Les États-Unis participent indirectement aux négociations actuelles car ils se sont retirés de l’accord en 2018 sous le mandat du président de l’époque, Donald Trump
Cet accord visait à limiter le programme nucléaire iranien en échange d’un assouplissement des sanctions économiques
Jean-Yves Le Drian a déclaré à une commission parlementaire qu'il craignait que les Iraniens essaient de gagner du temps afin de diluer les termes de l'accord
Les observateurs iraniens veulent que l'administration Biden prenne davantage au sérieux les problèmes de sécurité d'Israël
«C'est la dernière chance pour l'Iran de venir à la table des négociations avec une solution sérieuse à ce problème», a martelé la ministre, dont le pays préside actuellement le groupe des grandes puissances
Les négociations indirectes entre l'Iran et les Etats-Unis, par l'intermédiaire notamment des Européens, ont repris fin novembre à Vienne pour tenter de ressusciter l'accord de 2015