Troisième pays le plus endetté de la zone euro, la France s'est engagée à ramener son déficit sous 3% du PIB en 2027, une ligne que Bruno Le Maire a promis vendredi de tenir «coûte que coûte»
Pour maintenir le cap de 3%, le gouvernement devra effectuer un nouveau tour de vis budgétaire, a prévenu vendredi Emmanuel Macron
L’essor des secteurs des arts et du divertissement, dont la valeur a plus que doublé entre 2021 et 2022, a été à l'origine de la croissance de l'activité non pétrolière
D'autres secteurs telles que l'hébergement, la restauration, les transports et les services de stockage ont également affiché des taux de croissance solides
Cet objectif est bien loin des rythmes à deux chiffres enregistrés dans les années 1990 et 2000
Dans un contexte de crise immobilière, chômage élevé des jeunes et ralentissement mondial pesant sur la demande en produits chinois, «c'est en fait un objectif ambitieux»
Business France avec le soutien de l’ambassade de France en Arabie saoudite et le programme national de développement industriel et de logistique organisent la première édition du French Saudi MRO Days du 3 au 4 mars
Le Royaume connaît une croissance économique et s’est lancé dans une série de grands projets afin de développer les infrastructures du pays notamment concernant les opérations de maintenance et de réparation aérospatiale (MRO)
Pour Omar el-Amine, responsable des services bancaires d’investissement chez J.P. Morgan Saudi Arabia, la transformation socio-économique et les réformes réglementaires du Royaume sont les principaux moteurs de son attrait mondial
Il a souligné que le dynamisme des marchés boursier et obligataire de l’Arabie saoudite reflétaient la forte croissance économique du pays
La France fait face à des recettes fiscales plus faibles qu'attendu tout en devant respecter ses objectifs budgétaires d'un déficit public de 4,4% du PIB en 2024
Le ministre «a choisi l'injustice», a réagi la directrice des programmes au Réseau Action Climat, dénonçant des «économies sur le dos des plus vulnérables»
L'institution monétaire a dit s'attendre à une croissance de 0,1% à 0,2% du produit intérieur brut (PIB) français sur les trois premiers mois de l'année par rapport au trimestre précédent
C'est peu ou prou le niveau de croissance attendu par l'Insee, qui table de son côté sur une progression de 0,2% sur chacun des deux premiers trimestres de 2024