Le président républicain a estimé que l'élection n'était pas "terminée" et a donné rendez-vous lundi en justice à ses adversaires
Dans des tweets, épinglés comme "trompeurs" par le réseau social, Donald Trump a évoqué des "dizaines de milliers de bulletins arrivés illégalement" et un manque "grossier" de transparence sur le dépouillement
« Tellement ridicule. Donald doit travailler à maîtriser sa colère, et aller voir un bon vieux film avec un ami! Relax Donald, relax! », a écrit l'adolescente suédoise de 17 ans sur son compte Twitter
En octobre, Greta Thunberg était exceptionnellement entrée dans le jeu partisan en appelant à voter pour le candidat démocrate
Kamala Harris est la première femme élue vice-présidente des Etats-Unis
"Dans cette élection, il s'agit de beaucoup plus que de Joe Biden ou moi-même. Il s'agit de l'âme de l'Amérique et de notre détermination à nous battre pour elle. Nous avons beaucoup de travail devant nous. Mettons-nous au travail"
Quand il quittera la Maison Blanche, le milliardaire républicain redeviendra un justiciable lambda aux yeux des Etats-Unis, et un utilisateur comme les autres de Twitter
En clair : là où les tweets mensongers ou menaçants d'un utilisateur pourraient être supprimés, ceux du président - nombreux - sont simplement masqués
Comme depuis mardi, Joe Biden a une nouvelle fois appelé au calme et à la patience. « Personne ne nous prendra notre démocratie. Ni aujourd'hui, ni jamais », a-t-il tweeté
Le président républicain Donald Trump avait déclaré, dans la première nuit post-élection, qu'il avait gagné l'élection et qu'il ferait intervenir la Cour suprême, restant évasif sur les motifs
L'embarras était visible vendredi au parti républicain aux Etats-Unis après les accusations infondées de fraude à l'élection présidentielle formulées par Donald Trump
Sur Twitter, le parlementaire texan Will Hurd a dénoncé une tactique « dangereuse et mauvaise », et appelé à ce que tous les bulletins soient comptés
Dans un dépouillement qui avançait au compte-gouttes, la tendance s'est inversée en début de matinée: mené depuis le scrutin de mardi, l'ancien vice-président démocrate devançait désormais le président républicain d'un peu plus de 5.000 voix
Le 45e président des Etats-Unis apparaît isolé au sein de son propre parti dans sa croisade contre un "vol" du scrutin dont il serait la victime
Une page Facebook avec quelque 350 000 membres et un mot-dièse devenu viral en 48 heures: sous le mot d'ordre #StopTheSteal ("Stop au vol"), le camp pro-Trump a propagé rapidement la théorie selon laquelle les démocrates voudraient "voler l'élection"
Lancée dans un comté de l'Arizona, la thèse - très vite démentie par les responsables locaux - s'est rapidement propagée au point que des manifestants se sont retrouvés mercredi soir devant le bureau des élections de ce comté pour exiger un recomptage