Vendredi, le Hamas a fait état de 13 morts dans une frappe sur le complexe de l'hôpital al-Shifa dans la ville de Gaza, le plus grand du territoire où la guerre a mis le système de santé «à genoux», selon l'OMS
Le Hamas a attribué cette frappe à Israël, comme le directeur de l'hôpital, Mohammed Abou Salmiya
Ces ambassadeurs, dont ceux de Cuba et du Venezuela, ont aussi signé un appel conjoint demandant à la communauté internationale une action urgente pour arrêter les violences meurtrières à Gaza
Et M. Khraishi a encore dénoncé le "soutien aveugle" des Etats-Unis à Israël, qui selon lui a entraîné ce dernier "à se comporter comme un Etat au-dessus des lois".
HonestReporting laissait entendre que des photojournalistes indépendants palestiniens à Gaza employés, selon elle, par AP, Reuters, CNN et le New York Times, pouvaient avoir été avertis de l'attaque à l'avance par le Hamas
Largement relayées sur les réseaux sociaux, ces accusations ont été reprises par le gouvernement israélien
Le mouvement islamiste libanais a décliné l'identité des sept combattants dans un communiqué indiquant qu'ils étaient des "martyrs sur la route de Jérusalem", expression utilisée par le Hezbollah pour pleurer la mort de ses membres tués
Le Hezbollah a ensuite publié plusieurs déclarations faisant état d'attaques à la frontière nord d'Israël, dont trois attaques de drones
Le plaidoyer pro-Hamas affiché par le président turc Recep Tayyip Erdogan, dans la guerre menée par Israël contre le Hamas, complique la relation de son pays avec l'Union Européenne
Questionnée sur les sujets de discussion entre Olaf Scholz et Recep Tayyip Erdogan, la porte-parole du gouvernement allemand a indiqué qu'ils «parleraient naturellement particulièrement des développements au Proche Orient»
Israël «facilite l'acheminement de l'aide humanitaire», a affirmé le responsable pour Gaza de l'organe du ministère israélien de la Défense supervisant les activités civiles dans les Territoires palestiniens
«Une catastrophe humanitaire se déroule sous nos yeux», avait affirmé fin octobre Guterres, qui a multiplié les appels à un «cessez-le-feu humanitaire immédiat»