Le ministre iranien des Renseignements, Mahmoud Alavi, est ciblé pour son « rôle clé dans les violations brutales des droits humains commises par le régime iranien contre le peuple iranien », détaille ce communiqué
Cette fondation s'est, au fil du temps, muée en un gigantesque conglomérat détenant des participations dans de nombreux secteurs clé de l'économie iranienne (BTP,pétrole, mines etc.)
Dans une ambiance de meeting de campagne, avec musique et vendeurs de rue, la plupart des manifestants trumpistes ne portaient pas de masque et disaient encore croire à la possibilité d'un second mandat du républicain
Une scène inhabituelle à Washington, qui a voté le 3 novembre à plus de 90% pour Joe Biden, dont Donald Trump et ses plus fidèles soutiens refusent toujours de reconnaître la victoire
« Les Etats-Unis sont notre plus proche allié et nous sommes convaincus que notre relation se renforcera, quel que soit le candidat qui remportera l'élection »
« C'est au peuple américain de décider et c'est clairement une course serrée. Nous avons pleinement confiance dans l'équilibre des pouvoirs du système américain pour produire un résultat démocratique »
Les deux États célèbrent le 75e anniversaire d'un partenariat établi lors de la réunion historique de 1945
Washington a aussi félicité le Royaume pour son leadership au G20 et pour son investissement dans la santé mondiale avec sa réaction financière à la pandémie
Les pourparlers intra-afghans s’accompagnent d’un désaccord entre les dirigeants du gouvernement à Kaboul au sujet des négociations et coïncident avec une escalade des attaques sanglantes à travers le pays
L’important en ce moment c’est que le soutien de la communauté internationale pourrait s'user si le processus se prolonge encore longtemps
Bagdad n'est "pas content" que Washington menace de fermer son ambassade et de retirer ses soldats et diplomates du pays, car un tel retrait serait "dangereux", a déclaré mercredi le ministre irakien des Affaires étrangères, Fouad Hussein
Plusieurs sources politiques et diplomatiques ont confirmé à l'AFP que le secrétaire d'Etat américain, Mike Pompeo, avait posé la semaine dernière un ultimatum à l'Irak: soit les attaques cessent, soit Washington ferme son ambassade
Conclu en 2015 entre l'Iran et les États-Unis, la Chine, la Russie, le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne, l'accord avait permis la levée d'une partie des sanctions contre Téhéran en échange de son engagement à ne pas se doter de l'arme nucléaire
Le 8 mai 2019, l'Iran commence à revenir sur un certain nombre de ses engagements. Il veut mettre la pression sur les Européens, toujours parties à l'accord, pour l'aider à contourner les sanctions