Inauguration de la 2e exposition du Collectors’ Circle à la galerie ATHR à Djeddah

La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Instagram/athart)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Instagram/athart)
Fortitude de Sarah Abu Abdallah, une œuvre d'art de 2020 réalisée avec des graines de tomate et de la résine. (Photo Fournie)
Fortitude de Sarah Abu Abdallah, une œuvre d'art de 2020 réalisée avec des graines de tomate et de la résine. (Photo Fournie)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Photo AN)
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Publié le Mercredi 07 juin 2023

Inauguration de la 2e exposition du Collectors’ Circle à la galerie ATHR à Djeddah

  • Présentant des artistes saoudiens et arabes de renom, le Collectors’ Circle vise à faire évoluer la culture du mécénat dans la région
  • Le Collectors’ Circle organise diverses expositions, événements et séminaires offrant aux amateurs d'art la possibilité de communiquer avec des artistes sur les réseaux sociaux

DJEDDAH: Le 2e Collectors’ Circle de la galerie ATHR pour 2023 a ouvert ses portes au public à Djeddah, avec des œuvres d'art de certaines des signatures les plus renommées de la région.

S’étendant sur un vaste espace, l'exposition est une collection vibrante et élégante, qui fascine autant les collectionneurs d'art que les amateurs. Les œuvres alternent au sein de la collection permanente pour créer un parcours à travers le centre d’exposition.

La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Instagram/athart)
La 2e exposition du Collectors’ Circle de la galerie ATHR, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet. Elle propose un programme d'accompagnement axé sur les collections d’œuvres d'art et le mécénat. (Instagram/athart)

Parmi les artistes qui exposent leurs œuvres figurent notamment Sara Abdu, Ahmed Mater, Sarah Abu Abdallah, Ahaad al-Amoudi, Mohammed al-Faraj, Reem al-Nasser, Dana Awartani et Ayman Yosri Daydban.

Le Collectors’ Circle vise à faire évoluer la culture du mécénat d’art au sein de la scène artistique saoudienne et à mettre en lumière les œuvres qui ont été exposées dans des institutions prestigieuses.

L'exposition, organisée par Solafa Rawas et Ola ben Saqran, se tiendra jusqu'au 31 juillet.

And Make Me Light, 2023, Farah Behbehani. (Photo Fournie)
And Make Me Light, 2023, Farah Behbehani. (Photo Fournie)

Solafa Rawas, également conseillère artistique spécialisée dans l'art contemporain saoudien, indique à Arab News que le Collectors’ Circle, en plus de mettre en valeur des artistes, visait à engager un dialogue.

«C'est une exposition éducative destinée à la jeune génération. Dans cette exposition, nous avons rassemblé des artistes essentiels qui ont exposé leur art localement et internationalement», souligne Mme Rawas.

Focus

• La 2e exposition du Collectors’ Circle se tient à la galerie ATHR à Djeddah.

• Parmi les artistes qui exposent leurs œuvres figurent notamment Sara Abdu, Ahmed Mater, Ahaad al-Amoudi, Mohammed al-Faraj et Reem al-Nasser.

L'exposition présente des œuvres rares dans des techniques mixtes, de créateurs locaux et internationaux de la scène artistique contemporaine.

My Hopes and your dreams, 2021, Ahaad al-Amoudi. (Photo Fournie)
My Hopes and your dreams, 2021, Ahaad al-Amoudi. (Photo Fournie)

Delights I, 2023, de Sultan ben Fahad, a été créée sur un tapis de soie et de laine fait à la main. My Hopes and Your Dreams, 2021, d'Al-Amoudi, est un montage vidéo avec des figurines articulées. And Make Me Light, 2023, de Farah Behbehani, a été réalisée en ayant recours à une technique d’impression spécifique avec de la cire d'argent et de la poussière de diamant.

Parmi les autres supports utilisés, nous pouvons citer le dessin réalisé au graphite sur bois, les graines de tomates en résine, ainsi que les collages, démontrant ainsi l'éventail des talents artistiques exposés.

Le Collectors’ Circle organise diverses expositions, événements et séminaires offrant aux amateurs d'art la possibilité de communiquer sur les réseaux sociaux avec des artistes, des professionnels et des collectionneurs mondiaux qui peuvent les aider à s’orienter dans le paysage du marché de l'art et leur donner des conseils en matière de mécénat.

L'exposition proposera un programme d'accompagnement axé sur différents aspects de la collection d'art et du mécénat.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L’exposition FenaaPhone ravive le passé musical de l’Arabie saoudite

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  • L’exposition est organisée par Sawtasura, un projet de recherche dédié à l’archivage de l’Histoire des Saoudiennes à travers le patrimoine chanté
  • Le principe central de FenaaPhone est d’établir un cadre permettant aux jeunes générations de se renseigner sur cette industrie en croissance rapide

RIYAD: L’escalier en colimaçon du nouveau centre artistique et créatif du quartier diplomatique, Fenaa Alawwal, téléporte le public aux origines du son saoudien jusqu’au 12 octobre à travers la collection d’archives exquise et unique en son genre de l’artiste saoudien Saad al-Howede.

Alors que le public est plongé dans les œuvres de légendes comme Tarek Abdelhakim, qui a composé la mélodie de l’hymne national saoudien, et l’emblématique «reine de la pop saoudienne» Etab, l’exposition audiovisuelle FenaaPhone offre un microcosme qui condense la musique nostalgique du patrimoine du Royaume.

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L’exposition FenaaPhone s’accompagne d’une série de tables rondes, de performances musicales et d’une boutique éphémère. (Instagram/fenaaalawwal)

 

M. Al-Howede déclare à Arab News: «Aujourd’hui, en Arabie saoudite, la scène musicale et culturelle ne cesse de se développer, et des concerts sont organisés dans toutes les villes et dans tous les lieux. Je voulais y contribuer avec ma collection d'archives, en particulier à l'occasion de la Fête nationale saoudienne, qui est une célébration spéciale pour nous.»

«J’ai rassemblé dans mes archives de nombreuses chansons de grands artistes comme Talal (Maddah), Mohammed Abdu, Abadi, l’opérette Al-Janadriya, Rached al-Majed, Abdelmajid Abdallah... L’exposition, selon moi, suit l’évolution de la scène culturelle et musicale.»


La jeune création à l'honneur au lancement de la Semaine de la mode à Paris

Le créateur de mode français Olivier Rousteing salue les spectateurs après avoir présenté la collection Balmain Womenswear Automne-Hiver 2023-2024 lors de la semaine de la mode à Paris, le 1er mars 2023. (AFP)
Le créateur de mode français Olivier Rousteing salue les spectateurs après avoir présenté la collection Balmain Womenswear Automne-Hiver 2023-2024 lors de la semaine de la mode à Paris, le 1er mars 2023. (AFP)
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  • La Belge Marie Adam-Leenaerdt, qui fait de la mode conceptuelle pour une femme avant-gardiste, ouvrira le bal des défilés de la semaine du prêt-à-porter féminin qui s'achèvera le 3 octobre
  • Défilera également lundi la marque de Victor Weinsanto, ancien danseur classique formé par Jean Paul Gaultier avant de lancer sa marque en 2020 dont les shows aux allures de cabaret reflètent son amour pour la performance

PARIS: Après New York, Londres et Milan, la Fashion Week démarre lundi après-midi à Paris, mettant traditionnellement en lumière la jeune création au premier jour.

La Belge Marie Adam-Leenaerdt, qui fait de la mode conceptuelle pour une femme avant-gardiste, ouvrira le bal des défilés de la semaine du prêt-à-porter féminin qui s'achèvera le 3 octobre.

"Il ne s’agit pas d’ancrer les pièces dans une saison, il s’agit de créer de la surprise, de l’émotion, de traverser le temps et les générations": c'est ainsi que cette nouvelle entrante du calendrier officiel présente son travail sur son site en soulignant son goût de "dérision ludique".

Défilera également lundi la marque de Victor Weinsanto, ancien danseur classique formé par Jean Paul Gaultier avant de lancer sa marque en 2020 dont les shows aux allures de cabaret reflètent son amour pour la performance.

La maison Pierre Cardin qui, sous l'impulsion de son neveu Rodrigo Basilicati-Cardin, est revenue en mars sur le calendrier officiel après plus de deux décennies d'absence, présentera un nouveau défilé lundi soir, en pleine dispute autour de la succession du couturier décédé en 2020.

Celle-ci fait l'objet d'une enquête notamment pour abus de faiblesse et escroquerie et de plaintes déposées par la famille du créateur et son petit-neveu, qui lui a succédé.

La maison n'a pas engagé de styliste et les collections supervisées par Rodrigo-Basilicati-Cardin sont faites par des collaborateurs de longue date du studio.

La Semaine parisienne accueillera 67 défilés et une quarantaine de présentations inscrits au calendrier officiel.

Pour Olivier Rousteing, créateur star de Balmain, cette Fashion Week est marquée par le vol inédit de 50 pièces, par des personnes armées qui ont pris la fuite.

Une enquête a été ouverte, mais on ignore tout du sort des pièces volées.

Le défilé est maintenu mercredi à 18H00 GMT et son équipe travaille "jour et nuit" pour refaire la collection.


Virginie Efira à l'affiche mi-novembre d'une série sur Disney+

Césarisée cette année, Virginie Efira y campe Claire, soeur de Marion (Sara Giraudeau) très impliquée et perturbée par la maladie de sa nièce. (AFP).
Césarisée cette année, Virginie Efira y campe Claire, soeur de Marion (Sara Giraudeau) très impliquée et perturbée par la maladie de sa nièce. (AFP).
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  • La série "Tout va bien", comédie dramatique familiale incarnée notamment par Virginie Efira, sortira le 15 novembre sur la plateforme Disney+
  • A l'origine du projet, "l'expérience personnelle familiale subie" par Camille de Castelnau et ses proches

PARIS: La série "Tout va bien", comédie dramatique familiale incarnée notamment par Virginie Efira, sortira le 15 novembre sur la plateforme Disney+, a annoncé lundi à l'AFP sa créatrice, Camille de Castelnau, co-scénariste du "Bureau des Légendes".

Cette production en huit épisodes de 52 minutes suit une famille ordinaire frappée par une tragédie, la maladie grave d'un enfant, mêlant drame et comédie, comme peu de séries tricolores s'y sont essayé jusqu'à présent.

Césarisée cette année, Virginie Efira y campe Claire, soeur de Marion (Sara Giraudeau) très impliquée et perturbée par la maladie de sa nièce. Elle donne aussi la réplique, autres autres, à Aliocha Schneider (le frère de Niels, son compagnon à la ville), Nicole Garcia ou Bernard Le Coq.

A l'origine du projet, "l'expérience personnelle familiale subie" par Camille de Castelnau et ses proches, explique l'autrice à l'AFP.

"On a traversé cette épreuve de la maladie d'une petite fille à l'époque qui était une maladie très grave, mortelle, ça a été des années d'épreuve", explique celle qui "écrit toujours pour restituer des émotions".

"J'avais envie de parler de ce moment de crise" sans tomber dans la tragédie pure, à l'image de la vraie vie où "l'on rigole parfois à des moments où l'on ne devrait pas", comme lors d'enterrements, ajoute cette admiratrice des séries "Six Feet Under" ou "Big Little Lies".

Si les deux premiers épisodes sont réalisés par le créateur du "Bureau des Légendes", Eric Rochant, et qu'on y retrouve Sara Giraudeau, son inoubliable espionne Marina Loiseau, les deux séries n'ont pas grand chose en commun, prévient Camille de Castelnau. Si ce n'est, espère-t-elle, une même "exigence sur l'écriture, le casting".

Après le drame historique ("Oussekine"), la comédie familiale ("Week-end Family) ou romantique ("Irrésistible"), Disney continue ainsi d'étoffer sa palette de productions hexagonales, avec des créateurs locaux.

La firme n'a ainsi "jamais essayé d'édulcorer" la série, y compris "un épisode très dur vers la fin, qui raconte des choses que je n'ai jamais vues racontées", assure Camille de Castelnau.