Depuis la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, Londres négocie des accords tous azimuts pour doper son commerce international et cherche en particulier à renforcer ses liens avec les États-Unis
Au total, les échanges entre les deux pays représentent quelque 263 milliards de dollars (200 milliards de livres) par an
Le projet de loi est destinée à combattre les effets de la corruption internationale sur le sol britannique en permettant à l'agence anticorruption de saisir des actifs douteux
Londres est régulièrement critiqué pour ne pas lutter assez énergiquement contre les flux douteux d'argent russe affluant depuis des années au Royaume-Uni
Le Royaume-Uni a enregistré une croissance record de 7,5% en 2021, la plus rapide du G7, après une contraction historique de 9,4% l'année précédente à cause de la pandémie.
Selon une cheffe économiste, Omicron a un peu ébréché la reprise, mais « l'économie britannique a connu en 2021 sa plus forte croissance depuis la Seconde Guerre mondiale, rebondissant après la récession engendrée par » la pandémie de Covid-19.
Les objectifs fixés vont de la hausse des salaires à l'amélioration des transports et de l'accès à internet, en passant par la hausse du niveau scolaire ou la baisse de l'insécurité
Parmi les propositions dévoilées mercredi, le gouvernement compte aussi «mobiliser 16 milliards de livres du régime de retraite des collectivités locales pour des investissements dans des projets locaux»
Opposé à la levée de l'obligation du port du masque dans les transports en commun, le maire de Londres Sadiq Khan a annoncé maintenir cette mesure dans la capitale
Selon les derniers chiffres, 64% de la population de plus de 12 ans a reçu une troisième dose