Selon le Pentagone, « 2 000 à 4 000» soldats russes ont été tués en Ukraine depuis le début de l'offensive le 24 mars
Les cours du pétrole grimpaient de plus de 5%, le Brent atteignant les 130 dollars le baril, peu avant que le président américain Joe Biden n'annonce un embargo sur le pétrole et le gaz russe aux Etats-Unis
Cette décision a été prise «en coordination étroite» avec les alliés des Etats-Unis, a précisé Joe Biden. « Nous ne contribuerons pas à subventionner la guerre de Poutine»
L'Europe s'est, pour l'instant, refusée à décréter un embargo sur les importations russes, qui assurent 40% de ses besoins en gaz naturel et 30% pour le pétrole
Dans un communiqué, Shell a précisé que, «comme premier pas immédiat, le groupe va arrêter tous les achats au comptant sur le marché de pétrole brut russe»
Shell a également indique que groupe allait « fermer ses stations services, ainsi que ses activités de carburants pour l'aviation et lubrifiants en Russie»
L'Europe doit produire plus pour «éviter une crise alimentaire mondiale» avec l'arrêt «probable» d'une partie des exportations de céréales russes et ukrainiennes
Castex réunit mardi les représentants des filières concernées et les organisations syndicales et patronales pour mettre au point un «plan de résilience» afin de faire face aux conséquences de l'invasion russe
La Russie est l'un des premiers producteurs mondiaux de gaz et de pétrole, et les investisseurs s'affolent d'éventuelles ruptures d'approvisionnement
Les cours du pétrole se sont approchés lundi de leurs plus hauts historiques, dépassant brièvement 130 dollars le baril pour la première fois depuis 2008
À la clôture, l'indice principal, TASI, a gagné 0,38 % pour atteindre 12 804, tandis que le marché parallèle a reculé de 0,06 % à 24 752.
Sur le marché de l'énergie, le pétrole brut Brent a atteint 118,11 dollars le baril (108,12 euros), tandis que le pétrole brut US WTI a grimpé à 115,68 dollars le baril.