mosquée Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national (SPA).
La mosquée Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national (SPA).
La mosquée Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national (SPA).
La mosquée Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national (SPA).
Short Url
  • La deuxième phase du projet du prince Mohammed ben Salmane pour les mosquées historiques vise à préserver la riche histoire de la mosquée et son patrimoine architectural Najdi
  • Reconnaissant son importance culturelle, le projet utilisera des méthodes de construction traditionnelles Najdi, notamment la boue et des matériaux naturels adaptés au climat du désert

RIYAD : La mosquée historique Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national, a rapporté l'Agence de presse saoudienne.

La deuxième phase du projet du prince Mohammed ben Salmane pour les mosquées historiques vise à préserver la riche histoire de la mosquée et son patrimoine architectural Najdi, en lui redonnant sa splendeur d'antan.

L'un des plus anciens sites de culte de la région, la mosquée Al-Oudah a été restaurée à trois reprises, la dernière rénovation remontant à une quinzaine d'années, selon l'agence.

Reconnaissant son importance culturelle, le projet utilisera les méthodes de construction traditionnelles Najdi, notamment la boue et les matériaux naturels adaptés au climat du désert.

La rénovation permettra d'agrandir la mosquée, qui passera de 794 mètres carrés pour 510 fidèles à 1 369 mètres carrés pour 992 fidèles.

Cette expansion reflète un engagement à préserver l'histoire tout en répondant aux besoins évolutifs de la communauté, a également rapporté l’agence.

Il s'agit de l'une des 30 mosquées réparties dans 13 régions dans le cadre de la deuxième phase du projet, qui comprend six mosquées à Riyad, cinq à La Mecque, quatre à Médine, trois à Asir et deux dans la province orientale, à Jouf et à Jazan. Les frontières du Nord, Tabuk, Al Bahah, Najran, Hail et Al Qassim ont chacune une mosquée dans le projet.

La deuxième phase fait suite à la première, achevée en 2018, au cours de laquelle 30 mosquées ont été restaurées dans 10 régions. Des entreprises saoudiennes et des experts en restauration du patrimoine dirigent les efforts de développement, selon l’agence.

Le projet établit un équilibre entre les normes de construction traditionnelles et modernes, assurant la durabilité des éléments de la mosquée tout en préservant le patrimoine.

Des entreprises saoudiennes et des ingénieurs spécialisés dans la restauration du patrimoine dirigent les efforts de développement, selon le rapport.

Les quatre objectifs stratégiques du projet comprennent la restauration des mosquées historiques pour le culte, la préservation de l'authenticité architecturale, la mise en valeur du patrimoine culturel du Royaume et l'amélioration de la signification religieuse et culturelle des sites religieux.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Ithra accueillera les festivités de l'Aïd Al-Fitr pendant trois jours

Au Musée des enfants, les activités comprennent une célébration immersive de l'Aïd et des ateliers tels que "l'art du ballon", "l'Aïd dans un sac" et "le parfum de l'Aïd". (Fourni)
Au Musée des enfants, les activités comprennent une célébration immersive de l'Aïd et des ateliers tels que "l'art du ballon", "l'Aïd dans un sac" et "le parfum de l'Aïd". (Fourni)
Short Url
  • Le Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale à Dhahran accueillera plus de 25 événements de l'Aïd Al-Fitr du 31 mars au 2 avril, avec des expositions, des spectacles et des activités interactives
  • Le programme comprend une exposition présentant huit maîtres artisans dans les domaines de la papeterie, de la calligraphie et de l'ornementation

DHAHRAN : Le Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale à Dhahran accueillera plus de 25 événements de l'Aïd Al-Fitr du 31 mars au 2 avril, avec des expositions, des spectacles et des activités interactives.

Le programme comprend une exposition présentant huit maîtres artisans dans les domaines de la papeterie, de la calligraphie et de l'ornementation. Les visiteurs peuvent explorer une installation inspirée de l'architecture en briques de terre et de l'artisanat traditionnel à base de palmiers.

Au musée des enfants, les activités comprennent une célébration immersive de l'Aïd et des ateliers tels que "l'art du ballon", "l'Aïd dans un sac" et "le parfum de l'Aïd".

Les familles peuvent profiter du jeu de la "roue de l'Aïd" et des séances de contes au cours desquelles les enfants créent leur propre souvenir de nuage.

Parmi les autres expériences, citons "Eid Echoes", un voyage audio à 360 degrés capturant les sons festifs de l'Aïd, sur la place. La bibliothèque organisera des séances de contes sur le thème de l'Aïd.

Le programme "L'Aïd sur grand écran" proposera du cinéma mondial et des dessins animés japonais, notamment "Le vent se lève", "Chibi Maruko-chan" et "Un moustique".

Les visiteurs pourront également découvrir une exposition interactive alimentée par l'IA et un voyage en réalité virtuelle à travers les célébrations historiques de l'Aïd. Des concerts de oud en direct auront lieu dans les jardins d'Ithra, créant ainsi un concert festif en plein air.

Lush Garden offrira un espace dynamique avec des jeux et des défis pour que les familles et les enfants profitent de l'atmosphère joyeuse de l'Aïd. L'exposition sur l'énergie proposera également un programme spécial pour les enfants de tous âges.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Semaine de l'Art de Riyad : Votre guide des événements, des expositions et des ateliers dans le quartier de JAX

The Gulf Project Camp, de Wael Shawky, bois sculpté, 2019, huile sur bois sculpté. (Fourni)
The Gulf Project Camp, de Wael Shawky, bois sculpté, 2019, huile sur bois sculpté. (Fourni)
Short Url

RIYAD : L'édition inaugurale de la Semaine de l'Art de Riyad se tiendra du 6 au 13 avril avec comme thème "At The Edge". L'événement présentera des œuvres provenant de plus de 45 galeries, de collections privées et institutionnelles, ainsi qu'un programme public de conférences. Découvrez dès maintenant notre guide pour profiter pleinement de la Semaine de l'Art de Riyad.

Exposition phare : « At The Edge »

Tout d'abord, les visiteurs pourront se plonger dans l'exposition phare de l'événement, qui s'articule autour de trois thèmes : "Vie quotidienne", "Paysages" et "Motifs".

--
Warm Space 1 de Bashaer Hawsawi, 2018, Red Broom with African Cloth. (Avec l'aimable autorisation de la Hafez Gallery et de l'artiste)

L'exposition présente des contributions d'éminentes galeries du Moyen-Orient, d'Afrique, d'Asie et d'Europe, dont la galerie A. Gorgi Gallery (Tunisie), Ahlam Gallery (Arabie saoudite), Albareh Art Gallery (Bahreïn), Al Markhiya Gallery (Qatar), L'Art Pur Gallery (Arabie saoudite), AV Gallery (Arabie saoudite), Ayyam Gallery (EAU, Royaume-Uni), Carbon 12 (EAU), Efie Gallery (EAU), Experimenter (Inde), Galerie Krinzinger (Autriche), Gallery Misr (Egypte), Galerie La La Lande (France), Galleria Continua (Brésil, Chine, Cuba, France, Italie, EAU), Green Art Gallery (EAU), Hewar Art Gallery (Arabie saoudite), Hunna Art (Koweït), Lawrie Shabibi (EAU), Layan Culture (Arabie saoudite), Le LAB (Égypte), Leila Heller Gallery (EAU, États-Unis), Lisson Gallery (Chine, Royaume-Uni, États-Unis), Mennour (France, Royaume-Uni), Nature Morte (Inde), Perrotin (Chine, France, Hong Kong, Japon, Corée du Sud, États-Unis), Sabrina Amrani (Espagne), Selma Feriani (Tunisie), The Pill® (France, Turquie), The Third Line (EAU), Tabari Artspace (EAU) et Wadi Finan Art Gallery (Jordanie). 

Le centre Al Mousa au cœur de Riyad

Les visiteurs doivent ensuite se rendre au centre Al Mousa, au cœur de Riyad, où plus de 15 galeries présenteront des expositions individuelles et collectives spécialement conçues pour la Semaine de l'Art de Riyad.

Autrefois un complexe commercial animé, le centre est aujourd'hui une destination culturelle qui abrite une vingtaine de galeries d'art. Parmi les galeries participant à la Semaine de l'Art de Riyad figurent Abdullah Hammas Studio, Abstract Art Gallery, Ahlam Gallery, Alajilan Gallery, Alestudio, AMA Art Venue, Art Arif Gallery, Art Connection, AV Gallery, China Saudi Cultural Art Association, ERRM Art Gallery, Frame Art Gallery, Kadi Art Gallery, Kenz Gallery, Mahd Alfnon Gallery, Marsami Art Gallery, Ola Art Gallery, Takeib For Arts, Tequin Art Gallery, WHJ ALLON et Wrd Art Gallery.

Expositions exceptionnelles

Le quartier de JAX accueillera également trois expositions de collections exceptionnelles, offrant un rare aperçu de l'évolution de l'identité culturelle de l'Arabie saoudite. Présentées sous le titre "Collections en dialogue", ces expositions mettent l'accent sur le rôle du mécénat et de la collection dans la formation et la préservation de la culture visuelle.

La section comprend une présentation d'œuvres d'art provenant de la collection du Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale (Ithra). Avec des œuvres d'artistes tels que Do Ho Suh, Maha Malluh, Michelangelo Pistoletto, Mohammad Alfaraj, Hazem Harb, Gregory Mahoney, Moath Alofi et Sultan bin Fahad, l'exposition met en lumière l'interaction entre la mémoire matérielle, la transformation et les paysages qui façonnent l'identité.

--
Double Standard de Neïl Beloufa, canyon, 2024, MDF et vernis rubbio. Neïl Beloufa, Adagp, Paris, 2025, Photo. Archives Mennour. (Avec l'aimable autorisation de l'artiste et de Mennour, Paris)

Art Jameel présentera également une sélection de huit œuvres d'art à canal unique issues de sa collection, qui mettent en lumière la diversité et l'évolution du paysage des pratiques expérimentales en matière de cinéma et d'art vidéo dans la région. Cette présentation rassemble des œuvres vidéo d'artistes d'Arabie saoudite et du monde arabe, réalisées pour la plupart dans les années 2010, qui reflètent une décennie marquée par de profondes transformations. Nombre des œuvres présentées sont des travaux précoces et fondateurs d'artistes majeurs tels que Ahaad Alamoudi, Hiwa K, Bouchra Khalili, Basim Magdy, Ahmed Mater et d'autres.

De même, "Horizons abstraits : Trois générations d'art saoudien", sera présentée par le Saudi Research and Media Group (SRMG). Inspirée par une œuvre de l'artiste saoudien Mohammed Al-Saleem, l'exposition s'appuie sur la collection du SRMG pour explorer l'évolution de l'abstraction saoudienne à travers les pratiques de figures emblématiques telles qu'Al-Saleem, Abdulhalim Radwi et Taha Al-Sabban, qui ont su fusionner influences mondiales et traditions locales. Leur héritage est réinterprété par une nouvelle génération de créateurs, dont Raeda Ashour, Rashed AlShashai et Zaman Jassim.

Conférences, ateliers et visites 

Une série de conférences et d'ateliers se pencheront sur les thèmes et les questions auxquels sont confrontés les arts visuels à Riyad, plus largement en Arabie saoudite et dans le monde entier. Organisé par Shumon Basar et intitulé "How to Art World ? Lessons in Value", le programme se déroulera dans le quartier de JAX.

Un programme "Moving Image" mettra en lumière la capacité du médium à explorer des récits personnels, culturels et sociaux complexes, et présentera les œuvres de Theaster Gates, Zineb Sedira, Hicham Berrada, Bani Abidi, Laurent Grasso, Afra Al Dhaheri, Mohamed Bourouissa, Sarah Brahim, Farideh Lashai, et Hashel Al-Lamki.

Dans le quartier de JAX, certains des plus grands artistes saoudiens - dont Ahmed Mater, Ayman Zedani, Marwah AlMugait et Muhannad Shono - ouvriront les portes de leurs ateliers, tandis que les galeries résidentes Athr, Hafez et Lift présenteront une série d'expositions, de tables rondes et d'ateliers interactifs.

Le Musée d'art contemporain d'Arabie saoudite (SAMoCA) présentera les expositions "Art of the Kingdom" et "Adaptability Ceramics", ainsi qu'une série d'ateliers et de pop-ups.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com