La ville d'Agareb, dans la région de Sfax, est depuis lundi le théâtre de manifestations organisées par des habitants de la région contre la réouverture d'une décharge qui dessert un bassin d'un million de personnes, considérée comme un risque sanitaire
Le mouvement de protestation a pris de l'ampleur après la mort mardi d'un homme de 35 ans asphyxié par les gaz lacrymogènes tirés par les forces de l'ordre pour disperser une manifestation, selon sa famille
Les postes d’ambassadeurs étaient en effet généralement réservés à d’anciens ministres
L’écrasante majorité des quelque deux cent cinquante ministres et secrétaires d’État qui se sont relayés dans les onze gouvernements ont dû compter sur eux-mêmes pour se caser
Des milliers de Tunisiens ont manifesté dans la région de Sfax, au lendemain du décès d'un manifestant lors d'un rassemblement contre la réouverture d'une décharge d'ordures
«Les gens que vous voyez par milliers ne demandent pas des choses impossibles. Ils demandent un droit à la vie et un air pur c'est tout»
Aguereb connaît ces dernières semaines des mouvements de protestations contre les déchets envahissant les rues et les trottoirs, et menaçant la santé des habitants
«Il est arrivé vivant mais après des tirs massifs de gaz lacrymogènes devant l'hôpital (pour disperser des manifestants), il est mort (...). C'est la police qui l'a tué», a déclaré son cousin