L’Autorité judiciaire iranienne veut faire appliquer de nouveau une loi prévoyant de sévères sanctions, comme l'exil, pour les personnes qui ne respecteraient pas l'obligation du port du voile
Ces peines sont applicables à toute personne qui ne respecterait pas le port obligatoire du voile, comme une femme non voilée ou un restaurateur qui accueillerait une cliente sans hijab
Vendredi, Israël a annoncé une série de sanctions afin de faire «payer le prix» à l'Autorité palestinienne de sa récente démarche pour faire examiner à l'ONU la question de l'occupation israélienne des Territoires palestiniens
Israël a également décidé samedi de révoquer les permis d'entrée sur le sol israélien à trois responsables palestiniens, des hauts cadres du Fatah, le parti du président Mahmoud Abbas
«L'Iran est maintenant devenu le principal soutien militaire de la Russie», a déclaré le secrétaire d'État Antony Blinken dans un communiqué
Les sanctions imposées par le Bureau du contrôle des actifs étrangers du Trésor soulignent la tension croissante entre les États-Unis et l'Iran concernant la relance de l'accord nucléaire
Ce réseau «comprenait quatre personnes et deux entités en Turquie» et a «permis le recrutement et les transferts financiers du groupe terroriste vers et depuis l'Irak et la Syrie»
«L'action d'aujourd'hui réaffirme l'engagement du Trésor à dégrader la capacité de l'EI à opérer à l'échelle mondiale», a déclaré Washington
Les cinq personnes ciblées par ces sanctions sont mises en cause pour des «violences continues contre les manifestants»
Les sanctions économiques imposées par Washington signifient que ses avoirs aux Etats-Unis sont gelés, et que toute personne réalisant une transaction financière avec lui est également passible des mêmes sanctions
Ces sanctions visent «des personnes corrompues, celles ayant violé et abusé les droits humains, ainsi que les auteurs de violences sexuelles dans des conflits», a détaillé le ministère
Londres cible aussi dix officiels iraniens liés au système judiciaire et carcéral du pays
Sitki Ayan, un proche du président turc Recep Tayyip Erdogan, ainsi que son fils et un de ses bras droits ont été placés sur la liste noire du Trésor américain
Le Trésor accuse Ayan d'être venu en aide à la Force Qods, une unité d'élite des Gardiens de la Révolution islamique