Ces dernières années, les contenus sud-coréens connaissent de plus en plus de succès à l'international, comme le film oscarisé 'Parasite' ou encore la série Netflix 'Squid Game'
Netflix a «pleinement confiance» dans l'industrie créative sud-coréenne
Pour être préservé de ces maux, le cinéaste de 42 ans a son remède: confier les rôles à des acteurs qui ont une vie proche de celle des personnages qu'ils incarnent
«J'ai moi-même été envoyé par mes parents à la madrassa quand j'étais adolescent pour y étudier le Coran», explique Abdulah Sissoko, qui joue le rôle de l'imam Ali
Tourné avec peu de moyens entre Beyrouth, un camp de réfugiés syrien du Liban et la Corse, le film a remporté un prix du cinéma européen dans l'une des sections parallèles à la dernière Mostra de Venise
Jamais misérabiliste, le film est teinté d'une touche de fantastique: Ahmed voit une partie de son corps se transformer en métal
Selon Neom, les invités venaient d’Arabie saoudite, d’Amérique du Nord, du Royaume-Uni, de France, de Belgique, d’Allemagne, des Pays-Bas, du Portugal, des Émirats arabes unis, de Turquie, d’Inde et du Maroc
L’événement a permis de présenter les plateaux de tournage, les installations de soutien à la production, les talents et les équipes de Neom et a également mis en lumière les mesures d’incitation à la production mises en place par l’Arabie saoudite
Au total, onze longs-métrages sont sélectionnés, dont six tournés par des réalisatrices. Sept participent à la compétition sous l'œil d'un jury présidé par la cinéaste française Audrey Diwan
Parmi les découvertes figurent en compétition un premier film malaisien («Tiger Stripes» d'Amanda Nell Eu), sur «la liberté et le désir de récréation des jeunes filles»