Le patron de Veolia, numéro un du secteur, et celui de Suez, numéro deux, évaluent les subventions annuelles supplémentaires nécessaires d'ici à 2025 "à 3,3 milliards d'euros pour l'eau et 1,75 milliard d'euros pour le traitement des déchets.
Sa fermeture était réclamée par des associations de trois pays et de députés européens européens écologistes qui critiquaient la vétusté de cette centrale, notamment après plusieurs incidents mineurs dans les années 1990 et 2000.
Le démantèlement, inédit en France à cette échelle, devrait débuter à l'horizon 2025 et se poursuivre au moins jusqu'en 2040.