Appelée pour la dernière fois à la barre de la cour d'assises de la Haute-Saône où le procès s'est ouvert lundi, Isabelle Fouillot refuse de croire que sa fille ait été tuée pour "de simples mots".
"Quel gâchis. Tu as détruit Alexia et tu nous a détruits aussi", a lâché la mère d'Alexia.
La justice française a donné jeudi trois mois à l'État pour justifier de ses actions en matière de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, une décision «historique» pour les défenseurs de l'environnement
Il s'agit du premier contentieux climatique à arriver devant la plus haute juridiction administrative française
La somme va être répartie entre la Californie et 33 autres Etats
L'accord met fin à des plaintes contre les gammes d'iPhone 6 et 7, dont certaines mises à jour servaient en réalité à restreindre les performances des appareils pour économiser de la batterie à l'insu des utilisateurs
C'est la première fois que l'islamologue, qui s'estime victime de la vengeance d'ex-maîtresses, est confronté à cette ancienne escort-girl de 47 ans qui a porté plainte contre lui
L'intellectuel de 58 ans a été mis en examen pour ces viols le 22 octobre, à l'issue d'une audition devant un juge d'instruction
La suspension est prolongée « jusqu'au lundi 23 novembre, sous réserve qu'une nouvelle expertise médicale » déclare apte à comparaître l'accusé Ali Riza Polat
Deux autres accusés, Saïd Makhlouf et Metin Karasular, avaient également été testés positifs au Covid-19 à sa suite, mais ne présentent plus aucun symptôme
Le président de ce petit pays du Golfe à majorité musulmane, cheikh Khalifa ben Zayed Al-Nahyane, a approuvé une série d'amendements d'articles du code pénal
Aux Émirats, les crimes d’honneur seront désormais jugés comme n’importe quel autre meurtre, sans peine de prison allégée pour les coupables
Début août, le Conseil constitutionnel avait censuré l'essentiel d'une loi LREM prévoyant des « mesures de sûreté » pour ces détenus terroristes « portant atteinte » à plusieurs libertés fondamentales
En août, sur les quelque 58 000 détenus en France, on comptait 504 personnes incarcérées pour des faits de « terrorisme islamiste »