«Nous sommes ici à la demande du gouvernement irakien et nous partirons quand le gouvernement irakien l'envisagera», a précisé le chef de la diplomatie espagnole
Depuis la mi-octobre, plus de 150 attaques de drones ou tirs de roquettes ont visé, en Irak et en Syrie, des soldats de la coalition
Les frappes ont visé les Brigades du Hezbollah, turbulente faction affiliée aux anciens paramilitaires du Hachd al-Chaabi, dans le secteur de Jurf al-Sakhr à une soixantaine de kilomètres au sud de la capitale Bagdad
Le ministre américain de la Défense Lloyd Austin a confirmé dans un communiqué «des frappes nécessaires et proportionnées»
Il est reproché à la compagnie aérienne et à son PDG, Basheer Abdulkadhim Alwan al-Shabbani, d'avoir «fourni une assistance» à la Force Qods, la branche des opérations extérieures des Gardiens de la Révolution
Washington fait état de «la menace permanente que la Force Qods et son réseau représentent pour le personnel américain et la région», avec «une série d'attaques de drones et de missiles contre le personnel américain en Irak et en Syrie»
En août 2014, Des milliers d'hommes ont été massacrés, des femmes enlevées pour être vendues comme épouses aux membres du groupe EI et réduites à l'esclavage sexuel par des jihadistes qui ont déferlé au Sinjar, dans le nord irakien
Au total, les autorités ont jusque là rendu à leurs proches les dépouilles de 188 victimes yazidies de l'EI, a indiqué le porte-parole du ministère de la Santé, Saif al-Badr
M. Soudani, qui s'exprimait lors d'un entretien télévisé organisé au Forum économique mondial à Davos, a estimé qu'il n'y avait plus de «justifications à la présence» de la coalition
«Aujourd'hui, selon l'analyse de tous les spécialistes en Irak et chez nos amis, l'EI ne représente pas une menace pour l'Etat irakien», a-t-il assuré